Globalement, le prix du m² a augmenté de 5% en trois mois, pour s’établir à 4427 euros.
Quand on se concentre sur les arrondissements, on se rend compte que les prix flambent dans le 1e arrondissement (+10,7% à 4377 euros le m²), dans le 3e (+13%) et dans le 6e (+11,7%). Seuls les 2e et 8e arrondissement voient le prix de l’immobilier baisser (respectivement -2 et -0,8%).
le 1er arrondissement : peu de mixité social et du calme ? plutôt un mouvement d'investissements vers des niches fiscales type airbnb.
Signaler RépondreA quand l'encadrement des loyers, la limitation de Airbnb et consorts (voir l'exemple berlinois) qui finalement participe à la surenchère immobilière (recherche des rendements locatifs pour ceux qui ne font pas le lien entre prix d'achat et location)
Pourtant avec notre président faiseur de miracles hostile à l'immobilier car financièrement trop "immobile", je ne vois rien à l'horizon ...?
Les prix en hausse durable sont pour les quartiers les plus tranquilles, avec peu de "mixité sociale".
Signaler RépondreLa sécurité et le calme !!
On appelle ça "l'effet vélo"...
Signaler Répondreles prix de l'immobilier à la hausse et les salaires en berne. En quoi cette information est réjouissante ? Je devrai reformuler ma question pour qui cette information est réjouissante ?
Signaler RépondreLe 8eme baisse et ce n'est pas étonnant. À force de construire des immeubles poubelles comme villapolonia ou Paul Cazeneuve. En 20 ans les petites maisons ouvrières ont été rasées et les promoteurs ont fait du 8eme une cité géante.
Signaler RépondreEt comme d'habitude, les prix vont dépasser la capacité d'endettement des ménages
Signaler RépondreEt la tendance va donc se retourner et le marché se casser la gueule, jusqu'à la prochaine reprise
Détruisant par là même des entreprises et les emplois qui vont avec
Cette histoire et si prévisible et ancienne que c'en est con comme la lune
Et pourtant la solution existe et s'appelle l'encadrement des prix, seul moyen d'empêcher la cupidité naturelle et mortifère d'un marché livré à lui même
Mais non, continuons comme ça, c'est tellement mieux