Mené dans 9 grandes villes dont Lyon, le projet Aphekom (à télécharger ici) évalue le poids de l'exposition aux particules en suspension et à l'ozone sur la mortalité et les hospitalisations entre 2004 et 2006. Résultats : 280 décès auraient pu être évités si Lyon respectait les valeurs recommandées par l'OMS. Pire encore, l'étude montre qu'un Lyonnais d'au moins 30 ans gagnerait 5,7 mois d'espérance de vie si la pollution actuelle diminuait. En revenant dans la norme, des économies de plusieurs milliards d'euros seraient effectuées par l'Etat, les hôpitaux et les Lyonnais selon l'InVS.
difficile d'avoir l'abondance des services et autres entreprises (emplois...) en compatibilité avec la pureté de l'air comme dans le" larzac"...
Signaler RépondreIl n'est pas certains que dans les régions dites sans pollution l'espérance de vie soit plus élevé compte tenu de l'absence de dispositifs de soins appropriés..(hôpital proche etc...):une étude serait la bienvenue..