Le jeune agresseur de l'EPM jugé vendredi
Agé de 18 ans, il avait griffé, frappé, mordu et craché sur des surveillants de l'établissement de Meyzieu. Au total, six gardiens avaient subi la crise du jeune détenu. C'est notamment avec ses dents qu'il avait fait le plus de dégâts puisqu'il avait profondément atteint ses victimes à la poitrine, la jambe, les testicules et le pénis. Lors de l'audience, il a été expulsé de la salle à cause de son attitude désintéressée. Le parquet a requis trois ans de prison dont six mois de sursis.
Michel Neyret a quitté Saint-Etienne
Il était entendu jeudi après-midi à la barre de la cour d'assises de Saint-Etienne pour témoigner dans une affaire de braquage avec prise d'otage dans laquelle il avait pris part à plusieurs interpellations.
Prison ferme pour une série de vols
Des peines de prison ont été prononcées jeudi à l'encontre d'un homme et d'une femme originaires des 4e et 9e arrondissements de Lyon. Ils avaient été interpellés lundi près de la place des Jacobins après avoir été reconnus par une vendeuse d'un magasin « visité » le 17 novembre. Dans leur véhicule, les policiers ont retrouvé des objets provenant du cambriolage de 10 autres magasins. L'homme a été condamné à 12 mois d'emprisonnement dont 8 avec sursis sans mandat de dépôt, la femme à 18 mois d'emprisonnement dont 12 avec sursis sans mandat de dépôt. Un troisième individu a lui été laissé libre.
Michel Neyret est arrivé à Saint-Etienne
Michel Neyret est arrivé sous bonne escorte, sous les flashs des photographes et les torches des caméras de télévision. Peu après 11h, il a rejoint le palais de justice de Saint-Etienne, en plein centre-ville, dans un fourgon bleu de la gendarmerie. Le fourgon bleu aux vitres teintées noires, qui ne laissait que transparaitre le visage du conducteur, a même été obligé d’emprunter sur une trentaine de mètres un sens interdit, alors que la circulation avait été préalablement coupée. L’ex-n°2 de la PJ de Lyon était parti quatre heures plus tôt de la prison de la Santé, entouré de gendarmes mobiles spécialisés dans le transport de détenus. Quelques minutes avant son arrivée, un dispositif d’une trentaine de CRS, lourdement armés, s’est positionné devant l’entrée arrière du Palais.Michel Neyret doit être entendu à 14 h comme témoin, en tant qu’ancien chef de la BRI de Lyon. Il avait en effet participé à l'arrestation de malfaiteurs présumés dans une affaire de braquage avec prise d’otages en Suisse. Ce sont les avocats d’un accusé qui ont demandé à l’entendre. L’homme était entouré ce matin de membre du GIPN, soit en tout plus d’une cinquantaine de forces de l’ordre mobilisées. Une fois entendu, Michel Neyret fera alors le trajet inverse, Saint Etienne-Paris, soit plus de 900 kilomètres.
Michel Neyret attendu à 14h devant la Cour d'Assises de St Etienne
L'ancien directeur adjoint de la PJ de Lyon va témoigner dans le cadre d'un procès pour braquage. Il avait participé à l'arrestation des malfaiteurs présumés. Michel Neyret est donc transféré jeudi matin de la prison de la Santé à Paris vers St Etienne. Il ne témoignera donc pas par visioconférence comme prévu initialement. Ce sera sa première apparition depuis son incarcération début octobre.
Michel Neyret va sortir de prison le temps d'un procès
L'ex-numéro 2 de la PJ lyonnaise, en prison depuis le 3 octobre, sera extrait de sa cellule de la prison de la Santé jeudi. Selon Le Progrès, il devra venir témoigner en personne devant la Cour d'Assises de St Etienne concernant un braquage commis en Suisse en 2003. Il avait alors participé à l'arrestation des braqueurs présumés. Michel Neyret aurait du témoigner par visio-conférence, mais la cour en a décidé autrement. Il est attendu jeudi à 9h au tribunal.
Une peine exemplaire pour une tentative de braquage à Vaulx-en-Velin
Un jeune de 18 ans a été condamné à quatre ans de prison, dont deux avec sursis, et mise à l'épreuve pendant deux ans. Un jugement sévère pour ce braquage de boulangerie raté dimanche dernier à Vaulx-en-Velin, qui avait eu lieu deux jours seulement après celui de Bron, où un buraliste a été gravement blessé.
Michel Neyret en visioconférence à la cour d'assises de Saint-Etienne
Son témoignage en direct de la prison de la Santé à Paris, qui devait avoir lieu mercredi après-midi, a été reporté à jeudi matin. Dans cette affaire l'ex-numéro 2 de la PJ lyonnaise est cité comme témoin en tant que directeur d'enquête. Son apparition est très attendue, car Michel Neyret n'a pas été vu depuis son interpellation fin septembre.
Jugement attendu mardi par la cour d'appel de Lyon dans l'affaire Clearstream
Elle va se prononcer à 14 heures sur les 3,6 millions d'euros de dommages et intérêts réclamés par le journaliste Denis Robert. Après dix ans de bras de fer judiciaire avec Clearstream, ce dernier a été blanchi par la cour de cassation. Mais son avocate estime qu'il a subi des "préjudices personnels, professionnels, moraux et financiers considérables". Espérant une décision en sa faveur, Denis Robert souligne que "ce serait la première fois qu'un journaliste serait ainsi indemnisé".
