Caractériser les niveaux d’imprégnation aux PFAS des citoyens lyonnais. Tel est l’objectif du projet PERFAO qui vise plus particulièrement les habitants de la vallée de la chimie et du sud de la métropole lyonnaise.
Ces deux dernières années, des ateliers ont été organisés afin d’informer les habitants de la tenue de cette enquête et d’en établir sa méthodologie. Il s’agissait de la première phase du projet qui va maintenant passer à la suivante qui consiste en la sélection d’un panel de 300 personnes qui verront leur sang prélevé. Ce dernier sera composé d’adultes et d’enfants résidant à proximité de la plateforme chimique de Pierre-Bénite mais aussi à Givors, Grigny ou Solaize.
"D’ici le mois de novembre, près de 3000 courriers vont être adressés nominativement aux Grands Lyonnais qui auront été présélectionnés par un institut de sondage. Ils devront alors appeler le numéro indiqué sur leurs courriers afin de procéder à la sélection définitive du panel en fonction de certains critères (antériorité sur le territoire, âge, sexe, non contre-indication médicale, etc.), nécessaires au bon déroulement de l’étude", indique ce vendredi matin la Métropole de Lyon dans un communiqué.
La campagne de prélèvements sanguins devrait ensuite débuter d’ici la fin de l’année 2025. Elle permettra "de mesurer la présence de PFAS dans l’organisme (32 molécules recherchées) et d’évaluer de potentiels impacts sur sa santé", précise la collectivité. Les résultats seront analysés par des épidémiologistes.
Plusieurs acteurs sont mobilisés dans le cadre de ce projet à l’exemple de la Métropole de Lyon, de l’Agence régionale de santé ou encore des Hospices Civils de Lyon.
Concerné par les PFAS par rapport à ma situation géographique sur Lyon je me suis intéressé au sujet et j'ai regardé certains aspects dont le côté "technique".
Signaler RépondrePeut on être rassuré ? non. En fait le dosage a été fait de façon assez "aléatoire" pour être gentil car les méthodes d'analyses ne sont pas hyper fiables et certains qui font ses analyses n'ont pas de vraies compétences, cela sera t'il le cas pour ses analyses sanguines, je pose la question.
Puis si on regarde nos voisins européens on s'étonne car beaucoup on une réglementation plus serrées que la notre avec des doses limites plus faibles bizarrement en France il a été choisi de prendre une dose assez haute sinon en effet toutes les régions étaient déclarées non conformes.
Après vous allez me dire on n'est pas à un scandale sanitaire près, on commence à avoir l'habitude en France d'aller de crise en crise avec des autorités qui font croire qu'elles découvrent les problèmes (alors qu'elles sont parfaitement au courant voir sont complices).
Le plus important ,c’est la ZFE!
Signaler RépondreIls nous prennent pour des idiots ,c'est écolos !
l'état continu de nous empoisonner, les citoyens face à l'idiotie et le manque de respect il faut aller voter et manifester il resque que cela fasse à des personnes élus qui ne vivent pas notre vie et qui sont à cote de la plaque. triste considération.
Signaler Répondreréfléchis 2 minutes et tu reviens, ok ?
Signaler Répondrepour toi, nul besoin de quelque test que ce soit.
Signaler Répondrela mélenchonite aigue ne t'a pas raté.
c est vrai que jusqu'à Jean Michel Aulas , les Arkema , Total , Silicones ,...n ont jamais posé problèmes a personne , même pas aux écologistes.
Signaler RépondreElle permettra "de mesurer la présence de PFAS dans l’organisme (32 molécules recherchées) et d’évaluer de potentiels impacts sur sa santé",
Signaler RépondreAllons nous enfin découvrir ce qui infecte les cerveaux de l'extrême droite ?
Encore une tentative d'escroquerie pour semer la peur.
Signaler RépondreJean-Michel Aulas, président de la LFFP :
Signaler Répondre« C’est grâce à de tels engagements que le football féminin de haut niveau évolue. Les efforts conjoints des joueuses, des clubs, de la Fédération et des partenaires économiques aboutissent à une croissance remarquable du football féminin ces dernières années, croissance dont Arkema est un acteur majeur sur le territoire français. L’engagement d’une entreprise d’une telle renommée participe à la mise en lumière et à l’attractivité de notre championnat, en France mais aussi à l’international, où le développement de la discipline connaît un essor inédit dans toutes les régions du monde ».
Comment ne pas y voir de conflict d’intérêt
Signaler Répondrehttp://arkema.com/global/fr/media/newslist/news/global/corporate/2025/20250513-womens-football-premiere-ligue-commitment/
Arkema va devenir un boulet très gênant pour Aulas.
Signaler RépondreÇa va finir encore en scandale sanitaire cette affaire...
Signaler RépondreMerci les agriculteurs, on est le pays européen qui utilise le plus de pesticides, 68 000 T/an !
Forcément ça se retrouve dans les sols, l'eau et la nourriture...