5 ans de prison requis par le tribunal correctionnel de Lyon contre un chauffard
Il y a tout juste un an, l'homme avait provoqué un grave accident sur la bretelle entre le périphérique et l'A7 à hauteur de St Fons.Le conducteur, qui avait 2,77g d'alcool dans le sang, s'en était bien sorti, tout comme son passager. En revanche, deux auto-stoppeurs de 16 et 22 ans qu'il avait pris en stop une heure plus tôt étaient morts dans l'accident. Le jugement a été mis en délibéré le 26 mars.
Michel Neyret aurait été hospitalisé à Paris
L'ex numéro 2 de la PJ de Lyon, incarcéré à la prison de la Santé depuis le 3 octobre dernier, aurait été admis jeudi dernier, rapporte Lyon Capitale.L’homme qui a été placé en détention provisoire le 3 octobre dernier dans le cadre d’une affaire de "corruption" et de "trafic de stupéfiants" aurait été admis en soins jeudi dernier. L’ancien policier aurait même subi une opération, et "irait mieux aujourd’hui". Joint par Lyonmag.com, Me Gabriel Versini, l’un de ses avocats, n’a pas souhaité confirmer ou infirmer l’information, expliquant "que ces informations relèvent de la vie privée."
Les militants de Greenpeace fixés ce mardi
Quatre à six mois de prison avec sursis ont été requis à l'encontre de deux d'entre eux. Le 5 décembre dernier, ils s'étaient introduits et avaient filmé à l'intérieur de la centrale de Cruas, en Ardèche.
L'avenir de Photowatt se joue ce lundi à Vienne
Le tribunal de commerce de Vienne va se prononcer sur le sort de l'usine de Bourgoin-Jallieu. Seule l'offre de reprise d'EDF a été retenue.Elle prévoit de conserver les 430 salariés, dont 85 seraient reclassés au sein d'EDF dans un rayon de 60 kilomètres.
Caillassage de voitures de police : du sursis et une relaxe
Vendredi, cinq personnes étaient jugés par le tribunal correctionnel pour avoir caillassé à trois reprises des patrouilles à Parilly. Finalement, l'un des cinq prévenus a été relaxé tandis que ses compères écopaient de 2 et 4 mois de prison avec sursis. Un jugement éloigné des réquisitions du procureur qui lui demandait des peines de prison ferme.
Une femme condamnée pour avoir frappé une personne au hasard
Agée de 30 ans, la prévenue comparaissait vendredi devant le tribunal correctionnel. Elle était jugée pour avoir donné un coup de poing à une jeune femme place Carnot. Elle avait ensuite insulté une fonctionnaire de police et lui avait craché dessus alors qu'elle se trouvait dans le véhicule qui l'amenait au commissariat. La femme, ivre au moment des faits, a écopé de six mois de prison ferme.
Procès des ultras lyonnais renvoyé, la Licra s'indigne de son côté
Vendredi soir, des supporters de l'OL du groupe Mezza Lyon devaient comparaître devant le tribunal correctionnel de Saint-Etienne. Ils sont accusés d'avoir à l'automne dernier dégradé des véhicules de supporters stéphanois. Le renvoi a finalement été accepté alors que les prévenus n'étaient pas présents. La Licra qui se porte partie civile dans l'affaire a elle regretté qu'ils ne soient pas poursuivis pour des inscriptions à caractère nazi. L'audience a été reportée au 21 mars prochain.
Une avancée dans le dossier des verriers de Givors
Alors que leur porte-parole est décédé mardi, les anciens ouvriers de l'usine BSN continuent de se battre pour faire reconnaître leurs cancers comme maladies professionnelles. Cette semaine, le juge d'instruction a nommé deux experts qui étudieront leurs dossiers avant le 15 mars. Ils remettront leurs conclusions d'ici fin avril. Par ailleurs, après un an d'attente, une dizaine d'anciens salariés vont enfin bénéficier d'un suivi médical post-professionnel.
Un an de prison, dont six mois ferme pour du bizutage
Un restaurateur d'Ambérieu-en-Bugey dans l'Ain a été condamné jeudi par le tribunal correctionnel de Bourg-en-Bresse.Selon le Progrès, il maltraitait régulièrement ses apprentis. Le 20 janvier dernier, ivre à la fin d'un service, il avait forcé un jeune à se déshabiller et l'avait violenté. Il avait été aidé par l'un de ses amis, qui lui a écopé de huit mois de prison avec sursis.
La Licra partie civile contre des supporters de l'OL
Vendredi, 6 membres du groupe Mezza Lyon seront jugés pour dégradations de véhicules et inscriptions racistes à Saint-Etienne. Ils sont soupçonnés d'avoir endommagé des véhicules appartenant à des membres des Magic Fans, un groupe Ultra stéphanois. Ils sont aussi soupçonnés d'être les auteurs d'inscriptions racistes et antisémites. Leur procès aura lieu devant le tribunal correctionnel de St-Etienne vendredi. La Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme sera partie-civile.
Affaire Neyret: les requêtes en nullité examinées le 5 avril
La cour d'appel de Paris devait examiner jeudi des requêtes d'annulation d'actes déposées par les avocats de l'ancien commissaire. La chambre de l'instruction a en fait préféré que le Parquet prennent ses réquisitions quant au rejet de ces requêtes par écrit. Pour les avocats de Neyret, qui ont déposé sept requêtes, des policiers auraient retranscrit des écoutes téléphoniques sur des faits qui ne correspondaient pas à leur saisine, un constat qui est un motif de nullité. En attendant, l'ancien numéro 2 de la PJ lyonnaise Michel Neyret reste en détention provisoire à la prison de la Santé pour des faits présumés de corruption et de trafic de stupéfiants.
