Nuit du 14 juillet à Lyon : la police prise pour cible, des véhicules incendiés

GLOUGLOU 1ER a écrit le 15/07/2025 à 10h09

Etes-vous contre les véhicules électriques ?
Pourquoi vivez vous en ville ?
Vous sentez vous prolétaire ?
Avez vous fait des études ?

CRousso a écrit le 15/07/2025 à 06h53

Ces jeunes œuvrent pour la défense de la planète et du vivant, ils prennent leur destin en main.
Bruler une voiture est un acte de rédemption et te citoyen ,
Non, la voiture n’est pas un symbole de liberté. Elle est le totem d’un monde à bout de souffle, d’un modèle virilise qui écrase tout sur son passage , la planète, les corps, le vivant.
Il est temps d’en finir avec ce fantasme de toute-puissance motorisée.
Parce que oui, la voiture individuelle en ville est une absurdité politique, sociale et écologique.
Elle encombre, elle pollue, elle tue.
Elle incarne cette idée selon laquelle il faudrait toujours aller plus vite, plus loin, seul.e, en dévorant l’espace commun comme on dévore la planète.
Mais ce modèle, c’est celui des dominants.
Des hommes pressés. Des cadres climatosceptiques. Des politiques frileux qui reculent dès qu’on touche au confort du vieux monde.
Asphyxiés par le dioxyde d’azote, nos enfants respirent moins bien qu’une autoroute.
Les plus précaires, ceux qui n’ont ni voiture ni lobby pour les défendre, subissent de plein fouet les conséquences de cette violence mécanique.
Il faut une rupture. Radicalement.
Sortir la voiture de nos centres-villes, c’est affirmer un choix de civilisation.
Un choix pour les vivants. Pour les enfants. Pour le futur.
Et j’en ai assez de ceux qui crient à la « dictature verte ».
Ce n’est pas la ZAD qui détruit le climat. C’est la ZFE qu’on n’a jamais osé appliquer.
Ce n’est pas le vélo qui tue, c’est le 4x4 du dimanche, clim’ à fond, mépris en bandoulière.
Alors oui, je le dis, et je l’assume : la voiture en ville doit disparaître.

Pas demain, pas dans 20 ans. Maintenant.

CRousso a écrit le 15/07/2025 à 06h53

Ces jeunes œuvrent pour la défense de la planète et du vivant, ils prennent leur destin en main.
Bruler une voiture est un acte de rédemption et te citoyen ,
Non, la voiture n’est pas un symbole de liberté. Elle est le totem d’un monde à bout de souffle, d’un modèle virilise qui écrase tout sur son passage , la planète, les corps, le vivant.
Il est temps d’en finir avec ce fantasme de toute-puissance motorisée.
Parce que oui, la voiture individuelle en ville est une absurdité politique, sociale et écologique.
Elle encombre, elle pollue, elle tue.
Elle incarne cette idée selon laquelle il faudrait toujours aller plus vite, plus loin, seul.e, en dévorant l’espace commun comme on dévore la planète.
Mais ce modèle, c’est celui des dominants.
Des hommes pressés. Des cadres climatosceptiques. Des politiques frileux qui reculent dès qu’on touche au confort du vieux monde.
Asphyxiés par le dioxyde d’azote, nos enfants respirent moins bien qu’une autoroute.
Les plus précaires, ceux qui n’ont ni voiture ni lobby pour les défendre, subissent de plein fouet les conséquences de cette violence mécanique.
Il faut une rupture. Radicalement.
Sortir la voiture de nos centres-villes, c’est affirmer un choix de civilisation.
Un choix pour les vivants. Pour les enfants. Pour le futur.
Et j’en ai assez de ceux qui crient à la « dictature verte ».
Ce n’est pas la ZAD qui détruit le climat. C’est la ZFE qu’on n’a jamais osé appliquer.
Ce n’est pas le vélo qui tue, c’est le 4x4 du dimanche, clim’ à fond, mépris en bandoulière.
Alors oui, je le dis, et je l’assume : la voiture en ville doit disparaître.

