La première organisée a été celle entre Matthias Fekl et Gérard Collomb au ministère de l’Intérieur. Le maire de Lyon a, dans son discours, souvent fait allusion à sa ville, après avoir annoncé qu'il abandonnait à la fois la mairie et la Métropole : "J'y ai mis toute mon âme et toute mon énergie. En l’espace de 15 ans, Lyon et la métropole sont allées de l’avant. C’est avec cette même énergie que je veux me consacrer au ministère de l’Intérieur, un ministère fondamental pour nos concitoyens".
Le numéro 2 du gouvernement a ensuite établi les trois grands défis qu’il voulait relever "pour retrouver notre confiance dans notre pays" : "un défi économique, un défi écologique et le 3e défi, sans doute prioritaire pour nos concitoyens, le défi de la sécurité" : "Nous savons que l’Europe et en particulier la France sont la cible des terroristes et j’ai conscience, en arrivant ici, que mon premier devoir sera de tout faire pour protéger nos concitoyens. Nous travaillerons ensemble avec les services de sécurité pour faire en sorte de protéger le pays contre cette menace multiforme, venant de l’étranger et enracinée dans notre territoire", a expliqué Gérard Collomb, avant de préciser son objectif : "éviter qu’un certain nombre de jeunes nés en France puisse tomber dans la radicalisation et que sous l’emprise de Daesh commettent des attentats odieux".
Lutter contre l’insécurité quotidienne sera aussi son cheval de bataille : "J’ai toujours pensé, comme maire, que la tranquillité était la première des libertés. Lorsque l’on est une jeune femme, que l’on prend les transports en commun on doit pouvoir le faire sans crainte". Et de marteler : "Je lutterai de manière énergique pour que l’insécurité puisse reculer dans notre pays, qu’il n’y ait pas de zone de non droit, que les délits puissent être rapidement sanctionnés".
Le maire de Lyon a également mis l’accent sur les conditions de travail des fonctionnaires : "Je sais qu’aujourd’hui le manque de moyens fait que pour avoir des véhicules opérationnels, c’est compliqué. Je connais un certain nombre de commissariats où beaucoup d’entre nous ne voudraient pas travailler. Il faut que nos fonctionnaires puissent travailler dans de bonnes conditions pour remplir leurs missions".
Enfin, le nouveau ministre, qui sera en outre chargé des relations avec les cultes, fait de sa priorité la "laïcité telle que définie par la loi de 1905" : "Cette loi est une loi de liberté de croire ou de ne pas croire et une liberté pour ceux qui croient de pratiquer librement leur religion à la condition que cela ne fasse pas obstacle à la loi de la république. Pour faire en sorte que toute propagande appelant à la xénophobie ou au rejet de l’autre puisse être combattue".
Gérard Collomb conclue alors son discours en faisant allusion à la promesse républicaine : "Je crois en la promsse républicaine. Il faut que chacune et chacun que nos concitoyens puissent penser qu’elle est vraie pour soi-même". Le nouveau ministre de l’Intérieur a ainsi voulu se poser en rassembleur.
Il ressemble de plus en plus a ET notre gégé !
Signaler RépondreBon alors on nous avait promis de nouvelles têtes et en fait on en sort des anciennes, les nouvelles têtes c'est pour les ministères moins connus (globalement). M Colomb à l'intérieur on va se marrer, le mec n'est ni ouvert ni un amoureux du dialogue. S'il fait à Paris ce qu'il a fait à Lyon (bon courage) cette nomination est bien le symbole qu'en fait rien ne change, c'est encore la politique des potes et des réseaux, ah c'est beau la franc m des copains. En tout cas peut être que cela amènera du renouveau sur lyon. Regarder l'objectivité du mec installé place Beauvau: il a oublié son ami Thierry Braillard, installé ses copains un peu comme il l'entendait et c'est ca l'objectivité . Bref bref, t honnêtement si j'ai pas voté à droite au présidentielle ce n'est pas pour me retrouver bec deux ministres de droites aux finances !
