Maltraitance en crèche: 4 mois de prison avec sursis
C'est la peine qu'a décidé d'infliger le tribunal correctionnel de Lyon à l'employée d'une crèche lyonnaise. Elle était accusée d'avoir commis des maltraitances sur un bébé dont elle avait la charge entre octobre 2010 et mars 2011. L'intéressée va faire appel. Deux autres employées ont quant à elles été relaxées, conformément aux réquisitions.
Maltraitance en crèche: jugement rendu vendredi
Le tribunal correctionnel de Lyon a repoussé sa décision d'un jour. Trois employées d'une crèche lyonnaise sont jugées pour avoir commis des violences sur un bébé entre octobre 2010 et mars 2011. Six mois de prison avec sursis ont été requis à l'encontre d'une des prévenues, la relaxe pour les deux autres. Initialement, le jugement devait être rendu à 14h ce jeudi.
Six mois de prison supplémentaires pour une cavale
Un homme de 28 ans a été arrêté de façon musclée dimanche dernier à Givors, devant le domicile de ses parents.En octobre, incarcéré à la prison de Corbas, il avait profité d'une permission de sortie pour disparaitre. Lundi, il a donc été condamné à 6 mois supplémentaires. Sa cavale aura duré trois mois.
Six mois avec sursis requis contre l'employée d'une crèche à Lyon
Le procès pour maltraitance s'est ouvert lundi devant le tribunal correctionnel de Lyon. Trois employées de la micro-crèche privée Garderisette, située dans le 6e arrondissement, étaient jugées pour avoir commis des violences sur un bébé entre octobre 2010 et mars 2011. Lundi soir, six mois de prison avec sursis ont été requis contre l'une des prévenues, et la relaxe pour les deux autres. Le jugement a été mis en délibéré au 26 janvier à 14h. Ce sont les parents de la petite Alexia qui avaient porté plainte en mars dernier, après avoir découvert des brûlures et des marques sur le corps de leur fille. Pendant le procès, les trois prévenues ont continué à nier les faits. Elles sont actuellement suspendues par la direction de la crèche, qui a expliqué attendre la fin du procès pour prendre d'éventuelles sanction.
Trois ans de prison pour un jeune refoulé de soirée
Un homme de 25 ans a été condamné par la chambre correctionnelle de Lyon à trois an d'emprisonnement dont deux avec sursis et mise à l'épreuve.Il comparaissait depuis vendredi dernier, pour des faits remontant à février 2009. Ce soir-là, il n'avait pas accepté de se faire refouler d'une soirée privée, et avait alors tenté d'incendier un véhicule volé. Prenant la fuite, il avait alors foncé sur des pompiers, qui s'étaient écarté de justesse. Au moment des faits le jeune homme était dépressif, et avait consommé de l'alcool et des médicaments.
Les employées d'une crèche poursuivies pour maltraitance
Trois jeunes employées de la micro-crèche privée « Garderisette », située dans le 6e arrondissement sont jugées à partir de lundi après-midi devant le tribunal correctionnel de Lyon. Elles sont soupçonnées d'avoir commis des violences sur plusieurs bébés dont elles avaient la garde, entre octobre 2010 et mars 2011. Ce sont les parents d'une fillette qui ont porté plainte après avoir constaté des traces suspectes sur le corps de leur enfant.
Les revendeurs des billets des Enfoirés condamnés
La justice a condamné le site spécialisé Starlight, qui ne peut désormais plus proposer de places hors de prix pour les concerts des Enfoirés. Les billets pour ces concerts prévus entre le 1e et le 6 février prochain à Lyon, y étaient revendus entre 200 et 275 euros, jusqu'à 4 fois leur prix d'origine. En cas de non-retrait de la vente, le site internet devra verser 500 euros par jour de retard, en plus d'une amende de 2000 euros et d'une réparation au titre de préjudice de 2000 euros au bénéfice des Restos du Coeur.
Lyon: la mariée au foulard réclame 50 000 euros
Une élue du 9e arrondissement lui avait demandé de retirer son foulard lors de sa cérémonie de mariage en juin. Pour l'avocat du couple cette décision est illégale car elle porte "atteinte à la liberté fondamentale qu'est la liberté de religion". En conséquence il est demandé 25 000 pour chaque membre du couple qui s'est uni à la mairie du 9e arrondissement au titre des dommages et intérêts. Si rien n'est fait, les époux envisagent selon le Progrès de saisir la justice administrative.
L'homme s'inventait une vie misérable pour soutirer de l'argent
Jeudi dernier, ce trentenaire originaire de Vaulx-en-Velin comparaissait devant le tribunal de Lyon. De nombreux vols commis chez des personnes âgées depuis novembre lui étaient reprochés. L'homme s'introduisait dans les immeubles et racontait à ses futures victimes que son père était dans le coma. Il demandait ensuite s'il pouvait l'appeler en empruntant leur téléphone puis demandait de l'argent pour le dépanner. Il a ainsi empoché des sommes allant de 50 à 200 euros. L'homme atteint de schizophrénie a été condamné à six mois de prison ferme.
Lyonnais mort en Espagne, le jugement arrive douze ans après les faits
Vendredi, le tribunal correctionnel a reconnu la culpabilité de six prévenus qui n'ont pas empêché la mort de Karib Kébir en 1999. L'habitant de Saint-Genis-Laval avait été tabassé à la sortie d'une boîte de nuit espagnole. Les prévenus, présents au moment des faits, ont été condamnés à des peines de 5 ans de prison dont 4 avec sursis. La longue instruction qui a transféré l'affaire de la cour d'assises au correctionnel est désormais dans le viseur de la famille de la victime. Selon le Progrès, les Kébir souhaitent assigner l'Etat afin que ce dernier s'explique sur un délai "déraisonnable" et la défaillance de la justice dans cette affaire.
