Et pour cause, la mairie PCF, en choisissant de lui donner le nom d'une militante du FLN qui a combattu la France et participé à commettre des attentats ayant fait des victimes civiles, a étonné voire choqué les services de l'Etat.
La préfète du Rhône a boycotté la cérémonie, bien que l'Etat a financé l'équipement polyvalent à hauteur d'1,7 million d'euros.
Et c'est désormais la ministre déléguée à la Mémoire et aux Anciens Combattants, Patricia Miralles, qui s'en mêle.
"En choisissant de donner le nom d’une militante du FLN à un centre culturel et social, la mairie communiste de Vénissieux fait un choix partisan et provocateur. Ce n’est pas un hommage ou un acte de mémoire, c’est une instrumentalisation politique", s'émeut la membre du gouvernement.
Pour rappel, c'est l'adjointe aux Droits des Femmes Sophia Brikh qui avait eu l'idée de lui donner le nom d'Annie Steiner, après avoir découvert l'histoire de cette combattante du FLN lors d'un voyage en Algérie organisé par les élus communistes de Vénissieux. Au Progrès, l'élue d'origine algérienne a expliqué voir dans Annie Steiner "le symbole d'une passerelle" entre les deux pays. Et déclarait ne pas avoir pensé une seconde que ce choix puisse être contesté en France.
"La guerre d’Algérie a laissé des blessures encore profondes. Chacun le sait : c’est un sujet sensible, qui exige responsabilité et dignité. La mémoire n’appartient pas à un camp. Elle appartient à toute la Nation. Ce que les Français attendent, ce n’est pas qu’on rallume les blessures, mais qu’on les apaise. Et la mairie de Vénissieux a pris exactement le chemin inverse", fustige encore Patricia Miralles.
sauf que ce pauvre grosse torturé par tes potes n’a jamais trahi la France
Signaler Répondre…mais pas aux yeux de là France
Signaler RépondreJean Moulin était un terroriste aux yeux de la force d'occupation.
Signaler RépondreMètre étalon du debilometre, quand tu compares une provocation crasse à un acte de pure haine antisémite et que tu profanes ce qui est sacré, ça donne ce genre de commentaire.
Signaler RépondreFinalement de toutes nos anciennes possessions, il n'y a qu'avec l'Algérie qu'il y a des problèmes..
Signaler RépondreDonc aucun avenir commun possible et chacun chez soi.
Vive le Roi 👑
Et Ilan Halimi,ce n’est pas une récupération politique, n’est ce pas ?
Signaler Répondredifficile de bâtir une relation et un avenir avec des gens qui vous haïssent.
Signaler RépondreVa dire cela aux algériens… et à leur président dont le régime est basé sur la haine de la France!
Signaler RépondreA vennisieux on va bientôt faire des commémorations pour mohamed merrat....
Signaler RépondreLa France et l’Algérie doivent avoir le courage d’assumer pleinement leur passé, afin de bâtir ensemble un avenir commun porteur d’espérance pour les générations futures et fidèle à l’Histoire
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