Depuis novembre 2023, les policiers de l’antenne OFAST (office anti-stupéfiants) de Lyon s’intéressaient à une équipe de malfaiteurs qui organisait des importations de drogue entre l’Espagne et la région Auvergne-Rhône-Alpes.
L’enquête, conduite sous l’égide de la juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Lyon, a permis d’identifier les protagonistes d’un trafic international.
Entre décembre 2023 et juillet 2024, les forces de l’ordre ont intercepté deux poids-lourds et un convoi de véhicules légers dans la région lyonnaise et dans le Gard, au moment où les stupéfiants étaient remis à des équipes locales. Les policiers ont ainsi saisi 2,4 tonnes de résine de cannabis
.L’un des chauffeurs de poids-lourds visé par l’enquête faisait déjà l’objet de deux mandats d’arrêt pour des faits similaires, précise la Direction interdépartementale de la police nationale (DIPN).
En tout, 11 personnes ont été interpellées, mises en examen et placées en détention provisoire.
Mais l’affaire ne s’est pas arrêtée là.
La poursuite des investigations a permis d’identifier un individu soupçonné d’être "le donneur d’ordres" du réseau. Il a été interpellé le lundi 30 juin 2025 par les enquêteurs de l’OFAST et placé en garde à vue.
Le lendemain, un autre suspect, en fuite, a lui aussi été arrêté. Cet homme avait été condamné en 2016 à sept ans de prison pour trafic de stupéfiants. Lors de la perquisition à son domicile dans l’Ain, les policiers ont saisi 54 kg de cocaïne ainsi que plusieurs dizaines de milliers d’euros. L’enquête se poursuit sous l’autorité de la JIRS de Lyon.
#ContreLeNarcotrafic | Une longue enquête diligentée par l'OFAST de #Lyon a permis en 2024, la saisie de 2,4 tonnes de cannabis puis, les 30/06 et 01/07/2025 de 54kg de cocaïne.
— Police Nationale 69 (@PoliceNat69) July 11, 2025
⚖️ 11 individus interpellés, mis en examen, et placés en détention provisoire pic.twitter.com/hPjVNg9ZDU
Ses réseaux sont sûrement plus intelligents que cela.
Signaler RépondreVous avez très probablement entendu comme moi qu'ils infiltraient toutes les strates du pouvoir et positionnaient des hommes et femmes à eux dans les sphères politique, juridique, associative etc etc.
On connait aussi les mécanismes de blanchissement de l'argent une partie via les paradis fiscaux que toutes les institutions connaissent (on parle souvent de Dubaï mais il y a plein d'autres paradis).
Surtout moi ce qui m'énerve c'est de voir ses réseaux de narco qui contrôlent la "traite des êtres humains". Ainsi on s'aperçoit qu'ils mettent la main par exemple sur les foyers d'enfants placés pour les mettre dans des réseaux de prostitution. L'Etat est totalement inactif sur cet aspect là malgré de nombreux avertissements des professionnels du secteur.
J'ai entendu que des parents vont faire un procès à l'Etat dans l'affaire de l'infection alimentaire dans l'Aisne. Mais il faudrait aussi faire des procès groupés contre l'Etat son inaction vis à vis de ses réseaux ... le problème c'est que le Conseil Constitutionnel met son véto sur cette démarche contre l'Etat, le citoyen n'a pas le droit de faire une action pour inaction sécuritaire, par contre il a le droit de faire un procès pour inaction climatique.... mais quel est le risque mortel imminant entre ses 2 thèmes?
En résumé, quand on voit ce qu'on voit et qu'on entend ce qu'on entend, on est content de penser ce qu'on pense.
Signaler RépondreMais en dehors de ça, des preuves ? Des vraies ?
Quand on voit tout ce qui est produit, on se dis que les Marocains doivent pas chercher les cultures assidument
Signaler RépondreEt tout le monde sais que la corruption existe !
Puisque tu es si bien au courant, c'est que les preuves ne manquent pas, il faut donc les publier, histoire de mettre un bon coup dans le panier de crabes.
Signaler RépondreAllez, camarade Dugland, yapluka !!!
Pays de corrompus , pays qui fait pousser et fabrique de la drogue ! Sacré pourritures !
Signaler RépondreEt oui. Tiens pourquoi jamais de reportage sur les efforts entre le gouvernement marocain et français pour éradiquer les champs de cannabis au Maroc?
