Lyon : l’adjoint à la Sécurité réagit à l’attaque d’un poste de police municipale sans définir les casseurs

Lyon : l’adjoint à la Sécurité réagit à l’attaque d’un poste de police municipale sans définir les casseurs
Mohamed Chihi - LyonMag

Le strict minimum.

Ce jeudi soir, 3000 personnes environ se sont rassemblées dans les rues du centre-ville de Lyon pour protester "contre les violences policières" après les événements du week-end dernier à Sainte-Soline. L’occasion pour une poignée de casseurs d’attaquer un poste de la police municipale rue Terme, où les façades ont été particulièrement vandalisées. Un assaut dénoncé ce vendredi matin par Mohamed Chihi, adjoint à la Sécurité auprès de Grégory Doucet.

"Je déplore et condamne les dégradations du poste de police municipale du 1er arrondissement. J'apporte tout mon soutien aux policiers municipaux avec qui j'échangerai sur place dans la journée" indique sur Twitter l’élu encarté à Europe Ecologie-Les Verts. "Ces violences ne font pas avancer la cause des travailleurs" poursuit celui qui ne précise pas dans ses propos le profil des casseurs issus de l’ultra-gauche. Des tags inscrits sur les murs du bâtiment souillé laissent pourtant peu de doutes : "ACAB" ou "Dissolution du gouvernement, pas des soulèvements" pouvait-on lire ce jeudi soir à côté des vitres brisées du poste.

Pour rappel, plusieurs associations et partis politiques à l'instar d'Europe Ecologie-Les Verts participaient au rassemblement contre les violences policières prévu à Lyon, et qui laissait craindre des violences. D’autant plus que le mouvement des anarchistes a pris encore plus d’ampleur cette semaine à Lyon avec le saccage en règle du cours Gambetta lors de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites.

X
50-100 sur 58 commentaires
Laisser un commentaire
avatar
Amar Melade le 31/03/2023 à 12:11
Monpays a écrit le 31/03/2023 à 11h30

On peut encore rappeler que le concept de "violences policières" n existe pas car l usage de le force et de la contrainte est un mode légitime validé par notre constitution , n'en déplaise au agitateurs publics qui veulent bien lancer des pavés mais pas recevoir les baffes qu'ils méritent. Lorsqu'on se lance dans la guérilla, comme récemment, il faut accepter de mourir au combat et pas venir pleurnicher comme des fillettes au moindre bobo avec la compassion et peut etre même la complaisance de ceux qui se taisent.
Et quand on franchi délibérément la ligne rouge légale on ferme sa gueule, on fait preuve de courage et on assume . OUI au droit de riposte Disproportionné pour les forces de l'ordre , il faut les secouer tous ces petits cons Zadistes ultra violents pour lesquels il conviendrait d'appliquer le droit de la guerre et non celui de la république démocratique dont ils se foutent eux mêmes

Affirmatif
"La garde meure mais ne se rend pas" ça c'etait avant... ceux de la" jeune" garde ce serait plutôt je casse, je pille, je me sers et les autre peuvent crever

Signaler Répondre

avatar
+ 1000 le 31/03/2023 à 12:00
Monpays a écrit le 31/03/2023 à 11h30

On peut encore rappeler que le concept de "violences policières" n existe pas car l usage de le force et de la contrainte est un mode légitime validé par notre constitution , n'en déplaise au agitateurs publics qui veulent bien lancer des pavés mais pas recevoir les baffes qu'ils méritent. Lorsqu'on se lance dans la guérilla, comme récemment, il faut accepter de mourir au combat et pas venir pleurnicher comme des fillettes au moindre bobo avec la compassion et peut etre même la complaisance de ceux qui se taisent.
Et quand on franchi délibérément la ligne rouge légale on ferme sa gueule, on fait preuve de courage et on assume . OUI au droit de riposte Disproportionné pour les forces de l'ordre , il faut les secouer tous ces petits cons Zadistes ultra violents pour lesquels il conviendrait d'appliquer le droit de la guerre et non celui de la république démocratique dont ils se foutent eux mêmes

Enfin un commentaire responsable et étayé. Mais qui a mis dans la tête de ces voyous que l'on peut tout faire sans risquer une baffe. Que des durs, des courageux qui vont pleurer dans les jupes de maman dès que ça chauffe. Ah, elle est belle la France avec cette engeance.

Signaler Répondre

avatar
loloploi le 31/03/2023 à 11:58
eh beh a écrit le 31/03/2023 à 11h50

Exile toi dans un pays totalitaire mon grand.

c'est clair que bruler les commissariats et les mairies c'est une evolution vers un pays beaucoup plus libre ou chacun peut vivre sa vie paisiblement ..

Signaler Répondre

avatar
Pilou69 le 31/03/2023 à 11:56

Il ne va pas cracher sur ses grands potes.....

Signaler Répondre

avatar
eh beh le 31/03/2023 à 11:50
Monpays a écrit le 31/03/2023 à 11h30

On peut encore rappeler que le concept de "violences policières" n existe pas car l usage de le force et de la contrainte est un mode légitime validé par notre constitution , n'en déplaise au agitateurs publics qui veulent bien lancer des pavés mais pas recevoir les baffes qu'ils méritent. Lorsqu'on se lance dans la guérilla, comme récemment, il faut accepter de mourir au combat et pas venir pleurnicher comme des fillettes au moindre bobo avec la compassion et peut etre même la complaisance de ceux qui se taisent.
Et quand on franchi délibérément la ligne rouge légale on ferme sa gueule, on fait preuve de courage et on assume . OUI au droit de riposte Disproportionné pour les forces de l'ordre , il faut les secouer tous ces petits cons Zadistes ultra violents pour lesquels il conviendrait d'appliquer le droit de la guerre et non celui de la république démocratique dont ils se foutent eux mêmes

Exile toi dans un pays totalitaire mon grand.

Signaler Répondre

avatar
Weezon le 31/03/2023 à 11:46

Franchement, vu leur fréquence de patrouilles, ça ne changera pas grand chose dans le quartier...

Signaler Répondre

avatar
Hehe le 31/03/2023 à 11:31

Faudrait pas trop en demander non plus à l'adjoint à l'insécurité de la ville quand même...

Signaler Répondre

avatar
Monpays le 31/03/2023 à 11:30

On peut encore rappeler que le concept de "violences policières" n existe pas car l usage de le force et de la contrainte est un mode légitime validé par notre constitution , n'en déplaise au agitateurs publics qui veulent bien lancer des pavés mais pas recevoir les baffes qu'ils méritent. Lorsqu'on se lance dans la guérilla, comme récemment, il faut accepter de mourir au combat et pas venir pleurnicher comme des fillettes au moindre bobo avec la compassion et peut etre même la complaisance de ceux qui se taisent.
Et quand on franchi délibérément la ligne rouge légale on ferme sa gueule, on fait preuve de courage et on assume . OUI au droit de riposte Disproportionné pour les forces de l'ordre , il faut les secouer tous ces petits cons Zadistes ultra violents pour lesquels il conviendrait d'appliquer le droit de la guerre et non celui de la république démocratique dont ils se foutent eux mêmes

Signaler Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.
Les champs requis sont identifiés par une étoile *
Si vous avez un compte Lyon Mag, connectez-vous.
Nous ne vous enverrons pas d'email sans votre autorisation.

Le compte Lyon Mag est gratuit et facultatif. Il vous permet notamment de réserver votre pseudonyme pour les commentaires, afin que personne ne puisse utiliser le pseudo que vous avez enregistré.
Vous pouvez créer un compte gratuitement en cliquant ici.