La preuve avec ces tirs d'arme à feu réalisés dans la nuit de samedi à dimanche rue Gervais-Bussière dans le quartier du Tonkin, vers 1h du matin.
Sur place, les forces de l'ordre ont retrouvé des douilles mais aucun impact de balle ou de projection de sang.
Une enquête est en cours pour tenter d'identifier et retrouver l'auteur des coups de feu, voire sa cible éventuelle.
"des tirs mais pas de blessé au Tonkin": Zut!!!
Signaler RépondreSûrement le retour du justicier avec Charles bronson
Signaler RépondreMais que fait l'état ?
Signaler RépondreIls devraient aller s'entraîner en Ukraine.
Signaler RépondreBravo elle est pas mal celle là et j'ai bien ris !
Signaler RépondrePutain mais arrêtez votre propagande
Signaler RépondreA Chauffailles c'est une histoire de couple
La c'est les trafiquants de drogue
Avec ton seul neurone, essaie de réfléchir🤔
Si, ils n'ont pas de Maire écolo qui fait des pistes cyclables là bas, c'est pour ça.
Signaler RépondreJe vous trouve très beau : une ukrainienne en instance de divorce abattue en pleine rue à Chauffailles.
Signaler Répondrehttps://www.ladepeche.fr/2025/05/12/une-femme-qui-etait-en-instance-de-divorce-abattue-par-balles-en-pleine-rue-un-homme-interpelle-12690583.php
Une femme abattue dans la rue à Chauffailles hier. Mais chut faut pas le dire.
Signaler RépondreJ'ai grandis à Villeurbanne au Tonkin de 1986 à 2011 j'ai bien connu le quartier mais vous d'une information vous passez à une autre. À ce rythme là ce n'est plus un commentaire qui faut mais une vidéo assez longue. Là on parle du coup de feu au Charpennes (et non Tonkin) pas des quartiers craintif de Villeurbanne depuis des années donc rester dans l'article.
Signaler RépondreLe Tonkin .... que dire
Signaler RépondreLa France est une sorte de cancéreux chez qui les métastases se propagent et prolifèrent sur tout le territoire.
Pour soigner le cancer il faut faire une chimio-thérapie donc souvent injecter du "poison" pour "tuer" les cellules cancéreuses.
Ira t'on jusqu'à là ou le choix sera t'il plutôt un soin palliatif voir une euthanasie pour régler le problème du pays cancéreux?
Pas de blessé,tout va bien alors!
Signaler RépondreDoucet est le Maire de Lyon.
Signaler RépondreIl a fait passer une piste cyclable dans le secteur, c'est pour cela qu'il n'y a pas de mort. Bonne anticipation,.on remet ça en 2026...
Signaler RépondreOn en vient à se satisfaire que les fusillades ne fassent pas de victimes, comme si une fusillade en pleine ville était un acte banal, voire normal.
Signaler RépondreIl faudrait penser à ajouter dans le programme de la gauche des stages de citoyenneté pour apprendre à rentrer chez soi en rampant. Comme ça plus d'insécurité...
Signaler Répondreque si on court au mileu des rafales façon lapin de garenne ,,on perçoit un apaisement
Signaler RépondreBien-sûr qu'elleval'avoir pas une semaine sans des tirs a Villeurbanne a certains moment c'est tout les jours sur une semaine entière
Signaler RépondrePas de mort ! Les progrès en termes d’insécurité sont probants sur la métropole lyonnaise, je vais voter pour Doucet.
Signaler RépondreL'ironie que vous interprétez agressivement dans tous les commentaires ci-dessous, rend le votre incompréhensible.
Signaler RépondreMoi quand j'étais gamin, je ne sais pas si j'étais en sécurité, mais dans mon quartier je devais me méfier des seringues souillées à chaque pas que je faisais.
Je ne sais pas non plus pourquoi alors, à tous les coins de rue, des hommes casqués plus qu'armés stationnaient à proximité de leurs véhicules blindés, couleur vert armée...
L'époque a changé et évoluée.. qui de mieux pour l'expliquer, que la chanson d' IAM de 1997, Petit frère...
L'ironie est aussi une manière simple d'exprimer ses pensées. Difficile de comprendre votre rapport à l'Ukraine...
Mais je vous assure d'une chose quasi certaine, dès que
la guerre s'arrêtera là bas, ce sont leurs armes que vous retrouverez chez vous...
vous êtes jeune sans doutes ; dans les années 75 ,80 c'était déja la zone rue Olivier De Serres ; rue Eugène Pons ; puis après sur le quartier St Jean de l'autre coté du périf
Signaler Répondrea 500 m près , c'est si grave que ca ? le merdier se généralise a l'échelon national et vous pensez qu'habiter tel coté de telle rue vous met a l’abri ? si vous avez des enfants et que vous vous souciez de leur avenir , il est plus que temps d'essayer de secouer le fourbi et de reprendre les choses en main en tant que citoyen électeur contribuable ; non ?
Signaler RépondreEt alors ?
Signaler RépondreÇa fait 20ans que c'est le bordel à Villeurbanne, il n'y a pas besoin d'être "taré" pour pouvoir l'affirmer !
Aucun rapport avec l'Ukraine non plus..
Un petit medic vous ferait sûrement du bien.
Évidemment c'est devenu la routine... Il y a 10ans, il n'y avait 60 flics a Villeurbanne. Qu'en attendre ?
Le samedi soir, il fallait attendre 15min pour avoir qqun au téléphone..
C'est à cause de taré comme toi que la France s'enfonce. Tout tir, même si il touche personne, est grave. J'ai grandi au Tonkin et toute cette insécurité n'existait pas quand j'étais gamin mais là les faits se sont passées au Charpennes et non au Tonkin comme il le dit dans l'article. Il faut arrêter de normalisé des fait graves. Sinon partez de la France et aller en Ukraine apporter votre aide.
Signaler RépondreRue Gervais Buissière c'est les Charpennes et non le Tonkin.
Signaler RépondreS'il n'y a pas de sang, pas de victime, pourquoi ouvrir une enquête...il n'y aura aucun témoin,aucune dénonciation... C'est juste un gars lambda qui teste le fonctionnement de son arme. Il y a déjà assez à faire avec les couteaux et les rodéos, à mon avis pour s'attarder sur un tir sans impact...
Signaler RépondreSi cette année Villeurbanne n'a pas le titre ??
Signaler RépondreC'est juste un sentiment d'insécurité provoqué par des supporters anglais...
Signaler RépondreUne journée quotidienne dans la métropole apaisée
Signaler RépondreEt en plus, il n’y a pas eu de rodéos
Signaler RépondreLe maire de Villeurbanne ne fait rien. C'est un piolle numéro 2.
Signaler Répondrepas de victimes ; nous voila tout a fait rassurés ...
Signaler RépondreBof, comme tous les jours à Villeurbanne, c'est devenu la norme...
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