Les Etats-Unis restent largement devant le reste de la concurrence, avec les trois premières places occupées par Harvard, Stanford et MIT. Le reste du top 10 est composé uniquement d'établissements américains, sauf Cambridge (4e) et Oxford (6e), représentants britanniques.
La première université française reste Paris-Saclay, 13e, qui perd une place par rapport à 2024.
Lyon ne parvient toujours pas à se tailler la part du lion dans ce classement, puisque ses deux représentantes stagnent depuis des années. L'Université Lyon 1 Claude-Bernard se classe, comme l'an dernier, dans la fourchette de la 201e place à la 300e. Tandis que l'Ecole Normale Supérieure (ENS) de Lyon reste également dans la fourchette 301e-400e.
Lyon n'a même pas le luxe d'afficher en son sein le premier établissement de la région Auvergne-Rhône-Alpes, puisque c'est l'Université Grenoble Alpes qui occupe cette place, avec un classement 151-200, en chute libre par rapport à 2024.
Le classement de Shanghai, officiellement appelé Academic Ranking of World Universities (ARWU), est un palmarès annuel créé en 2003 par l’université Jiao Tong de Shanghai, en Chine. Il évalue plus de 2500 établissements dans le monde, mais ne publie que les 1000 premiers, en se basant sur des critères académiques et scientifiques : nombre de prix Nobel et médailles Fields parmi les anciens élèves ou le personnel, articles publiés dans Nature ou Science, volume de publications indexées et citations, ainsi que performances par rapport à la taille de l’établissement.
Ce classement, très influent, est souvent utilisé comme référence pour comparer l’excellence académique des universités à l’échelle internationale.
Et pourtant il a raison. C'est votre commentaire qui est hors de propos. La prochaine fois, actionnez ce qu'il y a entre vos deux oreilles avant d'actionner votre clavier.
Signaler RépondreComme le fantasme Hyper Loop…mdr😂
Signaler RépondreEt qui êtes vous pour parler au nom de la France ? Et vos contres arguments concernant ce qui a été dit ?
Signaler RépondreA la traîne .. Comme la ville
Signaler Répondreplutôt que de communiquer sur des fontaines à eau dans le métro...
Signaler RépondreCertains sont dans le concret.
un vrai universitaire.... un bla bla de 2 pages qui auraient tenu en 15 lignes.
Signaler RépondreLa France ne vous remercie pas.
Tiens Lyon 2 n'est pas dans les 10 premières ?
Signaler RépondrePas normal, sûrement un classement truqué 🤣
quand on a 92 pour cent de réussite au BAC il est évident que le niveau ne peut que s effondrer puisque tout le monde est beau et tout le monde est intelligent .L exploit actuellement c est de louper le BAC et le plus souvent ceux qui le loupent sont ceux qui ne sont pas venus en cours ou a l examen.
Signaler Répondrebien sûr que la droite pense a l eau toute le monde le sait pierre Olivier pense aux électeurs de gauche ou de centre honte a nos politiques
Signaler RépondreIl est vrai que pour un pays long de 1000 km il est prioritaire d aller plus vite! On a après tout aucun problème de sécheresse et au pire l eau c est utile pour quoi ? Si on a soif on pourra s abreuver du savoir de beaucoup de spécialiste sur ce forum.
Signaler RépondreC'est science po qui tire vers le bas avec tous les lfistes comme étudiants et parfois profs, on est loin des macronistes et chiraquistes de l'époque.
Signaler RépondreBon d'accord l'éducation n'a plus aucun moyen comme tout le service public depuis quelques années... C'est le problème principal, mais notre gouvernement va encore trouver que les élèves ont trop de jours de vacances !
En tant qu’universitaire ayant eu deux expériences à l’étranger (Amérique, puis Europe du Nord), certains commentaires m’exaspèrent : ils reposent sur des inepties sans aucune base factuelle. Rappelons quelques faits. Les universités françaises :
Signaler Répondre-étaient déjà dépassées par leurs consœurs britanniques ou états-uniennes dès les années 1930. D’où la création des instituts de recherche (ex.CNRS) qui concentrent les moyens de la recherche publique. Si la Chine progresse depuis les années 1980, c’est suite à l’un des investissements publics des plus massifs de l’après-Guerre. L'université française ‘standard’ se compare à ses consœurs italiennes, espagnoles, polonaises, etc., pas à Harvard, Stanford, Oxford ou Cambridge.