Signaler RépondreEn plus il va devoir être accompagné d'un traducteur car plus il vieillit et moins on comprend ce qu'il dit, il a une façon de parler monotone qui te pousse à t'endormir
Signaler Répondre"Papy flingueur" connaît enfin son heure de gloire....
Signaler Répondreil quitte Lyon avec son bâton de Maréchal..
Il a misè sur le bon cheval mais y croyait il vraiment ou ne l'a t il fait que pour emm...ses copains socialos qui ne lui avaient encore jamais offert un maroquin ?
ce gouvernement ne dura qu'un mois ....ou cinq ans !
Signaler RépondreAmis Lyonnais, merci de ne plus déposer vos déchets sur la voie publique, notamment place Beauvau.
Signaler Répondrequel bordel a lyon ca promet
Signaler RépondreAu boulot, fini de lire tranquillement Paris Match au Sénat , pendant la séance des questions au gouvernement
Signaler RépondreGégé, va pouvoir venir visiter le commissariat de Lyon 8 , pour constater les conditions de travail des flics de quartier(je ne suis pas flic) et la propreté des lieux de réception du public, ce que j'ai vu pour les procurations.
Signaler RépondreDu boulot Gégé, attention à ne pas mélanger les noms et prénoms, Karim c'est pas Emmanuel
il est pas a la retraite celui la
Signaler Répondre'Mr MACRON vous allez perdre 50% du crédit que les français ont voulu vous accorder.'
Signaler RépondreMacron a été élu par des veaux. Il aurait tort de ne pas en profiter.
Pas mieux ....!'.''
Signaler RépondreMr COLLOMB, aider les fonctionnaires, je m'étrangle,
Signaler Répondrealors qu'il a fait se suicider, se brûler plusieurs fonctionnaires, alors qu'il a couvert la pratique des rangers qui attaquent les agents et les citoyens qui l'ont traduit en justice devant le Tribunal administratif, là encore où il a fait recruter son épouse...
Et le fric encore le fric par tous les moyens;
Mr MACRON vous allez perdre 50% du crédit que les français ont voulu vous accorder.
Darmanin se moque, tourne en ridicule : “M. Macron ne détaille rien, ne précise rien, ne stabilote rien. Il ne sort jamais de l’ambiguïté. Il promet tout, finance tout, rembourse tout?: les lunettes, les prothèses auditives et les soins dentaires?! C’est Noël avant l’heure”. Quand il redevient sérieux, l’attaque est lourde : “Derrière ce populisme, se cache le drame de la France?: celui de ne pas dire la vérité aux Français, de ne pas faire de réformes, de ne pas préciser ses intentions”. Il conclut : “Loin d’être le remède d’un pays malade, il sera au contraire son poison définitif”.
Signaler Répondre“Loin d’être le remède d’un pays malade, il sera au contraire son poison définitif”
“Comme le caméléon, Macron change, se transforme sous nos yeux. De gauche, il l’est évidemment, par son histoire, ses actes, son créateur. Mais, ce qu’il est, surtout, c’est populiste” dit-il pour commencer. Agressif, il n’épargne rien à celui qui était alors simplement candidat sous les couleurs de son mouvement, En Marche ! : “Et puis enfin, il y a le populisme light, nouveau, à visage humain, comme aurait dit l’autre?: le bobopulisme de Monsieur Macron” dit-il après avoir décrit le “populisme camarade” de Jean-Luc Mélenchon. “Un populisme chic, avec un beau sourire, de beaux costumes, une belle histoire. Il dit, comme dans le roman de George Orwell, le contraire de ce qu’il est (« je suis contre le système ») alors qu’il est bien sûr le pur produit du système. On ne fait pas mieux?: beaux quartiers, belles études, belle fortune, belles relations”.
ben on est pas dans la merde!!!!
Signaler Répondreah bon?il va faire des cocktails???
Signaler Répondreune honte!!il faut retourner ce gouvernement de felons!!!
alors les marcheurs...toujours heureux??baltringues