Monsieur le directeur,
Conformément aux dispositions de la loi 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, qui vise notamment à protéger l'honneur et la réputation des personnes, j'exerce par la présente mon droit de réponse à l'article que vous avez publié ce jour en ligne, à 12h, en votre qualité de directeur de la publication.
Les affirmations et les suppositions me concernant, publiées dans cet article sur des faits qui se seraient produits au lycée Saint-Thomas d'Aquin à Oullins, relèvent d'une mise en cause personnelle, telle que définie à l'article 29 de cette loi. Vous laissez notamment entendre que j'aurais pu participer à une "possible omerta au sein de Saint-Thomas d'Aquin, y compris dans les décennies suivantes" et après mon "accession à la mairie oullinoise en 1997".
Je crois utile de rappeler que la publication directe d'une allégation d'un fait qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération de la personne, même si elle est faite sous forme dubitative, est susceptible d'être qualifiée de diffamation.
Sur le fond, les faits d'agressions sexuelles et de viols rapportés par un ancien élève, qui auraient été commis par un professeur du lycée lors des cours particuliers, sont incontestablement inadmissibles. Je les condamne très fermement.
Enfin, surveillant au lycée Saint-Thomas d'Aquin dans les années 80, je n'ai jamais eu connaissance de ce type de comportement. J'ai d'ailleurs découvert les faits au moment où la presse s'est fait l'écho du signalement adressé par l'actuel directeur de l'établissement au procureur de la République, le 27 mars dernier.
Dans ces conditions, je vous demande de publier ce droit de réponse, en application de l'article 13 de la loi 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse.
Dans cette attente, je vous prie de croire, Monsieur le directeur, à l'assurance de mes salutations distinguées.
Oui c'etait le pion de l'internat ; il discutait beaucoup avec eux.
Signaler RépondreUne chanson d'Alain Souchon,et si en plus y'a personne,tant d'angélus qui résonnent,terminé la récré,oui,quand sonnait la cloche,mais attention à l'humiliation publique dans la cour,avec le fésseur..le pro-fésseur qu'y en connaissait un rayon sur la technique de la féssée cul nu,s'ensuivait une honte indescriptible à porter avec soi,ainsi soit-il,euh ainsi il en était,la honte change de camp,oui,terminé la récré sans sonner la cloche.
Signaler RépondreCe n'est pas le citoyen lambda qui aurait répondu techniquement comme le fait mr buffet.Nul n'est censé ignorer la loi,j'ai en souvenir l'arrogance de fillon .f toisant Mr Poutou,et le menaçant de procés,quelques mois plus tard éclatait la pénélope gate....Nous verrons bien qui rira bien rira le dernier.
Signaler RépondreTrès classe, le courrier. Clair, net, sobre.
Signaler RépondreBuffet est sa petite carrière politique, il n'a jamais aidé le peuple et maintenant doit rendre des compte trop drôle, ça lui fait les pieds.
Signaler RépondreOn se questionne, il a sa réponse, chacun fat son opinion.
Signaler RépondreMais au moins il répond lui ! Pas comme d'autres nombreux qui font semblant de ne pas entendre...
Mais bon avec Bayrou précédemment et le doute qui y subsiste, c'était évident que les journalistes allaient regarder qui bossait dans les établissements concernés par ce type de faits des fois qu'ils trouvent d'autres politiques en place actuellement.