Ils en appellent à l’arbitrage de la commission nationale de débat public (CNDP), eu égard au montant prévisionnel (2,5 à 3 milliards d’euros) de l’investissement. Les communistes dénoncent aussi le projet de péage, reprenant le précédent du périphérique nord TEO, dont l’accès tarifé devait couvrir la totalité du coût des travaux, et qui n’en a couvert que finalement 5% à 7%. Cette perspective impliquerait également l’écrémage des personnes aux moyens les plus modestes, ce que ne se résout pas à envisager le groupe d’extrême gauche.