Critères de licenciement : Kem One convoque les syndicats
Le groupe chimique lyonnais, toujours en redressement judiciaire, organisera une réunion mardi.
Lyon : fin de la grève chez Loomis, un accord trouvé avec la direction
Les convoyeurs de fonds avaient rendez-vous ce vendredi matin avec la direction autour de la table des négociations. Les discussions ont duré une bonne partie de la journée et un protocole de fin de conflit a été signé vendredi après-midi. Les convoyeurs ont du revoir leurs revendications à la baisse. Ils demandaient le respect d'un accord d'entreprise prévoyant le paiement d'une prime de 5400 euros étalée sur six mois. L'accord signé ce vendredi prévoit une prime de 800 euros bruts par trimestre sur 18 mois, soit environ 3700 euros. Un protocole qui est donc loin de l'accord d'entreprise dont les convoyeurs demandaient l'application. Ils n'ont pas non plus obtenu le paiement de leurs jours de grève. Tous ont accepté de reprendre le chemin du travail dès demain.
Grève chez Loomis à Lyon : les négociations toujours dans l'impasse
Les convoyeurs de fonds ont rencontré ce jeudi la direction de Loomis. Cette dernière leur propose une prime de 2000 euros brut étalés sur 24 mois. Les grévistes, eux, demandent l'application d'un accord prévoyant une prime de 150 euros par mois sur 36 mois. Conscients qu'ils n'obtiendraient pas satisfactions, les convoyeurs demandent à présent 4900 brut étalés sur 24 mois. Une nouvelle réunion est prévue vendredi matin à 8 heures au siège de la société à Rillieux-la-Pape. Les convoyeurs poursuivent donc la grève, d'autant que deux d'entre eux sont convoqués en référé lundi prochain au TGI pour entrave à la liberté du travail.
Grève des convoyeurs Loomis à Lyon : statu quo après une entrevue avec la direction
Les convoyeurs de fonds de chez Loomis sont en grève depuis dix jours.
Grève chez Loomis à Lyon : les convoyeurs bloquent le centre fort dans le 7e (Màj)
Depuis 6 heures, mardi matin, les convoyeurs en grève de chez Loomis empêchent les fourgons de sortir du centre fort, à Lyon 7e.
Grève chez Loomis à Lyon : les convoyeurs durcissent le mouvement
Après neuf jours de conflit, un rassemblement était prévu lundi matin, devant les bureaux de la société Loomis à Rilleux. Mais les syndicats ont été invités par la direction à la table des négociations. Des discussions qui n'ont abouti à rien selon la CGT. Les convoyeurs de fonds se rassembleront mardi matin, dès 6 heures, au centre fort, rue du vivier dans le 7e arrondissement de Lyon. Ils comptent bloquer les fourgons toute la journée. Les salariés de chez Loomis demandent un respect de l'accord sur la prime déménagement de l'agence 150 euros, sur la prime de vie chère de 250 euros et une amélioration des conditions de travail.
Grève des convoyeurs Loomis : un rassemblement prévu lundi à Rillieux
Les convoyeurs de fonds de l'entreprise Loomis sont en grève depuis le 29 juillet dernier. Ils protestent contre la non-attribution d'une prime de 150 euros, d'une autre de 250 euros dite prime de vie chère. Ils demandent aussi une augmentation de salaires et une amélioration des conditions de travail. La CGT accuse la société d'essayer « de laisser pourrir le mouvement et ne répond pas aux grévistes ». La direction refuserait toute réelle négociation, selon le syndicat. Un rassemblement est prévu lundi matin à 10 heures devant la direction de l'entreprise à Rillieux-la-Pape.
Protecval : des convoyeurs de fonds lyonnais en grève
Ils demandent à ce que le statut de convoyeur de fonds leur soit reconnu. Des salariés de Protecval, filiale de la société Brink's, sont en grève depuis lundi. Bien qu'ils transportent à longueur de journée des sommes d'argent, ils ne sont employés qu'en tant que chauffeur livreur. D'autant que les sommes sont parfois importantes : souvent moins de 30 000 euros, ils peuvent transporter jusqu'à 100 000 euros. Pourtant aucune protection, ni gilet par balles, ni fourgon blindé, ne sont à leur disposition. Ils se déplacent en voiture banalisée. Autre différence de taille : alors que les convoyeurs de fonds touchent environ 1600 euros par mois brut, leur salaire ne dépasse pas 1189 euros. Ils ne touchent pas non plus de prime de risques. Selon le Progrès, les salariés auraient refusé lundi une proposition de la direction de revaloriser de 8% leurs salaires.
