La préfecture du Rhône rappelle que "le dispositif départemental n'arrive plus à répondre à certaines situations particulièrement préoccupantes", en raison d’une saturation des capacités d’accueil. Une tension qui entraîne un allongement des délais d’orientation et un "sentiment de découragement sur le terrain et auprès des équipes."
Pour répondre à cette crise, plusieurs mesures ont été mises en œuvre, notamment le "renforcement du SIAO (service intégré d'accueil et d'orientation,ndlr), des équipes mobiles et des maraudes", ainsi que la "mise à disposition en période hivernale, d'une partie du parc hôtelier à la main du 115 afin de permettre des orientations plus rapides des situations d'extrême urgence". Mais ces réponses "ne sauraient constituer une réponse au long cours", admet la préfecture.
Les services de l'État annoncent ainsi la mise en œuvre, dès 2025, d’une expérimentation pilotée par la DIHAL (La Délégation interministérielle à l'hébergement et à l'accès au logement ). L’objectif : établir un "protocole de réévaluation périodique des prises en charge" pour chaque situation individuelle. "Un travail collaboratif a d'ores et déjà été entrepris avec certains opérateurs afin de tester ce protocole", précise ces derniers.
Dans la même logique, la DDETS (La Direction Départementale de l'Emploi, du Travail et des Solidarités) va faire évoluer les conventions de financement des structures d’hébergement d’urgence subventionnées. Désormais, ces établissements auront l’"obligation […] de procéder à un réexamen des conditions de vulnérabilité des ménages". Un nouveau modèle de contrat d’hébergement, "opposable et applicable dès cette année", fixera par défaut une durée d’accueil de trois mois renouvelables, avec une réévaluation systématique des situations.
Alors que 29 % des ménages hébergés dans le Rhône sont présents dans le dispositif depuis plus de cinq ans, la préfecture estime que ces nouvelles règles doivent permettre de "fluidifier davantage le dispositif d'hébergement."
J'espère qu'ils ont choisi des hôtels 4 étoiles, ce serait ingrat de mal accueillir ces chances pour la France....
Signaler RépondrePour le petit dej, s'ils pouvaient servir des nuggets de crocodile, avec du roti de gazelle ou d'antilope cheval, du ragoût de python, et si possible de la main de gorille.
Soyons à la hauteur de nos invités...
Les contribuables payent des associations abjectes , où les employés paresseux et malhonnêtes volent leur salaire en étant en total contradiction avec leur parole !!!!. Madame la Préfète, faites ce que vous réussissez à merveille dans l’alimentaire au monde du pseudo social et fermez les établissements où la malhonnêteté, l’incompétence et le j’m’en foutisme règnent en maître. Les précaires et les gens à la rue vous remercieront de passer un grand coup de balai dans cette mafia !!!!
Signaler RépondreNon seulement ils paient et en plus ils ont moins de droits.
Signaler RépondreEt les cons payent !
Signaler RépondreBravo à la Préfecture pour cette initiative 😄, contrôlez les associations immondes qui contrôlent ce secteur , encaissant des sommes d’argent astronomiques et se moquent totalement des gens à la rue . HONTE ces gens pour qui le pognon est la seule chose importante à leur yeux . Les accueils d’urgences sont des lieux de mal traitance humaine , où le social et le travail d’insertion sont absents. Les dealers gèrent les centres d’urgences !!!! Madame la Préfète, agissez SVP
Signaler RépondreOui ta raison bétonne encore plus les champs....pfffff
Signaler RépondreSurtout ce petit monde dehors retour à l'envoyeur !
Ou alors appellons l'UN sous gestion international pour faire un énorme camp à Perrache enfin c'est déjà fait 😜
Une étincelle me vient à l'esprit,des bateaux.... pour les mettre là-bas le soleil inclus la plage.
C'est le tonneau des Danaïdes ! Il en arrivera sans cesse d'autres tant qu'on laissera les frontières ouvertes à tous vents. Avec ce résultat. Leur motivation à venir en Europe s'explique, le problème c'est que les capacités d'accueil ne sont pas éternellement extensibles ...
Signaler RépondrePrends lex chez toi avant qu’ils te foutent dehors..
Signaler RépondreQuand vous faites vos courses, vous achetez pour le nombre que vous êtes à la maison, par pour tous ceux qui vont sonner chez vous et s'inviter sans payer ? Ben là c'est pareil, on fait des logements pour les Français, pas pour la moitié de l'Afrique.
Signaler RépondrePersonne ne devrait renter en France sans visa !
Signaler RépondreSi au bout de 5 ans ils occupent toujours un logement d'urgence et qu'ils gagnent leur vie, c'est bien normal de les pousser dehors. Un mec logé et salarié, ce n'est plus un SDF !
Signaler RépondrePersonne ne devrait dormir dehors en France...il vaudrait mieux avoir suffisamment de logements que d'avoir de nouvelles pistes cyclables.
Signaler RépondreÇa coûte combien de milliards aux contribuables toutes ces conneries ?
Signaler RépondreAllez, plus d'impôts et de taxes...
Quelles embrouilles !
Signaler RépondreEn gros ils font des expériences sur les SDF ?
Ils n'ont qu'à faire faire pareil avec les places des ministres, ils y en a trop qui ne servent à rien, notamment des "ministres auprès de ministres" qui doivent se partager des locaux ;-)
Si 30% sont présents après 5 ans ce n’est plus du logement d’urgence !
Signaler RépondreIl faut pour cela consulter le bilan d'activité de la DEETS, qu'on trouve facilement sur Google.
Signaler RépondreL'hébergement d'urgence, c'est environ 100 millions d'euros par an, rien que dans le département du Rhône.
Il serait intéressant de connaître la réalité comptable derrière ces durées et ces pourcentages...
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