Procès du bitume : délibéré renvoyé en mars 2012
Il devait normalement être rendu mardi par la cour d'appel de Lyon. En 2008, l'ouvrier José Francisco Serrano Andrade était décédé d'un cancer de la peau. Sa famille, persuadée que sa maladie était due aux vapeurs de bitume, avait saisi la justice. Et le tribunal des affaires sociales de Bourg-en-Bresse avait alors reconnu la faute inexcusable d'Eurovia, son employeur. Ce dernier avait fait appel du jugement. Le délibéré lyonnais est finalement renvoyé à mars prochain car l'avis du comité régional de Bourgogne de reconnaissance des maladies professionnelles n'a pas été rendu.
Bron : le buraliste tiré d'affaire, les braqueurs toujours en garde à vue
Deux jours après le braquage raté de Bron, la police interroge toujours les deux malfaiteurs ainsi que quatre autres personnes. Ces dernières s'étaient interposées durant l'interpellation et les forces de l'ordre tentent de déterminer leur degré d'implication dans le braquage. Car les gardes à vue se terminent dimanche et il faudra décider des suites à donner. Les deux braqueurs devraient finir devant le Parquet, ils risquent jusqu'à 30 ans de prison pour tentative de meurtre et tentative de vol à main armée. Quant au buraliste touché à l'abdomen, ses jours ne sont plus en danger. Il a même pu être entendu par la police et ainsi apporter son éclairage sur les faits qui ont secoué le quartier. Alors qu'il faisait mine de remettre la caisse aux malfaiteurs, le gérant du tabac de la rue Saint-Exupéry avait tenté de les asperger avec du gaz lacrymogène. Ce qui lui avait valu de recevoir une balle dans le ventre.
Musulin: demande de remise en liberté rejetée
La cour d'Appel de Lyon a décidé vendredi après-midi de ne pas accéder à la demande de remise en liberté de l'ex convoyeur de fonds. Selon la cour, Toni Musulin ne présente pas de garanties suffisantes s'il est libre. L'ancien employé de la Loomis, condamné à 5 ans de prison pour le vol de 11,6 millions d'euros en novembre 2009 et incarcéré depuis sa reddition à la maison d'arrêt de Corbas, était présent au Palais de Justice de Lyon vendredi. Il a expliqué qu'il ne savait pas où se trouvaient les 2,5 millions d'euros manquants (le reste avait été retrouvé par les équipes de la PJ lyonnaise dans un garage). Pour appuyer sa demande de remise en liberté il a indiqué qu'il comptait travailler dans une entreprise de transports de l'Ain. Son avocat Me Cottet-Bretonnier, a indiqué que Musulin "ne s'enfuira pas avec un camion rempli de gravats et de matériaux." L'avocate générale a répondu que l'intéressé "ne présente aucune garantie de fiabilité" suffisante pour le remettre en liberté. Il restera donc en prison, à l'isolement à Corbas, en attendant le résultat de son pourvoi en cassation.
Jacques Beaume nommé à la cour d’appel de Lyon
Le décret paru vendredi fait suite à sa nomination mercredi en conseil des ministres. Il remplace Jean-Paul Viout, parti à la retraite au début du mois de septembre. Jacques Beaume était procureur général près la cour d ‘appel de Colmar depuis 2008.
L'examen vendredi de la demande de remise en liberté de Toni Musulin
La cour d'appel de Lyon va étudier cet après-midi cette demande faite par son avocat. Toni Musulin va se pourvoir en cassation, son avocat estime donc que sa condamnation n'est pas définitive et que son client est toujours présumé innocent. L'ex convoyeur de fonds est incarcéré à Corbas depuis novembre 2009 pour le vol de près de 11,6 millions d'euros. En appel il avait été condamné à cinq ans de prison.
PS/Léo Lagrange: le maire de Feyzin relaxé dans l'affaire de détournement de fonds
Le tribunal de Lyon a relaxé Yves Blein dans l'affaire de détournements de fonds publics à la mairie de Saint-Fons.
Lyon 5e : la fermeture du lycée Jean Moulin devant la justice
Le commissaire public doit rendre jeudi les conclusions de son enquête sur la fermeture du lycée du 5e arrondissement de Lyon.
L'homme soupçonné du meurtre de Neuville-sur-Saône présenté jeudi à un juge d'instruction
Il s'agit du compagnon de la victime, qui l'aurait poignardé au cours d'une violente dispute mardi soir dans leur appartement. La garde à vue du jeune homme de 26 ans a été prolongée et il pourrait être mis en examen pour assassinat. Selon le Progrès, son acte aurait été prémédité.
Cour d'assises du Rhône : 15 ans de prison pour le meurtre de sa fille autiste
Le verdict de la cour d'assises du Rhône est tombé mardi soir.
Deux mises en examen après la mort d'un jeune homme quai Augagneur
Il avait reçu un coup de couteau à la sortie d'une soirée à Lyon. Un jeune de 23 ans est poursuivi pour coups et blessures volontaires ayant entrainé la mort. Une jeune femme de 19 ans est elle aussi mise en examen pour violence avec arme, elle est soupçonnée d'avoir joué un rôle dans l'enchainement des faits.
Amiante: Irisbus/Iveco condamné
Les prud'hommes de Lyon ont condamné mardi l'entreprise pour "préjudice d'anxiété". Le tribunal a accordé 10 000 euros de dommages et intérêts à chacun des 38 ex salariés plaignants de son site d'Annonay qui produisait des bus. C'est une demi victoire puisque les prud'hommes n'ont pas reconnu le préjudice économique qui était réclamé par les plaignants partis en pré-retraite et dont la pension est du coup amputée de 25%. On ne sait pas si Iribus/Iveco fera appel.