Incarcération de deux des quatre agresseurs des contrôleurs TCL
Ces jeunes Lyonnais de 18 ans sont soupçonnés d'avoir participé à la violente agression de quatre contrôleurs mercredi matin sur le quai Arloing.
Trois ans de prison ferme pour un agresseur de femmes âgées
Ce Décinois de 46 ans était jugé vendredi à Lyon. Il avait été libéré le 1er mars dernier après avoir purgé une peine de 14 mois pour des vols de sacs à main. Sauf qu'il n'avait pas retenu la leçon et avait agressé trois nouvelles femmes âgées entre le 20 et le 25 mai. Reconnue par une victime et confondue par les relevés de sa plaque minéralogique, l'homme en état de récidive avait été interpellé. Devant le tribunal, il a clamé son innocence mais a écopé de trois ans de prison ferme.
Lyon : condamnés à 6 mois de prison ferme pour vol aggravé
Deux hommes de 26 et 31 ans ont été interpellés dans la nuit de mardi à mercredi dans le 2e arrondissement de Lyon. Ils venaient de dérober avec violences la sacoche, le MP3, le portable et la chaîne de cou d'un Villeurbannais de 27 ans dans le secteur Victor Hugo. Ils sont par ailleurs mis en cause pour infraction à la législation sur les étrangers. Les deux hommes, présentés au parquet jeudi, ont été écroués.
Vaise : les agresseurs présumés des contrôleurs TCL présentés au parquet
Les deux jeunes, accusés d'avoir violemment agressé 4 contrôleurs des TCL mercredi à Vénissieux, sont présentés au parquet vendredi. Ils sont poursuivis pour violences volontaires. Tous deux sont âgés de 18 ans et habitent à la Duchère et à Ecully. Ils avaient été arrêtés peu de temps après les faits. Mercredi matin, ils sont soupçonnés d'avoir frappé à coups de casque et à coups de poing quatre agents qui s'apprêtaient à monter dans un bus à Vaise. Les victimes bénéficient d'un à huit jours d'ITT.
Agression à l'établissement pour mineurs de Meyzieu : le suspect présenté au parquet
Le jeune de 14 ans qui a agressé une surveillante mercredi a été présenté au parquet vendredi. Une procédure a été ouverte pour violences volontaires sur personne dépositaire de l'autorité publique. Le jeune détenu, incarcéré pour des faits de vol aggravé et délits routiers, avait giflé et donné des coups de pied à sa victime, qui voulait lui confisquer un objet interdit. Suite à cette agression, le personnel de l'établissement pour mineurs de Meyzieu avait exercé son droit de retrait
Ils menacent une institutrice : des peines de travaux d'intérêt général requises
Un couple était jugé en comparution immédiate jeudi pour avoir menacé une institutrice le 21 juin dernier à Villeurbanne. La femme, qui devait accompagner une sortie scolaire de maternelle, s'était présentée avec la chevelure cachée par un bonnet et une casquette. L'institutrice, enceinte de 7 mois, lui a fait une remarque à ce sujet, estimant qu'il s'agit d'un signe religieux. Furieuse, l'intéressée a quitté l'école avant de revenir avec son mari, qui a insulté et fait semblant de frapper la victime. Le procureur a requis des peines de travaux d'intérêt général pour le couple.
Lyon : le preneur d'otage du notaire devrait être placé en hôpital psychiatrique
Cet ancien chef d'entreprise de 63 ans avait retenu en otage un notaire le 25 mai dernier à Lyon. Il était jugé mercredi devant le tribunal correctionnel pour « violences avec arme ». L'homme s'était finalement rendu après une heure de négociations. L'expertise psychiatrique, dévoilée hier, a conclu à son irresponsabilité pénale selon le Progrès. Il devrait être placé en hôpital psychiatrique. Il a par ailleurs été condamné à 2 500 euros de dommages et intérêts et a l'interdiction d'entrer en contact pendant 5 ans avec sa victime.
Le preneur d'otage du notaire de Lyon jugé ce mercredi
Lors d'une première comparution, une expertise psychiatrique avait été demandée. Le 25 mai dernier, cet ancien chef d'entreprise de 63 ans avait débarqué à l'étude de son notaire avec un pistolet de collection chargé. Il avait déclaré vouloir en finir avec un litige vieux de dix ans. Il avait finalement été maitrisé par la police.
Lyon : ouverture du plus gros procès de faux papiers
Ce trafic de faux papiers, l'un des plus importants jamais démantelés en France, était tombé en 2008. Lundi, seule la moitié des 23 prévenus se sont présentés au tribunal selon le Progrès. Dans cette affaire, un agent du consulat d'Algérie à Bobigny est impliqué, il aurait accéléré certains dossiers pour faciliter l'entrée de plusieurs personnes sur le territoire français, et une employée de l'antenne de la préfecture du 16e arrondissement de Paris a avoué avoir délivré des passeports contre rémunération. Les faux papiers étaient distribués moyennant des sommes comprises entre 7000 et 12000 euros.
Lyon : les militants d'extrême-droite interpellés samedi ont été relâchés
70 avaient été arrêtés et une cinquantaine placée en garde à vue. Samedi, des dizaines de personnes, déçues par l'interdiction de la « Marche des Souchiens », s'étaient rassemblées devant la gare de la Part-Dieu. Ils avaient déployé une banderole et prononcé un discours. Les militants arrêtés sont tous ressortis libres, la plupart dans la soirée, d'autres dimanche matin. Quelques uns ont fait l'objet d'un rappel à la loi.
