En 2008 et 2009, il avait édité des fausses fiches de paie de son aide à domicile et avait ainsi touché 1 800 euros d'allocation de la part du Conseil Général. Une escroquerie astucieuse et normalement difficile à mettre en place pour une personne dans sa condition. Il a écopé de trois mois de prison avec sursis et 500 euros d'amende. Le Conseil Général dont le préjudice avait été remboursé a obtenu l'euro symbolique de dommages et intérêts.