Selon une source judiciaire, « il s'agit selon toute vraisemblance du crime d'une personne déséquilibrée. » Les thèses d’une dispute familiale ou d’un conflit de voisinage semblent écartées. La famille du meurtrier présumé a évoqué devant les enquêteurs une hospitalisation en psychiatrie dans son pays d’origine la Turquie il y a 5 ans. Les experts devront désormais apprécier le degré de responsabilité du suspect. Par ailleurs, les drapeaux de l’Hôtel de Ville de Meyzieu sont en berne et les élus observeront, à la demande du maire, une minute de silence lors du conseil municipal mercredi soir en hommage à la petite victime.