Pourtant, les policiers les avaient placés sous surveillance une dizaine de jours avant le braquage et deux de ces malfaiteurs présumés avaient été interpellés non loin de l’endroit où les bijoux, les armes et les déguisements de policiers avaient été entreposés. Des expertises ADN sont en cours alors que les deux autres braqueurs présumés du casse du 1er juin sont toujours recherchés.