Pas demain, pas dans 20 ans. Maintenant.

CRousso a écrit le 15/07/2025 à 06h53

Ces jeunes œuvrent pour la défense de la planète et du vivant, ils prennent leur destin en main.
Bruler une voiture est un acte de rédemption et te citoyen ,
Non, la voiture n’est pas un symbole de liberté. Elle est le totem d’un monde à bout de souffle, d’un modèle virilise qui écrase tout sur son passage , la planète, les corps, le vivant.
Il est temps d’en finir avec ce fantasme de toute-puissance motorisée.
Parce que oui, la voiture individuelle en ville est une absurdité politique, sociale et écologique.
Elle encombre, elle pollue, elle tue.
Elle incarne cette idée selon laquelle il faudrait toujours aller plus vite, plus loin, seul.e, en dévorant l’espace commun comme on dévore la planète.
Mais ce modèle, c’est celui des dominants.
Des hommes pressés. Des cadres climatosceptiques. Des politiques frileux qui reculent dès qu’on touche au confort du vieux monde.
Asphyxiés par le dioxyde d’azote, nos enfants respirent moins bien qu’une autoroute.
Les plus précaires, ceux qui n’ont ni voiture ni lobby pour les défendre, subissent de plein fouet les conséquences de cette violence mécanique.
Il faut une rupture. Radicalement.
Sortir la voiture de nos centres-villes, c’est affirmer un choix de civilisation.
Un choix pour les vivants. Pour les enfants. Pour le futur.
Et j’en ai assez de ceux qui crient à la « dictature verte ».
Ce n’est pas la ZAD qui détruit le climat. C’est la ZFE qu’on n’a jamais osé appliquer.
Ce n’est pas le vélo qui tue, c’est le 4x4 du dimanche, clim’ à fond, mépris en bandoulière.
Alors oui, je le dis, et je l’assume : la voiture en ville doit disparaître.

Pas demain, pas dans 20 ans. Maintenant.

Je suis consterné a écrit le 15/07/2025 à 09h03

La voiture est indispensable pour aller au travail, pour se réapprovisionner, pour se faire soigner ... Tout le monde ne peut pas rester chez soi à attendre les allocations de l'état. Votre modèle de civilisation n' a aucune chance de fonctionner. Le pire c'est que vous êtes dans le déni. Comment ferez vous quand vos centre ville seront vidés de commerçants. Allez vous faire plusieurs kilomètres avec des dizaines de kilos en vélo pour ramener de quoi manger ?

@au type de 8h59 de ce 15 juillet a écrit le 15/07/2025 à 09h08

Avez vous des preuves?

Sabri69 a écrit le 15/07/2025 à 08h30

20 voitures brûlées et policièrs agresser duchere hier

Pff a écrit le 15/07/2025 à 08h43

Genre ya des adultes qui donnent l'ordre aux gamins d'aller brûler des voitures.

Et meme je suppose que dans ton esprit de cadre très bien insérer vivant à Saint Cyr au Mont D'or, tu pense qu'il doit y avoir des barbus qui prépare des attentats dans les caves au milieu des barrettes de shits.

Détend toi la nouille je suis sur que dans ta jeune vie ta déjà jeté une cannette sur la police.

Ce que font les jeunes aujourd'hui sont tout simplement des conneries de gamins, mais qui sont malheureusement de plus en plus violente, car la société l'est également.

Ils faut etre plus ferme.
La dessus nous sommes d'accord.