La femme qui a tué son mari d'un coup de fusil a été écrouée
Les faits s'étaient déroulés lundi matin dans le nord-Isère. Cette femme de 55 ans, domiciliée à Parmilieu, a été mise en examen mercredi pour assassinat. Elle a été placée en détention provisoire à la maison d'arrêt de Valence. La quinquagénaire a expliqué qu'elle voulait divorcer, mais que son mari refusait et la harcelait. La préméditation a été retenue à l'encontre de la mise en cause qui a donné plusieurs versions.
Une auxiliaire de vie de Caluire condamnée à 12 mois de prison avec sursis
Elle a aussi écopé d'une mise à l'épreuve pendant 3 ans et d'une interdiction d'exercer son métier pendant la même période. Cette femme était jugée devant le tribunal correctionnel de Lyon pour avoir volé des bijoux à une vieille dame chez qui elle travaillait. Elle devra par ailleurs rembourser 6000 euros au titre des bijoux volés, et 1500 euros pour le préjudice moral.
SYTRAL: Rivalta et Barriol devront rembourser
Le Conseil d'Etat a décidé le 23 décembre 2011 que le président et le vice-président du Sytral devront rembourser les indemnités qu'ils ont indûment perçues entre janvier 2002 et octobre 2005. Bernard Rivalta avait reçu près de 116 000 ? contre 47 000 ? pour le vice-président Georges Barriol, alors que la loi fixe le plafond à 700 ? mensuels pour les présidents de syndicats mixtes. Les deux élus devront donc rembourser le trop-perçu, ce qu'ils ont déjà commencé à faire. Le Sytral gère les transports en commun de l'agglomération lyonnaise.
Tony Vairelles se pourvoit en cassation
L'ancien joueur de l'OL et ses 3 frères ont pris cette décision vendredi pour contester leur maintien en détention. Mercredi la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Nancy avait rejeté la demande de remise en liberté des quatre hommes. Ils sont incarcérés depuis fin octobre pour tentative d'homicide. On leur reproche d'être impliqués dans une fusillade durant laquelle 3 vigiles d'une boîte de nuit avaient été blessés.
La Lyonnaise de Garantie obtient la condamnation du géant de l'internet Google
Le moteur de recherche suggérait en fait d'accoler le qualificatif « escroc » au nom de cette société lyonnaise via la fonctionnalité Google Suggest. On apprend mercredi que la cour d'appel a confirmé le 14 décembre la condamnation de Google France à verser 50 000 euros de dommages et intérêts à la Lyonnaise de Garantie pour injure publique. Le site internet étudie les possibilités qui lui sont offertes pour contrer cette décision de justice.
Tony Vairelles au tribunal
L'ancien joueur de l'OL mis en examen pour tentative d'assassinat est entendu mercredi après-midi par la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Nancy. La justice doit statuer sur sa demande de remise en liberté. Ses trois frères, également mis en examen, seront également entendus aujourd'hui. Tous les 4 sont soupçonnés d'être les auteurs d'une fusillade durant laquelle un vigile avait été grièvement blessé.
Deux femmes condamnées à de la prison ferme pour escroquerie
Âgées de 34 et 44 ans, elles ont écopé respectivement de 2 et de 3 ans de prison. Toutes deux sont soupçonnées d'avoir volé et utilisé des chéquiers, mais également des tickets restaurants ou encore des avoir. L'une d'elle avait également usurpé l'identité d'une de ses victimes pour souscrire un crédit à Paris. Plus d'une dizaine de victimes ont été identifiées à Villeurbanne, Albigny, St Priest et même en Suisse. Mais on ne connait pas le montant exact du préjudice.
L'AS St Etienne porte plainte pour piratage informatique
C'est le SRPJ de Lyon qui est chargé de l'enquête, alors que selon le Progrès plusieurs employés ont constaté que leurs boites mails avaient été piratées. Une perquisition aurait eu lieu au domicile d'un ancien cadre administratif du club et à son cabinet d'avocat où il collabore à Lyon. Les plaintes des employés et du club de St Etienne avaient été déposées le 10 novembre dernier.
Le Villeurbannais accusé du viol d'une adolescente écroué
Le jeune homme, qui connaissait sa victime, avait été interpellé dimanche à la station de métro Gratte-Ciel, peu après les faits. Il est accusé du viol d'une jeune fille de 17 ans dans le quartier de la Part-Dieu. Lors de son arrestation il avait insulté les policiers et s'était rebellé, blessant un fonctionnaire qui a subi deux jours d'incapacité. Le jeune homme a été mis en examen et écroué selon le Progrès.
Michel Neyret a été entendu par un juge d'instruction mardi
Selon l'un de ses avocats, l'ex numéro 2 de la PJ lyonnaise était satisfait d'avoir pu s'expliquer sur plusieurs points de l'affaire. Après trois heures et demie d'entretien avec les juges, ses avocats ont demandé le renvoi de l'audition pour prendre connaissance d'un certain nombre de pièces. La demande de remise en liberté de Michel Neyret, qu'ils avaient envisagée, devrait du même coup être reportée. Il s'agissait de sa première audition depuis sa mise en examen le 3 octobre dernier, notamment pour corruption.