Le dossier de Michel Neyret annulé ?
La cour d'appel de Paris doit examiner ce jeudi une demande d'annulation de la procédure.Elle a été déposée par les avocats de certains mis en cause dans cette affaire de corruption et de trafic de stupéfiants. Selon eux, les écoutes téléphoniques faites par la police des polices, et qui ont permis d'arrêter l'ex numéro 2 de la PJ de Lyon, n'ont pas été transmises en bonne et due forme à la justice, ce qui pourrait faire annuler le dossier.
1,2 million d’euros en liquide saisis par la PJ de Lyon
Tout est parti d’écoutes téléphoniques menées à Lyon dans le cadre d’une instruction judiciaire pour un trafic de stupéfiants. Selon le Progrès, samedi dernier, l’enquête conduit les policiers à intercepter dans le Vaucluse un camion d’une société marocaine transportant officiellement des tomates. C’est là qu’ils découvrent un premier gros pactole de 451 000 euros. Ils mettent ensuite la main sur plus de 700 000 euros en petites coupures dans l’appartement d’un des suspects à Pierre-Bénite.Ces derniers jours, neuf personnes ont été interpellées dans l’agglomération lyonnaise, en Isère et dans le Vaucluse. Mercredi soir, quatre d'entre elles, dont les deux chauffeurs du camion, ont été mises en examen et écrouées. Une femme a été laissée libre sous contrôle judiciaire. Les quatre autres suspects doivent être présentés au juge d’instruction dans la journée de jeudi.Cette saisie record de quasiment 1,2 million d'euros a permis de mettre au jour un vaste réseau présumé de blanchiment d’argent, très bien rodé, fonctionnant depuis au moins l’été 2010, et qui aurait fait transiter plus de 10 millions d’euros en l’espace de quatre mois, selon des sources proches du dossier, à destination du Maroc. L’enquête se poursuit pour déterminer d’où provenait cet argent, sans doute de revenus du crime organisé, et pour faire tomber les têtes du réseau.
Privée de congé paternité, une policière homosexuelle de Lyon saisit la justice
Alors que début 2012, la compagne de cette fonctionnaire de police accouchait de jumeaux, elle s'est vu refuser consécutivement un congé naissance puis paternité. Le couple homoparental a annoncé mercredi son intention de porter l'affaire devant le tribunal administratif de Lyon.
Un garagiste condamné
L'homme qui travaille dans le 9e arrondissement de Lyon, roulait alcoolisé avec la voiture d'un client.Il a été arrêté le week-end dernier à Francheville selon le Progrès. Il circulait de nuit tous feux éteints, avec 1,24g d'alcool dans le sang. Le garagiste roulait sans permis, après trois annulations suite à des excès de vitesse et à des contrôles d'alcoolémie positifs. Présenté lundi en comparution immédiate, il a écopé de six mois de prison avec sursis, deux ans de mise à l'épreuve avec obligation de soins, assortis d'une interdiction de délivrance de permis de conduire de huit mois.
L'affaire Neyret continue
Des demandes d'annulation de l'ensemble de la procédure seront examinées jeudi par la cour d'appel de Paris.Des irrégularités auraient été constatées lors de la retranscription par des policiers d'écoutes téléphoniques. Selon une source proche du dossier, si la cour d'appel qui devrait mettre sa décision en délibéré jeudi, suivait l'argumentaire des avocats, l'ensemble des mises en examen pourrait tomber. Dans cette affaire, Michel Neyret, l'ex numéro 2 de la PJ lyonnaise est mis en examen pour corruption et trafic de stupéfiants.
Six mois de prison avec sursis pour le maire de Jujurieux dans l'Ain
Jeudi soir dernier, il avait provoqué un carambolage sur le périphérique à Lyon, alors qu'il circulait avec 1,5g d'alcool dans le sang.Il avait pris la fuite avant d'être interpellé. Trois personnes dont deux enfants avaient été légèrement blessées. Selon le Progrès, en comparution immédiate lundi, il a donc écopé de six mois de prison avec sursis, 18 mois de mise à l'épreuve, et d'une annulation d'un an de son permis de conduire.
Trois mineurs accusés de viol remis en liberté
Les trois mineurs, accusés du viol d'une jeune fille le 28 janvier dernier à la Part-Dieu, ont été remis en liberté sous contrôle judiciaire.Agés de 15 à 17 ans, ils sont mis en examen pour viol en réunion. Ils avaient forcé une ado de 16 ans à leur faire une fellation dans une coursive du centre commercial, et lui avaient volé son téléphone portable.
25 ans de prison ferme pour Mohamed Boussaha
L'homme a été condamné jeudi soir par les assises du Rhône rapporte le Progrès.L'accusé était jugé pour le meurtre de sa compagne, frappée, étranglée puis violée en septembre 2008, dans un appartement de la rue d'Anvers à Lyon. Le verdict est donc plus lourd que les 18 à 20 ans de prison requis par l'avocat général.
Meurtre rue d'Anvers : verdict attendu jeudi soir aux assises du Rhône
L'accusé est jugé pour le meurtre de sa compagne. Il est soupçonné de l'avoir frappée, étranglée puis violée, en septembre 2008, rue d'Anvers à Lyon.Mercredi lors des débats, le meurtrier présumé assure avoir oublié cette soirée, a expliqué qu'il avait dû "péter un plomb". Son ex-femme a aussi témoigné de sa violence. Elle avait été victime d'une tentative de strangulation. Les débats doivent reprendre ce jeudi matin.



















