Les deux leaders nationaux du mouvement "Espoir à gauche", Ségolène Royal et Vincent Peillon, se déchirent depuis le week-end dernier. Gérard Collomb déclare ne plus se reconnaître dans ce courant : "Je me situe hors courant avec tous ceux qui veulent construire l'avenir, pas avec ceux qui veulent ressasser le congrès et le passé", a-t-il ajouté.
CO-LLOMB DEMISSION CO-LLOMB DEMISSION Pardon, mais l'article est trop succinct ou je ne suis pas si au fait de l'actualité urbaine. Que leur reste-t-il à gauche si ce n'est l'espoir ?
Signaler RépondreLes querelles de personnes décrédibilisent le PS !!! Bien avant le congrès de Reims, Collomb avait demandé qu'on mette le projet avant les personnes. Il a raison aujourd'hui de prendre de la hauteur. C'est avec des élus comme lui qu'on pourra rénover le PS et redonner confiance dans ce parti.
Signaler RépondreOui au projet. Non aux querelles de chefs !!! Collomb prend de la hauteur. Il a cent fois raison.
Signaler RépondreJe ne pense pas que Collomb cède aux sirènes de la Sarkozie au risque de perdre son assise à Lyon. Mieux vaut des charentaises à la mairie de Lyon que des peaux de bananes dans les ministères.
Signaler RépondreQui parie avec moi , sur l'adhésion à court terme (après les régionales) du maire de lyon à l'UMP, du moins à ses thèses ! Un poste de ministre à la clef ?
Signaler RépondreEt tu as bien raison gérard de t'éloigner. Les déserteurs au poteau !!!
Signaler Répondre