CRousso a écrit le 15/07/2025 à 06h53

Ces jeunes œuvrent pour la défense de la planète et du vivant, ils prennent leur destin en main.
Bruler une voiture est un acte de rédemption et te citoyen ,
Non, la voiture n’est pas un symbole de liberté. Elle est le totem d’un monde à bout de souffle, d’un modèle virilise qui écrase tout sur son passage , la planète, les corps, le vivant.
Il est temps d’en finir avec ce fantasme de toute-puissance motorisée.
Parce que oui, la voiture individuelle en ville est une absurdité politique, sociale et écologique.
Elle encombre, elle pollue, elle tue.
Elle incarne cette idée selon laquelle il faudrait toujours aller plus vite, plus loin, seul.e, en dévorant l’espace commun comme on dévore la planète.
Mais ce modèle, c’est celui des dominants.
Des hommes pressés. Des cadres climatosceptiques. Des politiques frileux qui reculent dès qu’on touche au confort du vieux monde.
Asphyxiés par le dioxyde d’azote, nos enfants respirent moins bien qu’une autoroute.
Les plus précaires, ceux qui n’ont ni voiture ni lobby pour les défendre, subissent de plein fouet les conséquences de cette violence mécanique.
Il faut une rupture. Radicalement.
Sortir la voiture de nos centres-villes, c’est affirmer un choix de civilisation.
Un choix pour les vivants. Pour les enfants. Pour le futur.
Et j’en ai assez de ceux qui crient à la « dictature verte ».
Ce n’est pas la ZAD qui détruit le climat. C’est la ZFE qu’on n’a jamais osé appliquer.
Ce n’est pas le vélo qui tue, c’est le 4x4 du dimanche, clim’ à fond, mépris en bandoulière.
Alors oui, je le dis, et je l’assume : la voiture en ville doit disparaître.

Pas demain, pas dans 20 ans. Maintenant.

Socrate69 a écrit le 15/07/2025 à 07h39

Vous recherchez un territoire isolé dans habitations proches
Vous montez de hauts murs avec caméras et système de protection
Vous installez des baraquements (pré-fabriqués ou autres)
Vous instaurez un réglement interne rigoureux: lever 6h, activités sportives et éducatives, coucher 21h. Voir des ateliers de production
En encadrants vous avez un peu le choix je pense
Ceci en métropole ou dans des pays "amis"
Bien entendu cela passe par une réforme de la Justice, et des différents "comités consultatifs"

St Pierre et Miquelon cela n'allait pas car c'est trop compliqué en logistique.

Oh là on va me dire que je suis extrême ... mais ses jeunes là quand ils partent au "bled" l'été ils savent parfaitement qu'ils ne faut pas faire les imbéciles... ils ont essayé de le faire en 2024 au Maroc je vous laisse deviner la réponse des autorités et je vous laisse deviner le confort dans les prisons marocaines.

Connaissant personnellement de "vrais marocains" j'ai pu en discuter. Ils ne comprennent pas pourquoi en France on est aussi "faible" vis à vis de ses "sauvages". Ils me précisent aussi qu'ils ont "honte" car ses jeunes là se revendiquent souvent de leur pays et un "vrai marocain" ne veut surtout pas avoir quelquechose à faire avec ses "sauvages".
Il faut comprendre qu'en France on a créé des "sauvages" apatrides car ils ne se veulent pas Francais mais ils ne sont pas non plus du pays "originel". Donc au final une nationalité "apatride bâtardisée" juste la sauvagerie le clanique ils sont du "quartier" mais en dehors ils ne sont rien sans culture. Je ne généralise pas sur tous, je parle uniquement des "sauvages".

Catalan a écrit le 15/07/2025 à 07h34

Bref ,chronique ordinaire d un 14 juillet, ou Halloween ou 31 Décembre .Toutes les personnes arrêtées sont évidemment mineures , entre 13 et 14 ans , sous le regard des majeurs donneurs d ordres . Pas de sanctions puisque trop jeunes, pas de mise en cause de l état puisque le préfet avait prévu des mesures. Chacun a joué son rôle et la pièce de théâtre s est déroulée comme prévu, des dégâts , pas de sanctions pour l administration puisque elle pris une circulaire pour interdire et pas de sanctions chez les casseurs puisque ce sont des enfants. Tout va bien .il suffit de connaître les règles A l inverse si tu es agriculteur ou pompiers et que tu manifeste ,là on envoi les crs .Conclusion courage fuyons et pas de vagues selon les circonstances.

