Ce mercredi, Jean-Philippe Pelou-Daniel, directeur régional Westfield Unibail-Rodamco (www.westfield.com/fr/france/lapartdieu), est interrogé sur le développement des centres de commerce et de loisirs Westfield La Part-Dieu et Confluence, deux mastodontes lyonnais dont les ambitions et la réalité diffèrent.
Vous êtes entrepreneur, vous souhaitez faire connaître votre activité innovante ou une actualité marquante, vous pouvez contacter Alexis Alouache sur a.alouache@lyonmag.com.
L'Eco de Lyon est à retrouver tous les mercredis à 8h sur LyonMag.com et sur la chaîne Youtube de LyonMag.
Mais à un moment donné si les commerçants étaient dans ce cas on connaîtrait les chiffres exacts du chiffres d’affaires de chacun des commerces, le nombre d́’employés, combien fait ci combien fait mi, combien font les villes de contextes équivalents sans écologistes au pouvoir etc... il a été juste pondu un truc sur un chiffre particulièrement bas qui est le taux de vacance pour dire qu’il y a un augmentation de 50% tu creuses un peu et tu te rends comptes qu’on parle de 4% à 6% ouaaah ça représente quoi en fait ? 3 magasins ? 10 salariés ? Quel types de boutiques ?
Signaler RépondrePendant ce temps là il y a des trucs quand même assez objectifs, qui sont que les fréquentations augmentent ( et c’est bien les gens avant de devoir consommer, ils doivent commencer par vivre) et là on ne parle pas de 10 salariés mais de dizaines (centaines) de milliers de personnes.
Votre vision de l’urbanisme il y a des villes qui y tendent, voitures partout double file peu de places pour les vélos et les piétons : Marseille. Allez-y !
La faune à la Part-Dieu me coupe toute envie d'y mettre les pieds.
Signaler RépondreLes chiffres sont là suivez l'information économique et commerciale lyonnaise (baisse de chiffres d'affaire, taux de vacance commerciale au plus haut, fermetures multiples...) vous êtes déconnectez de ce qui se passe à Lyon pour ne pas le savoir ? Après avec votre comparaison hors-sol avec une avenue qui n'a aucun rapport avec Lyon....cela confirme le refus de la réalité lyonnaise.
Signaler RépondreEt qui parle de râler d'ailleurs à part vous ? Constater une situation c'est râler pour vous ? Curieuse interprétation mais révélateur de votre mentalité...
Mais c’est bien connu que tous les gens aux Champs Elysées s’arrêtent à toutes les boutiques et achètent à tour de bras ! Et puis Part-Dieu c’est une telle merveille d’architecture que les gens y viennent pour ça !
Signaler RépondreA un moment donné quand on a si peu de chiffres avec soi, qu’on veut nous faire croire qu’on se bat pour les commerçants (c’est quoi déjà la proportion des commerçants au sein de la population ? Parce que bon sacrifier la qualité de vie d’une rue pour deux places de parking ou un détour de 2 minutes, ça devient lassant de nous faire croire que c’est un impératif), et quand je dis "les commercants", ce sont plutôt "des commercants", parce qu’il y en a aussi pas mal qui trouvent un nouveau public plus nombreux.
A un moment donné, râler sans argument tangible ça devient fatiguant. Pendant ce temps là vie continue.
Même tôt certaines enseignes y as méga du monde par exemple Primark
Signaler RépondreLe centre commercial de la Part-Dieu, il faut y aller le matin tôt, surtout pas le samedi surtout pas pendant les vacances scolaires et tout ira bien.
Signaler RépondreEt bon nombre de gens traversent le centre commercial, sans regarder la moindre boutique, par contre…
C'est à peu près la même chose quand les élus écolos évoquent l'affluence en Presqu'île alors que les clients à fort pouvoir d'achat s'en détournent suite aux orientations (pas ou mal concertées) des militants écolos.
Signaler RépondreSur les 30 millions de passants beaucoup transitent ou lèchent les vitrines !l
Signaler RépondreAvec la fermeture du centre ville de Lyon voulu par les écolos bobos en juin avec l’arrivée de la ZTL, les centres commerciaux se frotttent les mains. Et après Grégory Doucet et Brunon Bernard vos faire croire qu’ils sont pour le commerce de proximité et indépendant….
Signaler RépondreIls devraient avoir honte de participer à la fin du commerce de proximité au profit des grandes chaînes avec des produits fabriqués en Chine, Inde ou autres pays où les conditions de travail sont la dernière de leur préoccupation.