Un poste qui nécessite selon la ministre des Droits des femmes de
tourner "quatorze fois sa langue dans sa bouche avant de parler au nom d'un collectif et
de faire sens" ajoutant avoir rencontré des difficultés notamment lors
de la mort des deux journalistes de RFI en novembre dernier. "Après
l'assassinat de deux journalistes de RFI, j'ai dit qu'il fallait
renforcer notre présence au Mali sans préciser au Nord-Mali. Ça a mis la
diplomatie en émoi. On a dû rattraper le coup en faisant le tour des
médias", explique-t-elle.
Des difficultés que comprennent les prédécesseurs de Najat
Vallaud-Belkacem également interrogés dans cet article. "Najat était
anxieuse. Elle prenait conscience de la solennité de la fonction. Je lui
ai conseillé de ne pas hésiter à fermer ses réponses. Il vaut mieux
dire: 'cette question n'a pas été évoquée en conseil des ministres' que
de répondre une bêtise", a confié Valérie Pécresse, porte-parole sous
François Fillon, sur l'arrivée de sa jeune homologue.
De son côté, Alain Juppé ne manque pas de souligner le travail réalisé
par l'actuelle porte-parole du gouvernement. "La tâche de Najat est
difficile. C'est sans doute le gouvernement de la Ve République qui a le
plus de désaccords. Je n'aimerais pas être à sa place. Mais
sincèrement, elle fait bien le job. Oui, je suis indulgent mais il y a
une sorte de confraternité, entre anciens", déclare-t-il.
Samedi 11 Janvier 2014 à 18h25
Entre difficultés et conseils, Najat Vallaud-Belkacem scrutée par ses prédécesseurs
Najat Vallaud-Belkacem - DR
M, le magazine du Monde a consacré cette semaine un long article sur les fonctions actuelles de la lyonnaise Najat Vallaud-Belkacem.
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Elle fait la promotion d'une nouvelle discrimination: anti homme. Elle n'évoque jamais la violence contre les homme pourtant chaque jour davantage reconnue par les enquêtes officielles (OND par exemple), elle n'évoque jamais la parité dans les domaines ou les femmes sont sur représentées: enseignement, justice, santé etc...elle oublie de la réclamar dans les travaux pénible.
Signaler Répondreelle pousse a la lutte entre les sexes, c'est bien avant tout une militante, pas une femme d'état.
Il vrai que rarement dans l'Histoire de France la propagande d'un état socialiste n'a été si décomplexée, cependant pourquoi dire qu'elle est lyonnaise, c'est un hommage à Collomb mais une petitesse pour Lyon.
Signaler Répondreet bien moi, bien que homme, je ne trouve pas anormal qu'une voix prenne enfin la voix de l'ouverture sur l'égalité entre les hommes et les femmes, ces dernières étant même majoritaires dans notre pays,
Signaler Répondrela femme n'est pas l'ombre de l'homme, bien que celui ci élève toutes les barricades pour se maintenir dans la lumière
On s'émeut tous les jours de ségrégation entre humains (couleur de peau notamment), mais jamais du constat pattant qu'à travail égal, la rémunération d'une femme est inférieure de 20% encore aujourd'hui - et l'homme s'en accommode allègrement en raillant la femme quand elle ose relever la tete pour simplement le faire remarquer
" quatorze fois dans sa bouche " c'est un long baiser passionnément murit qu'elle adresse aux françaises et aux français ..
Signaler Répondrec'est une militante féministe au gouvernement, elle ne présente aucun intérêt.
Signaler RépondreElle sauve l'honneur d'une parole présidentielle à la dérive. Courage
Signaler RépondreAlain Juppé a raison de souligner qu'elle s'acquitte très bien de sa tâche et il faut y ajouter ses fonctions de ministre.A Lyon, elle travaillait également avec la même efficacité.
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