Lyon : un médecin condamné à verser 10M d'euros
Selon le Progrès, le chirurgien orthopédique René Paule a été condamné pour avoir mal opéré le jeune Charles en 2001.
Les trafiquants de drogue arrêtés mercredi ont été mis en examen à Lyon
Vendredi, ils ont été auditionnés par un magistrat après avoir été transférés sous escorte jusqu'au palais de justice de Lyon. Ils sont donc poursuivis pour blanchiment, trafic de stupéfiants et association de malfaiteurs. Quatre d'entre eux avaient été arrêtés mercredi aux volants de voitures formant un go-fast. A bord des véhicules, les forces de l'ordre avaient intercepté 650 kilos de résine de cannabis en provenance d'Espagne. Un cinquième homme avait ensuite été interpellé car il était suspecté d'avoir organisé le trafic. Ils ont tous été écroués dans des maisons d'arrêt différentes.
Marche des Souchiens à Lyon : interpellations de militants d'extrême-droite
Le juge des référés a examiné le recours des organisateurs samedi matin mais a maintenu l'interdiction prononcée par la préfecture du Rhône.
Un non-lieu requis contre Guillaume de Villiers
La cour d'appel de Lyon examinait jeudi à huis clos les accusations de viol de Laurent de Villiers, à l'encontre de son frère. Les deux protagonistes ont été entendus pendant près de 4h. Un premier non-lieu avait été prononcé fin 2010, mais il avait été annulé par la Cour de cassation. La décision sera rendue le 2 octobre prochain.
Un non-lieu requis contre Guillaume de Villiers
La cour d'appel de Lyon examinait jeudi à huis clos les accusations de viol de Laurent de Villiers, à l'encontre de son frère. Les deux protagonistes ont été entendus pendant près de 4h. Un premier non-lieu avait été prononcé fin 2010, mais il avait été annulé par la Cour de cassation. La décision sera rendue le 2 octobre prochain.
Une mise en examen dans l'affaire du meurtre d'Anne-Sophie
7 ans après la mort de l'étudiante lyonnaise, un quinquagénaire a été mis en examen jeudi à Mâcon (Saône-et-Loire). Le corps sans vie d'Anne-Sophie Girollet, une étudiante en médecine à Lyon, avait été repêché dans la Saône près d'un pont à Mâcon le 2 avril 2005. Le suspect mis en examen jeudi avait été interpellé et placé en garde à vue mardi.
Lyon : Journée décisive dans l’affaire de viol des fils de Villiers
La chambre de l’instruction de Lyon examine ce jeudi cette affaire qui oppose le fils aîné de l’homme politique, Guillaume, accusé d’abus sexuels sur son jeune frère, Laurent. Les deux fils de Philippe de Villiers sont aujourd’hui âgés respectivement de 37 et 28 ans. Cette affaire a été marquée par de nombreux rebondissements depuis la plainte déposée en 2006 par Laurent de Villiers contre son frère Guillaume, qui l’accuse de l’avoir violé en Vendée lorsqu’ils étaient enfant. La chambre de l’instruction de Lyon devra dire si oui ou non Guillaume de Villiers devra être renvoyé devant une cour d’assises.
Assises du Rhône : la prison à perpétuité pour le meurtrier à l'extincteur
Cheriff Goussi a été condamné mercredi soir par la cour d'assises du Rhône à la prison à perpétuité. Une peine assortie d'une période de sûreté de 20 ans et d'une injonction de soins. Les jurés ont donc suivi les réquisitions prononcées plus tôt dans la journée par l'avocate générale. L'homme âgé de 27 ans était jugé pour le meurtre et le viol d'une quinquagénaire en 2009 dans le sous-sol d'un immeuble du 6e arrondissement de Lyon. L'avocate générale a parlé de « massacre » et de « dossier insoutenable ».
Annulation du permis de construire du site de stockage de déchets radiocatifs du Bugey
La cour administrative d'appel de Lyon a confirmé mardi l'annulation du permis de construire d'Iceda. Cette annulation avait été prononcée en septembre dernier par le tribunal administratif de Lyon. EDF avait commencé en 2010 la construction d'un site de stockage de déchets radioactifs provenant de différentes centrales françaises démantelées et avait fait appel de l'annulation du permis de construire. EDF a par ailleurs été condamné à verser 3 000 euros à la société d'horticulture Roozen, voisine de la centrale du Bugey (Ain).
Viol et meurtre à l'exctincteur : la perpétuité requise
Le Parquet a requis mercredi la prison à vie contre Chériff Goussi. Cet homme de 27 ans comparaît devant la cour d'Assises du Rhône pour un crime particulièrement odieux. Il est accusé d'avoir tué à coups de poing et d'extincteur une femme de 56 ans dans un parking souterrain d'un immeuble de Lyon et de l'avoir violée après qu'elle lui ait opposé une résistance alors qu'il tentait de lui voler sa voiture le 18 septembre 2010. Au moment des faits, l'accusé était sous l'emprise de l'alcool et du cannabis. Après 3 jours de procès l'avocate générale, qui a parlé de "massacre" et de "dossier insoutenable" a requis la perpétuité assortie d'une période de sûreté de 22 ans. Le verdict est attendu dans la soirée.