CRousso a écrit le 15/07/2025 à 06h53

Ces jeunes œuvrent pour la défense de la planète et du vivant, ils prennent leur destin en main.
Bruler une voiture est un acte de rédemption et te citoyen ,
Non, la voiture n’est pas un symbole de liberté. Elle est le totem d’un monde à bout de souffle, d’un modèle virilise qui écrase tout sur son passage , la planète, les corps, le vivant.
Il est temps d’en finir avec ce fantasme de toute-puissance motorisée.
Parce que oui, la voiture individuelle en ville est une absurdité politique, sociale et écologique.
Elle encombre, elle pollue, elle tue.
Elle incarne cette idée selon laquelle il faudrait toujours aller plus vite, plus loin, seul.e, en dévorant l’espace commun comme on dévore la planète.
Mais ce modèle, c’est celui des dominants.
Des hommes pressés. Des cadres climatosceptiques. Des politiques frileux qui reculent dès qu’on touche au confort du vieux monde.
Asphyxiés par le dioxyde d’azote, nos enfants respirent moins bien qu’une autoroute.
Les plus précaires, ceux qui n’ont ni voiture ni lobby pour les défendre, subissent de plein fouet les conséquences de cette violence mécanique.
Il faut une rupture. Radicalement.
Sortir la voiture de nos centres-villes, c’est affirmer un choix de civilisation.
Un choix pour les vivants. Pour les enfants. Pour le futur.
Et j’en ai assez de ceux qui crient à la « dictature verte ».
Ce n’est pas la ZAD qui détruit le climat. C’est la ZFE qu’on n’a jamais osé appliquer.
Ce n’est pas le vélo qui tue, c’est le 4x4 du dimanche, clim’ à fond, mépris en bandoulière.
Alors oui, je le dis, et je l’assume : la voiture en ville doit disparaître.

Pas demain, pas dans 20 ans. Maintenant.

Votez bien a écrit le 15/07/2025 à 08h07

pour un état qui ne recule pas, qui ne trouve pas d’excuses à toute cette racaille,

Chris696969 a écrit le 15/07/2025 à 08h10

N'oublions surtout pas que ceci est l'œuvre de chances pour la France...

CRousso a écrit le 15/07/2025 à 06h53

Ces jeunes œuvrent pour la défense de la planète et du vivant, ils prennent leur destin en main.
Bruler une voiture est un acte de rédemption et te citoyen ,
Non, la voiture n’est pas un symbole de liberté. Elle est le totem d’un monde à bout de souffle, d’un modèle virilise qui écrase tout sur son passage , la planète, les corps, le vivant.
Il est temps d’en finir avec ce fantasme de toute-puissance motorisée.
Parce que oui, la voiture individuelle en ville est une absurdité politique, sociale et écologique.
Elle encombre, elle pollue, elle tue.
Elle incarne cette idée selon laquelle il faudrait toujours aller plus vite, plus loin, seul.e, en dévorant l’espace commun comme on dévore la planète.
Mais ce modèle, c’est celui des dominants.
Des hommes pressés. Des cadres climatosceptiques. Des politiques frileux qui reculent dès qu’on touche au confort du vieux monde.
Asphyxiés par le dioxyde d’azote, nos enfants respirent moins bien qu’une autoroute.
Les plus précaires, ceux qui n’ont ni voiture ni lobby pour les défendre, subissent de plein fouet les conséquences de cette violence mécanique.
Il faut une rupture. Radicalement.
Sortir la voiture de nos centres-villes, c’est affirmer un choix de civilisation.
Un choix pour les vivants. Pour les enfants. Pour le futur.
Et j’en ai assez de ceux qui crient à la « dictature verte ».
Ce n’est pas la ZAD qui détruit le climat. C’est la ZFE qu’on n’a jamais osé appliquer.
Ce n’est pas le vélo qui tue, c’est le 4x4 du dimanche, clim’ à fond, mépris en bandoulière.
Alors oui, je le dis, et je l’assume : la voiture en ville doit disparaître.

