« Je suis très heureux que le Conseil général reste à droite, et j’y suis pour quelque chose. » s’est exprimé Jean-Jacques David jeudi face à la caméra de Lyon Mag. Et pourtant, sa voix s’est faite désirer au moment de réélire Michel Mercier. Deux premiers tours de scrutins où son vote blanc a marqué sa différence avec la majorité sortante, mais également son poids. « Je voulais faire comprendre à Mr Mercier qu’il lui fallait quelqu’un de la droite indépendante dans son exécutif, explique-t-il. Je n’ai pas eu de vice présidence, c’est un peu dommage. » Un refus d’intégrer le représentant de la droite indépendante à l’exécutif, condition sine qua non des Radicaux Valoisiens pour se rallier à Mercier. Le maire du 6e arrondissement garantit toutefois avoir obtenu des garanties sur les propositions-clés de sa campagne. « Michel Mercier ne fera pas voter de nouvelles délibérations concernant le Musée des Confluences, assure-t-il. Il s’est engagé au même titre pour me dire qu’il n’y aurait pas d’augmentation des impôts. Ce sont déjà deux chevaux de bataille important de ma campagne, et s’il les respecte, c’est tant mieux » s’est-il réjoui.
t'es pas fait pour l'arène politique .des garanties de mercier "et en plus t'en parle à la presse" tu vas passer pour un balourd il n'y a que toi pour croire le gros de thizy .conseiller général c'est trop pour toi démissionne t as pas les épaules
Signaler RépondreMichel Mercier a annoncé en février, lors d'une conférence de presse qu'il n'augmenterait pas les impôts. Le Musée des Confluences est lancé (et tant mieux) depuis que Vinci à repris le chantier. De qui se moque Jean-Jacques David ? Il n'a rien obtenu -alors que Broliquer faisait le siège du bureau de Mercier depuis Dimanche soir pour une Vice-présidence-, et ne fait, surtout pour les centristes, surtout pas partie de la majorité départementale.
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