L'affaire remonte au 30 août quand Hugues Fulchiron, président de l'université, demande au ministère de l'enseignement supérieur le renvoi de Marie-Louise Michel pour "incidents graves et répétés". Mais le ministère ne suit pas cette demande, et la directrice reste à son poste jusqu'en décembre, où elle est mutée vers un autre établissement. Pendant cette période, la directrice se rendra à son travail normalement, mais son travail lui, était exécuté par une autre personne. Une situation qui aurait donc poussé l'intéressée à porter plainte pour harcèlement morale.