Pas demain, pas dans 20 ans. Maintenant.

CRousso a écrit le 15/07/2025 à 06h53

Ces jeunes œuvrent pour la défense de la planète et du vivant, ils prennent leur destin en main.
Bruler une voiture est un acte de rédemption et te citoyen ,
Non, la voiture n’est pas un symbole de liberté. Elle est le totem d’un monde à bout de souffle, d’un modèle virilise qui écrase tout sur son passage , la planète, les corps, le vivant.
Il est temps d’en finir avec ce fantasme de toute-puissance motorisée.
Parce que oui, la voiture individuelle en ville est une absurdité politique, sociale et écologique.
Elle encombre, elle pollue, elle tue.
Elle incarne cette idée selon laquelle il faudrait toujours aller plus vite, plus loin, seul.e, en dévorant l’espace commun comme on dévore la planète.
Mais ce modèle, c’est celui des dominants.
Des hommes pressés. Des cadres climatosceptiques. Des politiques frileux qui reculent dès qu’on touche au confort du vieux monde.
Asphyxiés par le dioxyde d’azote, nos enfants respirent moins bien qu’une autoroute.
Les plus précaires, ceux qui n’ont ni voiture ni lobby pour les défendre, subissent de plein fouet les conséquences de cette violence mécanique.
Il faut une rupture. Radicalement.
Sortir la voiture de nos centres-villes, c’est affirmer un choix de civilisation.
Un choix pour les vivants. Pour les enfants. Pour le futur.
Et j’en ai assez de ceux qui crient à la « dictature verte ».
Ce n’est pas la ZAD qui détruit le climat. C’est la ZFE qu’on n’a jamais osé appliquer.
Ce n’est pas le vélo qui tue, c’est le 4x4 du dimanche, clim’ à fond, mépris en bandoulière.
Alors oui, je le dis, et je l’assume : la voiture en ville doit disparaître.

Pas demain, pas dans 20 ans. Maintenant.

CRousso a écrit le 15/07/2025 à 06h53

Ces jeunes œuvrent pour la défense de la planète et du vivant, ils prennent leur destin en main.
Bruler une voiture est un acte de rédemption et te citoyen ,
Non, la voiture n’est pas un symbole de liberté. Elle est le totem d’un monde à bout de souffle, d’un modèle virilise qui écrase tout sur son passage , la planète, les corps, le vivant.
Il est temps d’en finir avec ce fantasme de toute-puissance motorisée.
Parce que oui, la voiture individuelle en ville est une absurdité politique, sociale et écologique.
Elle encombre, elle pollue, elle tue.
Elle incarne cette idée selon laquelle il faudrait toujours aller plus vite, plus loin, seul.e, en dévorant l’espace commun comme on dévore la planète.
Mais ce modèle, c’est celui des dominants.
Des hommes pressés. Des cadres climatosceptiques. Des politiques frileux qui reculent dès qu’on touche au confort du vieux monde.
Asphyxiés par le dioxyde d’azote, nos enfants respirent moins bien qu’une autoroute.
Les plus précaires, ceux qui n’ont ni voiture ni lobby pour les défendre, subissent de plein fouet les conséquences de cette violence mécanique.
Il faut une rupture. Radicalement.
Sortir la voiture de nos centres-villes, c’est affirmer un choix de civilisation.
Un choix pour les vivants. Pour les enfants. Pour le futur.
Et j’en ai assez de ceux qui crient à la « dictature verte ».
Ce n’est pas la ZAD qui détruit le climat. C’est la ZFE qu’on n’a jamais osé appliquer.
Ce n’est pas le vélo qui tue, c’est le 4x4 du dimanche, clim’ à fond, mépris en bandoulière.
Alors oui, je le dis, et je l’assume : la voiture en ville doit disparaître.

Pas demain, pas dans 20 ans. Maintenant.