Son geste avait suscité l’indignation. Le procès de l’homme soupçonné d’avoir incendié un Coran devant la mosquée Errahma, à Villeurbanne, s’ouvre ce mardi à Lyon.
Les faits remontent à la nuit du 2 au 3 juin dernier. Un homme s’était introduit dans le lieu de culte avant de voler un exemplaire du Coran, d’y mettre le feu, puis de le déposer en flammes devant la mosquée.
Identifié grâce aux images de vidéosurveillance, le suspect avait été interpellé dès le lendemain. En garde à vue, il a reconnu les faits. Le parquet de Lyon avait ouvert une enquête pour "dégradation ou détérioration par un moyen dangereux pour les personnes, commise en raison de la race, l’ethnie, la nation ou la religion".
L’homme, décrit comme "psychologiquement fragile" et placé sous curatelle, a été placé en détention provisoire dans l’attente de son jugement.
Elle passerait pour un gros con qui n a pas la lumiere dans toutes les pieces .
Signaler RépondreEt puis cela s'arrêterai là.
ou commence le droit assumé et militant à la libre pensee?
Signaler Répondreou commence le respect du_ citoyen croyant?
ou commence l acte raciste?
ou commence le droit à la demence?
j aimerais pas etre à la place du juge....
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Signaler RépondreUne racaille qui assassine n’est pas jugée car déclarer irresponsable et quelqu’un déclaré comme psychologiquement fragile et sous curatelle qui brûle un coran devra affronter la justice?
Signaler Répondreça c'est un héros lfislamiste
Signaler Répondreoulala ça c'est grave ça !! il va prendre chère wallahahaha
Signaler RépondreNous allons voir si le juge retient l'excuse de l'état psychologique.
Signaler RépondreUn type qui brûle le Coran, devant une mosquée est mis en détention provisoire, dans l’attente de son jugement, une racaille qui agresse et blesse quelqu’un dans la rue est laissée en liberté jusqu’à son procès ! chercher l’erreur !
Signaler RépondreEt d’après vous, si quelqu’un avait mis le feu à une bible devant une église, cette personne, passerai-t-elle correctionnelle ?
Signaler RépondrePlacé en détention provisoire ?! ... Et ben ...
Signaler Répondre"L’homme, décrit comme "psychologiquement fragile" et placé sous curatelle".
Signaler RépondreSon placement sous curatelle objective une altération de ses facultés mentales, manifestement pas suffisamment altérées pour lui permettre d'éviter la détention provisoire...
Lui, il n'est pas malade au sens pénal du terme.