« Georges dérangeait. Il disait tout haut ce que les avisés disaient tout bas. Oui, c'était un provocateur. Un provocateur dont le souffle était plus qu'utile mais dont les instances, à Paris, ne se sont jamais servis » a déclaré durant la cérémonie le maire de Lyon. Un hommage de combat à son « ami » Frêche, qu’il était venu défendre lors des élections régionales de mars 2007, où les socialistes avait envoyé face à lui une torpille du parti en la personne d’Hélène Mandroux, actuelle maire de Montpellier. Cette dernière doit d’ailleurs sortir jeudi un livre à charge sur les pratiques de son ancien mentor. Le PS avait exclu Frêche en 2007.
Un provocateur n'est pas celui qui dit haut ce que les autres disent bas C'est simplement quelqu'un d' honnête n' en déplaise aux autres!?!
Signaler Répondretrès beau discours, c'est avec beaucoup d'émotion que les montpelliérains l'ont écouté... Merci, M. COLLOMB d'avoir rendu hommage à Georges et d'avoir réhabilité son image, si lourdement abimée par les médias et par les opérations politiciennes de Madame AUBRY. Bon courage dans votre belle ville de Lyon
Signaler Répondre