Le chiffre d’affaires du groupe atteint 5,66 milliards d’euros, en légère baisse de 1,1 % en données publiées, mais stable à périmètre et change constants. Le résultat opérationnel d’activité (ROPA) ressort à 267 millions d’euros, soit un recul de 39,4 % sur un an.
Dans un contexte mondial difficile, le directeur général Stanislas de Gramont évoque des "tendances contrastées".
"Comme indiqué le 6 octobre, le troisième trimestre a été marqué par des tendances contrastées. La croissance en Grand Public a été moins soutenue qu’anticipé en Europe et freinée par l’attentisme persistant des clients aux États-Unis. La performance du Groupe est néanmoins restée solide en Chine, et sur plusieurs marchés européens. Par ailleurs, bien que toujours en retrait sur 9 mois, le Café Professionnel a renoué avec la croissance sur ce trimestre", précise le dirigeant.
Pour préparer la suite, le Groupe SEB lance un plan d’optimisation visant à "poursuivre nos investissements d’avenir, accélérer notre croissance et simplifier nos organisations, incluant environ 200 millions d’euros d’économies récurrentes à horizon 2027".
"Notre ambition est claire : renouer avec notre trajectoire de croissance durable et nos standards de rentabilité. Ce plan est un catalyseur de notre futur succès collectif", conclut Stanislas de Gramont.
Bien avant JC, Anthistène et ses cyniques, puis Sénèque et ses stoïciens ont bien essayé de tracer cette voie. On peut au moins s'en inspirer pour mener notre vie moderne au mieux.
Signaler RépondreMais l'humanité a choisi la consommation et la frénésie, et a du inventer les psys et les rézosociaux pour compenser ou atténuer son mal être grandissant, sans succès semble-t-il.
C'est curieux, ce penchant irrésistible pour le suicide de l'espèce ..
à l individu que le bonheur peut etre dans la simplicite ,la frugalite ,la reflexion et la moderation..ne parlons pas d ecologie tapageuse ,je parle d'une demarche simple à la blaise pascal..ou à la montaigne.un truc à l echelle de l individu..en souhaitant que l initiative vienne d une reflexion laique et reflechie du citoyen...et là ,c est la fin de la societe frenetique et absurde de consommation..mais quid des entreprises qui manufacturent actuellement tout ce theatre d' illusions?
Signaler Répondredejà ....,lorsque l on convoite un bien ,partir de la pensee basique:"est ce que j en ai vraiment besoin"?...apres mure reflexion,on peut tres souvent s en passer!meme de partir en vacances!!hi,hi,hi
c est un constat que je fais souvent moi meme...je precise que je ne suis pas deprime,avec des revenus modestes (on est toujours le riche de quelqu 'un)
Le Teflon a donc encore de l'avenir. Grace à Tefal le centre Léon-Berard aura encore des patients et les chercheurs médicaux aussi !
Signaler RépondreLe leader mondial du petit électroménager et article de cuisine.
Signaler RépondreArrêtons d’acheter de la M… et achetons Français
Tefal
krampouz
Forge Adour
De Buyer
SEB
Calor
Des fleurons du groupe Seb !
Depuis le 1er janvier, le titre SEB a perdu 40% de sa valeur.
Signaler Répondrehttps://actu.fr/auvergne-rhone-alpes/ecully_69081/lyon-en-panne-de-rentabilite-ce-grand-groupe-va-couper-ses-budgets-des-postes-supprimes_63348063.html
Le capitalisme et le libre échange ont de beaux jours devant eux, tant que les consommateurs n'auront pas compris le rôle fondamental qu'ils pourraient jouer, et le poids critique qu'ils pourraient peser, dans l'équilibrage du système.
Signaler RépondreJ'ai déjà cité sur ce forum je crois deux points qui éclairent mon commentaire :
- dans les années 60/70, il était question de rejeter le "veau aux hormones". L'action la plus spectaculaire et efficace a été le boycott quasi total des consommateurs de veau (en Suisse notamment).
- un slogan du parti communiste-CGT à cette époque était "vos emplettes sont vos emplois". Il est passé inaperçu, mais s'est avéré prémonitoire et reste d'actualité plus que jamais.
