L’objectif est double : réguler et limiter le nombre de m2 commerciaux sur le site pour « ne pas faire de l’Hôtel-Dieu, à moyen ou à long terme, un nième centre commercial », et inclure au document une mention qui « engage l’opérateur à accueillir divers organismes liés à la santé, notamment le pôle régional de Santé, l’ordre des médecins et le musée. » Deux précautions valant mieux qu’une, le maire du 2ème arrondissement justifie ce zèle au regard de l’ambition projet présenté par Eiffage. « Sans vouloir porter atteinte à la liberté de l’investisseur, explique Broliquier, il est nécessaire de poser juridiquement les contours de l’Hôtel-Dieu de demain, tel qu’il nous a été présenté. » La signature du bail doit intervenir en février.
Merci Monsieur Broliquier de mettre la mairie centrale devant leur résponsabilité par rapport au devenir de notre Hôtel-Dieu. Oui la rue de Bellecordière ne doit devenir une rue de la Ré (bis), si c'était le cas le maire de Lyon (même si il n'est plus là dans vingt ans) en sera le premier responsable de se capharnaüm.
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