Selon l'ACENAS (l'Association contre l'Extension et les Nuisances de l'Aéroport Lyon Satolas), il reste toujours plus de 200 000 litres de kérosène dans la nature alors que cette pollution devait être résorbée dans un délai de 18 mois. En réponse à un courrier de l'ACENAS, le préfet du Rhône, Jean François Carenco, aurait reconnu que les techniques mises en place à l'époque ont atteint leurs limites d'efficacité.