Ils l'exerçaient depuis dimanche et l'agression d'un des leurs dans un train de nuit. Les syndicats demandent désormais la présence de 4 contrôleurs, et non 3, sur les lignes dites "à risque" mais pour le moment la direction n'a pas donné suite à leurs revendications. Une grève, programmée avant l'agression, est prévue vendredi sur le thème de l'emploi. Les syndicats devraient en profiter pour évoquer également ces questions de sécurité.