Si celle de Vincent Peillon, autre ancien ministre socialiste de l'Education nationale, n'avait fait aucun remous en 2021, le poste de conseiller maître de la Lyonnaise fait bondir, à tel point que les députés RN annoncent vouloir saisir le Conseil d'Etat.
Face à ces accusations de copinage, voire de pacte scellé avec François Bayrou pour qu'en échange les députés PS soutiennent son budget cet automne, le président de la Cour des comptes a volé au secours de Najat Vallaud-Belkacem.
Au micro de France Info, Pierre Moscovici, qui a fait partie du gouvernement sous François Hollande en même temps que l'actuelle conseillère régionale d'Auvergne-Rhône-Alpes, s'est dit "très choqué" par les accusations formulées.
Selon lui, Najat Vallaud-Belkacem intègre la Cour des comptes "par une procédure de recrutement professionnel parfaitement objective". Procédure qui aurait eu lieu "sans que je sois intervenu en quoi que ce soit", jure Pierre Moscovici.
Pourtant, le président de la Cour des comptes est bien président de la commission d'intégration. "150 dossiers déposés pour cinq postes de conseiller maître. 28 dossiers ont été auditionnés par la commission d'intégration, que certes, je préside, mais qui comporte six membres totalement indépendants, pas nommés par moi. Et ensuite, qu'est-ce qui s'est passé ? Sur ces 28, elle a été retenue par la commission", se défend Pierre Moscovici, "sorti au moment de la délibération".
Scandale d'Etat ou banale promotion ? Cela risque d'être au Conseil d'Etat de trancher.
et combien elle va toucher avec ça ?
Signaler RépondreEvidemment...
Signaler RépondreEn qualité de socialiste es qualité, il n'allait pas dire le contraire ....
Parole de politique !
Signaler Répondre;-)
Quel nul ce mec!
Signaler RépondreFoutez moi tout ces branleurs dehors😉