Les agents sont en grève pour obtenir des garanties quant à la continuité de leurs contrats de travail et de leur maintien sur le site.
Lors de cet échange, la Métropole "a rappelé le cadre connu dans lequel s’inscrit sa décision de renouveler le marché de nettoyage du CELP (Centre d’Échanges de Lyon Perrache) sous la forme d’une procédure réservée à une structure d’insertion par l’activité économique".
A la vue du manque d’hygiène et de salubrité publique, "la Métropole a demandé à l’entreprise Arc-en-Ciel la mise en place d’un service minimum" est-il écrit dans le communiqué.
Mais ce jeudi après-midi, elle "n’a pas reçu de confirmation de mise en œuvre effective" de ce service minimum.