Selon Tribune de Lyon, l’enseigne lyonnaise, dirigée par Christophe Fargier, a demandé son placement en procédure de sauvegarde.
Selon nos confrères, les quatre entités du groupe sont concernées : Ninkasi Entreprises, Ninkasi Ale House, Ninkasi immobilière de Tarare et Ninkasi Fabriques.
Cette procédure de sauvegarde est une première étape avant un éventuel placement en redressement judiciaire.
Ninkasi connait actuellement une période de transition, un an et demi après l'ouverture d'un nouveau restaurant dans le quartier des Cordeliers et alors que l'établissement emblématique de Gerland a fermé ses portes en attendant son déménagement à Oullins. Une grande usine avait également été inaugurée à Tarare.
Les approximations voire les contre vérités sont du carburant pour LFI.
Signaler RépondreIl faut être rigoureux contre ces gens et ne pas se mettre à leurs niveaux comme votre intervention.
Non, tous les pays libéraux n'ont pas les mêmes dispositions de procédure de sauvegarde et surtout aussi avantageuses qu'en France, voir la Suisse, les pays nordiques, le Canada, etc...
Mr de la Fontaine avait écrit une fable qui illustre parfaitement la situation..... à laquelle fait-on référence ?
Signaler RépondreAh, non ! Pas les étudiants. Je lis partout, même leurs associations et syndicats le disent, que la vie leur est intenable car trop chère: le logement, les transports, la nourriture, l'habillement, etc... Je n'ose les imaginer en train de dilapider leur petit revenu et boire des pintes à 8€.
Signaler RépondreJe vous encourage à chercher la différence entre un pseudo et un message, vous aurez au moins appris quelque chose aujourd'hui. C'est toujours intéressant de constater le mépris des citadins vélo-bobo-apéro vis-à-vis des gens qui vivent en banlieue ou à la campagne. Rassurez-vous on ne vous envie en rien ;)
Signaler Répondreil fallait laisser le concept simple et typique lyonnais où lieu copié les autres tout le monde se rappelle le point rdv au ninka avant d’entrer voir les match de l’Ol et le lundi soir les soirées salsa hélas mauvaise gestion dommage j’aimais bien le ninka que des bonnes souvenirs
Signaler RépondreC'est assez classique : quand on atteint un niveau d'endettement devenu difficile à supporter, on demande une procédure de sauvegarde.
Signaler RépondreSous la protection du tribunal des activités économiques, les créanciers sont invités à accepter une réduction de leur créance et un étalement du solde pendant des années, jusqu'à 10 ans.
Le Ninkasi a financé sa croissance externe sur le dos de ses fournisseurs, en les payant sans respect des délais légaux, quand il le voulait.
Et maintenant, sauvegarde ...
Qui va prendre une bière à part les bobos??
Signaler RépondreBen tout le monde en fait, des milliers d'étudiants par exemple, ca se voit que tu ne vient plus...
Bises
Signaler RépondreOn a trouver le patron 😂
Signaler RépondrePourquoi mentir?
Signaler RépondreLa pinte de blonde est à 6,5€ et 4,9€ pendant l'happy hour.
Je sais pas où vous avez pris une pinte de blonde à 10,5€, mais sûrement pas au Ninkasi. Elle est à 6€.
Signaler RépondreEvitez de balancer des fake news à l'emporte-pièce
En même temps, qui va encore prendre une bière à Lyon à part les bobos ? Depuis le COVID et l'impossibilité de se déplacer dans Lyon en venant de l'extérieur, on ne vient plus, on reste à l'extérieur, la banlieue a de très bons bars, moins cher qui plus est.
Signaler Répondreun lfiste qui parle d’économie 🤣🤣🤣
Signaler Répondreles procédures de sauvegarde existent dans tous les pays à économies libérales.
Pouvez-vous svp préciser la manœuvre que vous soupçonnez ?
Signaler RépondreFaut-il s’en étonner ? Quand tu vois que sur place, une simple pinte de bière blonde coûte 10,50 €… !
Signaler RépondreEncore une tactique financière pour sauvegarder le capital et annuler les dettes et particulièrement le remboursement du PGE et le reporter sur les contribuables.
Signaler RépondrePrivatiser le capital et mutualiser les dettes aux contribuables, Aulas connaît bien cette tactique, il espère la refaire prochainement.