«Tu vas bien détendre ton épaule. Laisse toi aller. On respire fort et hop ! Ça va ?» Une dizaine de minutes et un pansement plus tard, Margaux sort rassurée de l’infirmerie de son lycée. Cette élève de 1ère S a dit « oui » pour se faire vacciner mais ses parents l’ont bien conseillée. «C’était mes parents qui étaient plutôt pour. Ma mère travaille dans le milieu hospitalier. Elle a eu des avis des médecins et des professeurs lui disant qu’il fallait mieux se faire vacciner» Tout s’est donc bien passé pour Margaux. Mais pour sa sœur jumelle Myriam, la vaccination a été une petite épreuve. «On m’a dit : «je vais juste te faire un petite piqure au bras gauche». Elle m’a dit que ça ne devrait pas faire mal mais ça m’a fait mal. Quand elle m’a mis le produit, ça m’a lancé dans le bras. J’ai souffert pendant une minute» Une cinquantaine d’élèves par jour, sur les 1000 que compte le lycée Frédéric Fays, sont attendus jusqu’à vendredi. Les équipes de vaccination feront le tour des établissements jusqu’aux vacances de Noël. Et d’ici là, l’Académie résoudra quelques petits problèmes. Simone Christin, l’inspectrice pour le Rhône le confirme : «Dans tous les centres on nous pose des questions sur la logistique, sur l’accueil des élèves. tout est regardé attentivement de façon que tout soit parfait.» Et il suffit à un élève d’avoir son bon de vaccination et son autorisation parentale en tant que mineur pour se faire administrer le traitement.
Cherchez à qui tout cela profite: un seul labo producteur. La Bachelot grande ordonnatrice du cirque d'automne organise le foutoir. Personne n'y croit mais ces ministres de bas étage ont trop peur de l'avis du peuple et principe de précaution oblige on s'organise comme on peut. Tamiflu le produit miracle à base de fleurs de gentiane et de fleurs d'anis : choutez-vous au pastis et à la suze. Effet garanti !!!
Signaler Répondre