Il semblerait que la polémique autour de l’Université Lyon 2 ne soit pas encore éteinte.
Dans le nouveau numéro du Journal du Dimanche, paru le 25 mai, une centaine de sénateurs avaient signé une lettre ouverte pour s’offusquer des dérives idéologiques de la faculté et du manque de réaction de la part de la direction vis-à-vis du maître de conférences en géographies, Fabrice Balanche, victime d’une intrusion en plein cours par des militants pro-palestiniens.
Suite à cela, les réactions se sont enchaînées, comme celle du groupe politique La Métro Positive, présidé par le maire LR de Saint-Priest Gilles Gascon.
La direction de Lyon 2 une nouvelle fois visée
"C’est une faute professionnelle et personnelle qui doit interroger l’Université Lyon 2 sur la légitimité de sa présidente à poursuivre ses fonctions. C’est aussi la révélation au grand public que ces militants du terrorisme bénéficient d’une complicité idéologique de la part de responsables administratifs et de membres de la classe politique", peut-on lire dans le communiqué du groupe publié ce lundi.
Cette missive, qui n’hésite pas à apporter un soutien de poids envers Fabrice Balanche, vise à réclamer à Lyon 2 d’apporter également "un soutien sans faille" et d’assurer "sa liberté académique et sa sécurité pour poursuivre ses enseignements". Elle demande également à Bruno Bernard, président de la Métropole de Lyon, "d’exiger de l’Université Lyon 2 les garanties du respect du principe de laïcité et de lutte contre l’islamisme politique et d’en informer le conseil de la Métropole".
L’objectif est clair : continuer la pression exercée sur la présidence de la faculté.
Si vous êtes "non partisan" vous devriez examiner le dossier dans les deux sens, pas à charge dans une seule direction comme dans les procès de Prague (où dans ceux aux USA à l'époque de la chasse aux communistes). Si dans le cadre des cours les propos que vous signalez avaient été réellement prononcés, il est plus que probable que certains étudiants les auraient enregistrés et immédiatement mis sur les réseaux sociaux. Là vous dites plutôt "le cousin de l'ami de ma voisine a entendu chez le coiffeur dire que...."
Signaler RépondreComme d'habitude Macron et son ministre laissent faire. Destitution de la direction de la fac et dehors tous ces étudiants qui ne font que de l'anarchie
Signaler RépondreBravo , tout mon soutien à Fabrice Balanche contre ces islamos gauchistes qui doivent êtres sévèrement sanctionnés, l'université n'est pas un lieu de culte mais un lieu d'apprentissage et de savoir, ceux qui soutiennent ces islamistes politiques n'ont rien à faire en France.
Signaler RépondreA condition d'être du bon côté du bâton
Signaler RépondreComme en Chine par exemple
Blablabla votre démocratie est une farce et la république plus personne n'en veut !
Signaler RépondreAberrant de lire autant de bêtises, que ce soit dans l'article ou en commentaires.
Signaler RépondreVoilà la réalité, de la part d'un étudiant lyonnais non partisan : ce professeur, Fabrice Balanche, a régulièrement tenu, en cours et ailleurs, des propos soutenant l'action d'Israël à Gaza, notamment les bombardements intensifs et le déplacement de la population.
L'intrusion n'avait aucun rapport avec la question de la rupture du jeûne, mais bien avec les propos du professeur. Que l'on soit musulman, chrétien, ou peu importe, je pense qu'il convient de s'indigner quand un professeur des universités soutient de telles violences. Ce n'est absolument pas une question d'islamisme : la même indignation aurait eu sa place si il avait soutenu l'action russe en Ukraine.
Aux "journalistes" qui crient à l'islamisme sans faire le minimum de leur travail d'enquête, vous devriez avoir honte de vous.
Après il ne faut pas se leurrer les mondes universitaire est complètement pourri jusqu'à l'os.
Signaler RépondreMais bon pour une fois sa réagit pas.
La politique non plus.
Signaler RépondreTrès bien résumé.
Signaler RépondreLa démocratie, je ne sais pas ce que cela signifie.
Ce que je sais, c'est que pratiquement.
Chaque jour, ses politiciens élaborent des lois pour nous dérober nos libertés individuelles.
Les élus de la majorité écolo se sentent peut-être plus proches des fauteurs de troubles que de Fabrice Balanche ? D'où leur absence du moindre soutien pour l'enseignant de Lyon 2 qui a été pris à partie par des activistes haineux ?
Signaler RépondreLa Démocratie ? Quelle démocratie ? Celle qui confisque les libertés aux français depuis des décennies ? Celle qui s’autorise les augmentations de salaires 300€ pour les députés l’année dernière encore et 700 pour les sénateurs…. Qui au bout d’un mandat leur ouvre un droit à la retraite de plus de 2000€ net mois et pour les plus anciens ils dépassent tous les 13600€ mois … après ils donnent des leçons aux français pour les faire culpabiliser, ils sont écœurant et dans tous les partis politiques
Signaler RépondreUn monde Universitaire qui est pourri jusqu'à l'os
Signaler RépondreFavoritisme, cooptation, idéologie
quand vous lisez certains articles ou on vous vend une réflexion "d'universitaire" merci d'avoir un esprit critique car cela fait longtemps que "l'universitaire" n'est plus une référence.
La "Liberté Académique" n'a jamais réellement existée c'est juste une paravent pour maquiller des pratiques qui sont parfois assez mafieuses.
Combien d'étudiants brillants se sont cassés les dents face à ce système mafieux .... j'en connais
Nos idéologues universitaires se font un "cour" et favorisent leurs petits "poulains" dévoués au Maitre. A une époque ancienne on parlait des "Mandarins" surtout pour les études de médecine.
Si vous prenez les fac littéraires, d'affaires sociales, de psycho vous rentrez dans un monde parallèle ou seul compte certaines idéologies.
A force de se coopter entre eux ils se sont extrêmisés et on abouti à une pensée batardisée qui n'accepte pas les débats critiques (ce qui est pourtant la base de l'enseignement universitaire).
On oublie aussi souvent que ce "petit monde" universitaire de gauche a longtemps été la pépinière des partis politiques PS etc etc
Allez voir aussi le nombre d'intervention de membre de LFI dans les amphis depuis quelques années sans que les Présidences ne disent rien .... et ne pas oublier non plus que Mme Sandrine Rousseau est elle même vice présidente de l'université de Lille
Pour une fois je serais plutôt d'accord avec eux, la religion n'a rien à faire dans une université.
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