Lyon 7e : le squat de la Madeleine sera évacué fin aout après un an d'occupation
Une centaine de personnes, qui squatte un immeuble rue de la Madeleine depuis septembre dernier, va devoir faire ses valises.
Les salariés de Colas Rhône-Alpes Auvergne ont manifesté mardi
Environ 150 personnes se sont retrouvées mardi devant le siège du groupe à Gerland, dans le 7e arrondissement de Lyon. A l'appel de la CGT et de la CFDT les salariés sont venus manifester leurs craintes par rapport à de nouveaux accords d'entreprise qui ont été signés mardi entre direction et syndicats. Ils dénonçaient notamment une perte de leur pouvoir d'achat.
Saint-Quentin-Fallavier : un syndicat demande le départ du directeur de la prison
L'agitation persiste au sein de la prison de Saint-Quentin-Fallavier : le syndicat pénitentiaire Ufap demande le départ du directeur, au lendemain de la prise d'otage d'une jeune gardienne par un détenu. L'encadrement de la prison doit être revu "en profondeur", selon le communiqué publié par l'Ufap. De son côté, le directeur de l'établissement répond ce jeudi matin dans le Dauphiné Libéré qu'il n'a pas l'intention de partir.
Lyon : les salariés de Kem One fixés sur leur sort le 26 septembre
A l’appel de la CGT, entre 200 et 300 salariés du groupe chimique ont manifesté ce mardi matin devant le tribunal de commerce de Lyon, où étaient étudiés les lettres d'intention des éventuels repreneurs.
Vendanges : 12 000 postes à pourvoir en Rhône-Alpes
Le recrutement des vendanges débutera dès ce mois de juillet.
Rhône : huit candidats à la reprise de Kem One
Un huitième candidat s'est rajouté à la reprise du groupe chimique, dont le siège est basé à Lyon.
450 jeunes bénéficient d'un emploi d'avenir dans le Rhône
Ce qui représente seulement un quart des objectifs à atteindre d'ici la fin de l'année, soit1 800 postes. Ces contrats d'avenir sont destinés aux demandeurs d'emploi de 16 à 25 ans, peu ou pas qualifiés. Selon le Progrès, 58% des bénéficiaires sont des femmes, et 67% sont âgés entre 21 et 25 ans. Une quinzaine de jeune a été recrutée dans les collectivités territoriales à Villeurbanne et une dizaine Saint-Fons. En revanche, la ville de Lyon et le Grand Lyon n'acceptent pas pour le moment ce type de contrat.
Kem One : plus d'une centaine de salariés manifestent devant l'Hôtel de Région
Ce vendredi midi, ils étaient 130 à manifester symboliquement.
Reprise de Bosch à Vénissieux : c'est bien parti
C'est une très bonne nouvelle qui s'annonce pour les employés de l'usine Bosch, en redressement depuis trois mois : un repreneur serait en passe d'être enfin trouvé. Selon Le Progrès de vendredi, deux offres auraient été formulées, dont l'une, particulièrement convaincante, émanant de l'Italien Pufin Power. L'entreprise transalpine aurait le projet de conserver l'essentiel des effectifs - seuls 20 à 30 emplois "indirects" ne seraient pas reconduits. Le syndicat CFDT de l'usine photovoltaïque a demandé qu'une rencontre soit organisée avec le PDG de Pufin. Celle-ci pourrait avoir lieu le 19 juillet.
Dernier jour vendredi pour la grève des cantines scolaires à Lyon
Le mouvement a commencé il y a 15 jours. Depuis le début de la semaine, plusieurs parents ont décidé d'occuper quatre écoles de la ville à l'heure du déjeuner pour organiser des pique-niques. Ils s'estiment pris en otage par les grévistes et s'inquiètent de savoir si la grève continuera à la rentrée, alors que la CGT a déjà déposé un préavis. Jeudi, 202 des 1 300 agents étaient en grève et au moins 35 restaurants scolaires sur 122 ne devraient pas encore servir de repas aux élèves vendredi dans des écoles primaire et maternelle de Lyon.
Grève des cantines : un dernier jour suivi, la Ville fait le point sur la facturation
En plus des problèmes d'organisation qu'a posé le mouvement ces deux dernières semaines, la réception des factures de cantine avait fini d'achever les parents d'élèves.
Grève dans les cantines à Lyon : les parents se rebellent
Alors que 35 restaurants scolaires devraient rester fermés ce jeudi à Lyon, deux nouvelles occupations d'écoles sont prévues.