Si le consommateur n'avait pas la vue aussi courte .. Qu'on ne me parle pas du coût de la vie : il s'agit simplement de se poser sérieusement LA question "en ai-je vraiment besoin ?" et de refuser l'instantanéité de l'achat. Un budget s'adapte à ses revenus et surtout à ses besoins fondamentaux et ses valeurs. On peut économiser plusieurs mois pour acheter une poêle saine qui fera toute une vie.
Si on place son "bonheur" ou son plaisir dans la possession de la dernière paire de baskets à la mode, ou d'une garde robe surchargée, sur le conseil d'influenceurs-ceuses, comme leur nom l'indique, si on consent à manger des kiwis produits en Nouvelle Zélande, alors qu'il s'en cultive tout près de chez soi, si on achète une poêle chinoise-qui-n'attache-pas parce qu'elle est en tête de gondole du super marché, et si peu chère, etc etc, il y a du souci à se faire, sauf pour les psy.
Pour l'anecdote : à 8 ans, ma petite fille refusait de porter des T shirts avec des noms de marque ou des "dysneyseries" en disant "je ne suis pas une femme sandwich".
Vos compétences en économie sont impressionnantes. Tout n'est pas tout blanc/tout noir, hélas.
Signaler RépondreLe Groupe SEB pèse directement 33000 personnes dans le monde, il s'est étendu en rachetant des dizaines d'entreprises, dont certaines prestigieuses, et pratiquement toutes les marques qu'on retrouve dans votre cuisine : Moulinex, Tefal, Rowenta entre autres.
Il fait travailler d'innombrables sous traitants de 1er et 2ème rang, et suivants, pour l'équipement des usines, car il ne s'agit pas que de casseroles.
Je ne suis pas du tout actionnaire du Groupe, et suis côté décroissance, mais j'affirme qu'on ne peut tirer un trait ironique et rageur sur une telle organisation.
On sera bien avancé quand on aura appris à jouer avec les règles de ce qui nous pose probleme.
Signaler RépondrePrendre des cours..
Accessoirement, le libre-échange n'est pas de droit-divin.. on n'est pas obligé de faire comme si c'était immuable.
Dans tous les cas, rémunérer la finance, et importer à bas coût, et conserver des capacités de production rentables et les emplois qui vont avec.. c'est impossible.
Là, des casseroles.. si on veut produire des casseroles, soit on taxe l'import, soit on stoppe l'import.. faute de l'un ou de l'autre, soit on subventionne la production, soit on stoppe la production.
Il est inutile de chercher dans le libre-échange une solution équilibrée qui par définition n'existe pas.. en tous cas ceux qui ont pris des cours, et en donnent, soit ne l'ont pas trouvée soit la gardent pour eux..
Monsieur a plein d'actions à ce que je vois ;-)
Signaler RépondreIl faut choisir ses casseroles plutot que de laisser trainer des gamelles . Un grand nombre de produits chinois sont éphémères
Signaler RépondreEt lapin
Signaler RépondreTu me fais penser avec tes idée des année 20 que le capital n’a pas de nationalité
Pour éviter de payer des gens comme toi le capital va partir de France pour investir en Chine
Quite a se faire insulter autant le faire par des robots
En attendant va prendre des cours d’économie et de finance , tu auras ke temps pendant ton chômage
les chinetoques demoulent du materiel concurrent 30 fois moins cher:comment que tu fais alors?donnes nous tes conseils...avises?...sachant que meme en remunerant moins le capital çà marche pas!...seul le retablissement de taxes aux frontieres retablirait peut etre?, une course à la productivite par l investissement productif machines en france?et l equilibre des marches?...disney l a bien compris en supprimant l accord avec shein ,ne souhaitant pas entacher sa reputation en endossant le role de negrier qui casse les marches de la sape en france
Signaler RépondrePour le plan d’optimisation il suffit de moins rémunérer pendant 2 ans les actionnaires et ça repartira de plus belle, ils auront à terme plus de pognon, mais non eux c'est le flouze tout de suite...
Signaler RépondreAu lieu de bêtement réduire les effectifs ce qui ne va pas manquer d'arriver.