-les mieux classées sont une simple étiquette regroupant des établissements sans rapport organique entre eux. Il s’agit de faire masse, notamment pour les publications. La plupart des universités états-uniennes, britanniques, nordiques, allemandes, etc., intègrent des départements de sciences de la nature, de médecine, d’ingénierie, d’architecture, de sciences humaines et sociales (Droit et management compris). Le procès en wokisme des universités françaises est un contresens intégral ;
-forment de gros bataillons de diplômés trouvant un emploi en France. Sans elles vous n’auriez quasiment aucune profession médicale, juridique, éducative, etc. Vous vivez dans un désert médical ? A votre avis, à quelle institution demande-t-on de former, à moyens quasiment constants, des médecins en plus grand nombre, dont ceux susceptibles de s’installer sur votre territoire ?
-ont quasiment toujours connu des situations budgétaires dégradées, avec quelques moments de répit. On attend d’elles plus que ce qu’elles peuvent donner (un peu à la manière de ce qui se passe avec les hôpitaux publics). Un étudiant en licence généraliste ou en première années d’accès aux études de santé coûte moins cher à former qu’un collégien (environ 3 500 Euros). Malin celui qui trouvera la recette magique pour permettre à un bachelier de rattraper ses lacunes avérées, d’acquérir les bases de son domaine disciplinaire, de se former à une profession, d’être un as du numérique, d’acquérir les compétences pour exceller à l’international, de développer une appétence pour la recherche ! Pour raisons d’économies, les volumes horaires d’enseignement se réduisent inexorablement (-20% en deux ans dans mon établissement). La baisse de niveau académique ne résulte pas d'une volonté, mais d'une impossibilité ;
-ne disposent pas des dotations (endownements) des prestigieuses universités américaines et ne peuvent que très difficilement investir à long-terme. Si les droits d’inscription doivent augmenter, compte tenu du pouvoir d’achat des familles françaises, la hausse ne pourra atteindre les niveaux de certains pays. Quant aux ressources venant de projets de recherche avec les entreprises, merci de lire la pléthore de rapports d’institutions wokistes comme le CAE, l’OFCE, etc., constatant, chiffres à l’appui, la faiblesse de la recherche-développement des entreprises françaises, donc leur capacité à nouer des partenariats avec les universités ;
-n’ont pas la main sur les bacheliers accueillis : le dernier mot revient aux rectorats. Dans les pays que je connais, elles maîtrisent l’intégralité de leur recrutement ;
-ont vu leurs capacités en recherche diminuer. Il y a moins d’enseignants-chercheurs, de doctorants, d’étudiants de master intéressés par la recherche, de personnel pour le soutien technique ou administratif. La recherche est devenue plus coûteuse, avec des tarifs d’abonnement aux revues académiques ou aux bases de données, de participation aux colloques, de publication exorbitants. Le prix de certains équipements ou consommations tend à augmenter. Enfin, du fait du CAS pension, les universités ponctionnent une partie de leur masse salariale pour financer les retraites de fonctionnaires ou assimilés n’ayant aucun rapport avec l’enseignement supérieur et la recherche. Ce tour de passe-passe gonfle artificiellement les ressources humaines réelles dont elles disposent et le niveau de la dépense intérieure en recherche-développement (les fameux 3% de Lisbonne).
Notre pays est très en retard dans ces questions. Dans d'autres, il n'est pas très difficile de rentrer dans la vie active après l'université, et de changer de secteur d'activité plusieurs fois.
Signaler Répondrela Chine prépare un TGV à 1 000 km/h.
Signaler RépondreShanghai–Hangzhou en 9 minutes.
Plus rapide qu’un avion, plus sûr qu’une voiture.
