Fermée depuis plus de trente ans, la Galerie des Terreaux s’apprête enfin à faire peau neuve. Longtemps laissée à l’abandon, utilisée seulement pour des événements ponctuels, elle fait aujourd’hui l’objet d’un vaste chantier mené par la Ville de Lyon et la SEM Patrimoniale du Grand Lyon. L’objectif est de transformer ce passage historique en un pôle d’activités dédié aux artisans-réparateurs, en plein cœur du 1er arrondissement.

Les travaux ont débuté au printemps 2025 avec une importante phase de démolition. Une étape indispensable pour remettre en état ce lieu emblématique, au cœur d’un périmètre inscrit au Patrimoine mondial de l’UNESCO. “On est très contents que ces travaux avancent parce que c'est un lieu sur lequel il y a eu beaucoup de spéculations. Et là, c’est concret : on agit”, a expliqué Yasmine Bouagga, maire du 1er arrondissement. “Bien sûr, ce n'est pas en un claquement de doigts qu’on peut rouvrir un lieu fermé depuis 30 ans. Les travaux sont conséquents, mais ils ont bien démarré”.
Derrière cette remise aux normes, le projet est clair, il faut faire de la galerie une “Cité des artisans-réparateurs”. L’espace accueillera des professionnels de la réparation textile, du petit électroménager, de l’informatique, de la téléphonie ou encore de la création issue du réemploi. En revanche, impossible d’y retrouver de gros objets pour des raisons logistiques.
Pour la municipalité, il s’agit autant de soutenir une économie utile que de transformer les habitudes des citadins. “On sait qu'on a besoin de pouvoir réparer des objets du quotidien. Ça change notre rapport à la consommation et ça soutient une économie qui fait sens dans la ville”, a souligné Yasmine Bouagga qui compte “mettre en valeur la ville et son patrimoine”.

La Ville de Lyon mène actuellement une seconde phase de travaux, axée sur les façades et les sanitaires, prévue jusqu’à l’hiver 2026. Le budget prévisionnel global s’élève à 1,65 M€ financés par le Plan pluriannuel d'investissement, auxquels s’ajoutent 2,5 M€ engagés par la SEMPAT pour l’aménagement futur du site.
“L’objectif, c’est de faire revivre la Galerie des Terreaux et qu’elle redevienne un lieu d’activité économique qui ferait une passerelle entre la Presqu’île et les pentes de la Croix-Rousse”, a résumé Sylvain Godinot, l’adjoint au Maire délégué à la Transition écologique et au patrimoine.
ma télé à réparer dans un vélo cargo?
Signaler RépondreLa cession salle Rameau a été gérée par la municipalité Collomb...
Signaler RépondreT'es sérieux !
Signaler RépondreDans le 1er on laisse tomber la salle rameau et la cutulture mais pour les vélos et faire du moche rue de la Ré "moi y en a avoir des sous"
Signaler RépondreAu moins le projet a le mérite d'être lancé.
Signaler RépondreAttendez de voir s'il marche avant de critiquer a tout va.
Le calcul c’est qu’il y a juste assez de place dans chacune de ces alvéoles pour loger un artisan, ses outils et quelques étagères d’objets en attente de réparation.
Signaler RépondreC’est pas que la ville s’attend à une grande demande, c’est qu’elle n’a rien trouvé d’autre qui pourrait tenir dans l’espace disponible.
Projet complètement naze et économiquement non fiable m.
Signaler RépondreComme le chalet du parc, ces deux lieux seront voués à l'échec, à l'image nullissime des élus de cette mairie.
Projet nul, idéologique, déconnecté. Heureusement qu'ils n'auront le temps de rien faire avant la dérouillée qui les attend en mars 2026... avec un nouveau maire digne de ce nom, cette galerie pourra être utilisée décemment pour servir une vraie vision d'avenir. En attendant le départ des catastrophés pastèuos, faut faire le dos rond.
Signaler RépondreAlors l'idée et bien car franchement sa manque de magasin réparations en tout ( hormis téléphone ou deux jours après sa tiens plus) après j'ai peur que bcq sans serve pour SDF ect
Signaler RépondreRéparer des vélos pour te faire plaisir
Signaler RépondreVoilà l'exemple précis des électeurs de gâuche verte,
Signaler RépondreDes extrémistes qui ne supportent pas qu'on vous fasse une remarque, lol
En plus , sortir ce projet à quelques mois des élections, c'est clairement une tentative de poudre aux yeux
Rouvrir cette galerie, oui, mais pas avec un tel projet issu de l'idéologie de gauche et de ses dogmes. Ça sent la lose à plein nez.
Signaler RépondrePour faire revivre le quartier il faudrait déjà le débarrasser de son insécurité et permettre aux consommateurs à fort pouvoir d'achat de pouvoir venir à Lyon facilement. On aurait aussi pu faire une galerie du made in France et des producteurs et artisans locaux. Là on va se retrouver avec trois pelos qui vont faire resemeler leur mocassins, et un réparateur de téléphone qui blanchira l'argent sale de son cousin.
Chronique d'un échec annoncé.
il leur a fallu du temps ..........il est vrai que c'est pile en face de l'hôtel de ville !
Signaler RépondreVous proposez quoi les droitardés pleurnicheurs professionnels ?
Signaler RépondreVous avez quelques idées géniales à poser sur la table ? Surtout ne vous gênez pas, qu'on juge sur pièces.
Ca fait plus de 30ans que la ville essaie de faire vivre ce coin insalubre. En vain.? Et les écolos, qui ont salopé la ville ( regardez le nombre de magasins fermés) vaudraient être plus malins... En 6 ans on a vu.
Signaler RépondreLe bas de gamme n’est pas recyclable ou réparable, il est conçu pour tomber en morceaux…
Signaler RépondreC’est bien que la ville essaie de faire quelque chose de cette galerie, mais elle n’a pas été abandonnée pendant 30 ans pour rien. Les locaux sont exigus et incompatibles avec une activité commerciale moderne. Même une gare n’en voudrait pas comme kiosques.
Une super initiative, qui prouve de l'utilité concrète d'avoir élu une majorité écologiste et sociale en 2020.
Signaler RépondreOn ne doit pas détruire tous ces acquis !
Dans l’air du temps : recyclage plutôt que surconsommation bas de gamme. Quand on sait que les marques de luxe sont produites par des travailleurs exploités à l’étranger avec des matières premières à 2 balles, le choix est vite fait : recycler le bas de gamme.
Signaler RépondreC'est bien que la galerie ré-ouvre ( 30 ans déjà !)
Signaler RépondreEn revanche le projet est déjà mort né , tellement deconnecté des réalités économiques .... J'espère seulement me tromper ...
C'est délirant comme projet, les terreaux sont inaccessibles...
Signaler RépondreLes gens vont venir en vélo cargo?
Les bons artisans existent déjà, sans subventions on va faire chuter ler C.A. .
C'est sûr qu'en presqu'île le commerce se porte tellement bien....
L'avantage c'est qu'on pourra débloquer rapidement un téléphone volé sur la place des terreaux...
cela fait combien de fois depuis 30 ans que cette renaissance est annoncée débutée et périclite
Signaler Répondrepour la téléphonie, la guillotiere va avoir de la concurrence… ou pas, on va voir les tarifs pratiqués 😅🤣
Signaler RépondreL'emplacement est fonctionnel. Au lendemain du 22 mars, il suffira à toute l'équipe municipale de traverser la place pour se faire recycler.
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