Ces décès sont causés sur le long terme par des particules issues de la pollution atmosphérique, qu’elle soit liée à l’homme comme les gaz d’échappements ou les cheminées d’usine, ou aux phénomènes naturels comme des feux de forêts. Selon l’étude, une réduction de 20 microgrammes de particules par mètre cube permettrait d’éviter ces décès, mais les normes européennes autorisent jusqu’à présent une pollution de 40 microgrammes par mètre cube.