Eux construisent le futur, nous on débat sur les fontaines a eau ce pays va mal
pour avoir pratiqué un master à Lyon 1 (562eme au Classement mondial QS 2025) et un MBA à EM Lyon (7eme mondial au même classement), je peux vous assurer qu'il y a un univers d'écart entre ces 2 écoles : professeurs, niveau d'entrée, international, etc ...)
Signaler Répondredonc pas de surprise à trouver les universités françaises dans les bas-fonds du classement
L'université en France, forme des éponges, les grandes écoles font éclore des talents
Ça étonne qui ?
Signaler RépondreUne université ne prépare pas nécessairement à la vie active : il y a les BTS en 2 ans pour ça.
Signaler RépondreOn va à l'université pour acquérir une culture générale et éventuellement, des qualifications professionnelles.
Il y a encore 30 ans, on pouvait faire un DEA en lettres, histoire de l'art ou philosophie et chercher un job qui n'avait pas grand-chose à voir avec sa formation universitaire.
Aujourd'hui, le contexte économique étant beaucoup plus tendu, on cherche à tout prix à rentabiliser ses études pour gagner sa vie tout de suite après.
Si vous allez dans les filières universitaires littéraires aujourd'hui, beaucoup moins fréquentées qu'avant, vous constaterez que les étudiants sont des fils et des filles de bonnes familles qui peuvent se permettre de faire des études qui mènent normalement à des jobs usants et mal payés (prof par exemple…) mais qu'ils n'exerceront pas.
J'ajoute au passage que les riches ne travaillent pas, ce sont les pauvres qui doivent gagner leur vie…
Ce classement n'a absolument aucun sens pour un jeune Lyonnais. Qu'est ce qu'une bonne université pour un nouveau bachelier ? Un lieu où se préparer à la vie active, acquérir des savoirs et des pratiques pour la vie entière, faire des expériences humaines, grandir vers la maturité... On voit mal un Lyonnais se présenter à Oxford, UCLA, ou Cambridge...
Signaler RépondreA ce terrible constat il faut ajouter : absence de sélection, dévalorisation absolue des diplômes, et, pire, application mécanique de méthodes scolaires superficielles fondées sur l'imitation, et non sur la compréhension profonde. Ce n'est pas rendre service aux jeunes que de leur laisser caresser de faux espoirs, leur faire perdre l'occasion d'apprendre un métier qui leur convienne et, leur faire gâcher plusieurs années de leur vie. Cette démagogie n'a qu'un résultat : l'inéluctable effondrement du niveau. Quand j'ai eu à enseigner en première année de licence, il est arrivé que des étudiants arrivés là grâce un bac technologique fussent incapables de prendre des notes… Que faire, devant un amphithéâtre bondé ? C'est bien trop tard ! Tout est à reprendre à zéro à partir de l'école primaire !!!
Signaler RépondreIl y a bien longtemps que les universités et grandes écoles ne forment plus l’élite. Ces établissements français sont gangrenés par l’idéologie wokiste et gauchiste qui pour favoriser l’intégration ont constamment baisser le niveau et même pour certains supprimer le concours…
Signaler RépondreLorsqu'un gamin sur deux ne maitrise pas la lecture et l'écriture en rentrant en 6ème, lorsqu'un gamin sur quatre ne sait toujours pas lire et écrire en sortant de 3ème ; comment s'attendre à des générations de nobélisables ? Nous commençons à payer le prix fort d'un demi siècle de vénération de la fainéantise ,du nivellement par la base et de la mediocatie ;le réveil sera très douloureux pour les générations à venir
Signaler RépondreComment ça, l'ISSEP n’est pas dans le peloton de tête ? On voit bien que ce classement est truqué.
Signaler Répondre"stable mais toujours à la traine" : c'est au fond de la classe à coté du radiateur ?
Signaler RépondreLes universités françaises vont doucement être privatisées.
Signaler RépondreDans 20 ans, on aura un système à l'américaine avec quelques bonnes universités en France, essentiellement à Paris et en province des facs poubelles où l'excellence aura été remplacée par l'idéologie et où on donne des sujets d'examens en écriture inclusive…
La société future n'a pas besoin de gens intelligents et cultivés, c'est déjà la cas aujourd'hui vous me direz !