Signaler RépondreAh oui ca doit profiter aux grosses têtes du gouvernement. Mais personne n'en parle. Des milliers de tonnes qui arrivent par bateaux et on vient nous parler des go fast.
Arrêter les gouvernements se gavent
Bref, s'attaquer à l'électorat islamo-gauchiste
Signaler RépondreInutile et couteux comme tout ces effectifs mobilisés à vider la mer à la petite cuillère.
Signaler RépondreDes articles, des documentaires, des séries télé etc..etc... en boucle pour nous expliquer que le crime ne paye pas & que nos vaillants policiers finissent toujours par attraper les méchants alors que dans la réalité ...
Les gens sont pas idiots ils savent et voient bien à quel point le trafic a explosé ; les quantités et la violences & la misère sociale qui vont avec.
L'étape finale c'est le fentanyl à l'américaine qui nous attend et quand ça sera trop tard ils commenceront à se poser les bonnes questions et à envisager des solutions en "sous commission spéciale de réflexion et d'enquête élargie permanente des affaires chargés de l'application de l'article 26 de la proposition de l'évaluation du plan d'action de la division territoriale placée sous l'autorité d'un subdélégué départemental de la région chargé à l'appui technique et à la facilitation de la mise en place d'un environnement de travail hybride et de la mise à disposition d'outils collaboratifs ______________________"
Le temps qu'ils aient finis on trouvera des dealeurs devant les écoles maternelles . Ha c'est déjà le cas ? Ok boomer ?
Une enquête énorme , menée sur plusieurs années , qui a mobilisé des centaines de personnes pour enfin de compte une justice qui va relaxer toutes ces racailles.
Signaler RépondreCombien à coûté cette opération ?
Félicitation quand même à notre efficace police.
Ce sont les pays producteurs qu'il faut taper. Les ports gangrainés qu'il faut réorganiser, les hôpitaux psy controlés...se poser les questions du pourquoi autant de consommateurs d'anxiolytiques, de shit, de réseaux sociaux, d'alcool en France ?
Signaler RépondreDonnez nous des noms!
Signaler RépondreEt bien sur c'est toujours de la faute des consommateurs!
Au fait, les racailles, on vous oblige a dealer? faire vos trafics juteux?
Soumettre nos élus municipaux à des tests reguliers de consommation de drogue pourrait fournir quelques informations intéressantes sur la porosité des milieux mafieux avec le monde politique.
Signaler RépondreDes papiers sortis dernièrement dans plusieurs journaux montrent que les cartels d'Amérique du Sud ont trouvé un très bon port d'attache en France. Vous ajoutez à cela les différentes mafias étrangères: marocaine, algérienne, kosovare, serbe; commorienne etc etc
Signaler RépondreIl semblerait que le Pays soit profondément pourri depuis de nombreuses années... ce qu'on ne comprend pas nous simple citoyen de base c'est pourquoi le pouvoir politique qui connait la situation depuis très très longtemps n'a pas agit rapidement lors des 1ères implantations de ses mafias.
Je parlerais des activités associées aux réseaux: les cabinets d'avocats spécialisés qui ont comme client ses mafieux, les différents paradis fiscaux connus de tous mais qui ne semblent pas être une priorité pour nos dirigeants, la mixité du trafic car souvent les mafias sont aussi dans la traites d'êtres humains (les passeurs) ou dans la prostitution (cf les réseaux qui ont pris la main sur les foyers d'enfants placés), et sûrement quelques associations et ONG qui favorisent cet écosystème.
Y aurait il des complices institutionnels et politiques ? très probablement oui car le niveau de corruption même si on dit le contraire est bien là.
Bravo à nos policiers, continuez à taper dessus encore et encore.
Signaler RépondreMême si les juges ne condamnent pas, vous aurez au moins saisi l'argent, la drogue, les véhicules et c'est exactement ce qu'il faut faire avec cette racaille.
Soyons rassurés, si il y a condamnation, les peines seront légères ou adaptées car les responsables de ces trafics menacent régulièrement les juges ou leurs familles, directement ou indirectement par leurs petites mains a la botte,et obéissant sous peine de représailles expeditives ,comme en Equateur ou j ai vécu longtemps. Nous avons simplement 10 ans de retard.
Signaler RépondreL'électorat écolo, en sarwel et dreadlocks, va devoir acheter sa came un peu plus cher!
Signaler RépondreBravo à notre police nos jeunes et pas que sont trop touchés par la drogue..
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