Après les procès en wokisme et en islamogauchisme résultant de l'épisode lié à Fabrice Balanche, viré de son propre cours par des étudiants, voilà qu'une crise budgétaire inédite frappe l'institution.
Ce jeudi, lors d'une conférence de presse, l'Université a présenté le plan de retour à l'équilibre financier d'ici 2028 adopté le 17 octobre dernier. Un document jugé indispensable pour préserver son autonomie et éviter une mise sous tutelle de l’État.
Car depuis 2018, Lyon 2 accuse un déséquilibre structurel estimé à près de 19 millions d’euros, principalement dû à la hausse continue de la masse salariale, des charges énergétiques et au manque de compensation financière de l’État. L’université, dont 85% du budget repose sur la dotation publique, a vu ses marges de manœuvre se réduire drastiquement.
"Nous ne sommes pas face à une crise de gestion, mais à une crise de financement", a tenu à préciser Isabelle von Bueltzingsloewen, la présidente de l’université.
Le plan voté prévoit une réduction progressive des dépenses : gel de certains recrutements, optimisation de la masse salariale et rationalisation du patrimoine immobilier. En parallèle, l’établissement mise sur la diversification de ses ressources, via la formation continue, la recherche partenariale et le mécénat.
Malgré ces efforts, la direction reconnaît que ce plan ne constitue qu’une solution transitoire. Le déficit structurel reste étroitement lié à des facteurs extérieurs comme la hausse des coûts de l’énergie, l'inflation ou la compensation salariale insuffisante sur lesquels l’établissement n’a qu’un contrôle limité.
Des projets maintenus, mais sous tension
Dans ce contexte, l’université a fait le choix de préserver les projets prioritaires, notamment sur le campus Porte des Alpes à Bron. Le chantier de La Ruche, futur bâtiment central de 11 000 m2 mêlant bibliothèque, espaces de recherche et services étudiants, se poursuit. Mais d’autres opérations immobilières pourraient être étalées ou reconfigurées pour limiter l’impact budgétaire.
L’établissement assure vouloir éviter toute mesure brutale affectant les conditions d’étude. "Notre responsabilité est de concilier rigueur et équité, sans compromettre la mission de service public de l’université", insiste la présidente.
Dans les prochains mois, le ministère de l’Enseignement supérieur devra examiner le plan de redressement et ses impacts concrets. En attendant, Lyon 2 entend poursuivre sa transformation "avec lucidité et détermination", tout en défendant une vision ouverte et solidaire de l’université publique.
BTS et IUT forment des etudiants competents ,motives qui ont une culture technique ,pragmatique,,la capacite et la volonte de mettre les mains dans le cambouis ou a la pate ..loin des theories ronflantes marxisantes,abstraites ,vaines et etherees de certaines universites perdues pour la republique
Signaler Répondreles BTS
Signaler RépondreL' Université généraliste est devenue une fabrique à chômeur. Il faut spécialiser les formations en fonction des besoins réels des employeurs et du monde du travail. Les IUT sont la voie à suivre.
Signaler RépondreL’éducation de la basse classe .
Signaler Répondrepetit entrepreneur ,j ai connu la methode :et c est bien ce present et dernier etablissement à qui j aurais souhaité qu on la paie...
Signaler RépondreJe pense qu'il faudrait voir du côté du Milli Gorus, du Qatar et de la DZ Mafia pour financer cette fac. Les orientations de Lyon 2 séduiront assurément ses investisseurs.
Signaler RépondreUn sponsor par Casto et Leroy Merlin pourraient être utile vu la quantité de matériaux nécessaires pour réparer la fac après chaque manif
Le tram T8 reliera Vénissieux à Lyon 2.
Signaler RépondreD'après l'Insee, 52% des 15/64 ans à Vénissieux ne sont ni étudiants, ni en formation, ni employés. Un des plus forts taux d'inactivité de France.
Ce sera donc souvoureux que ce vivier de larves venissian soit connecté à l'usine à chômeurs régionale.
Les 2 entités ayant par ailleurs un amour inconditionnel pour la drogue, l'islam et Gaza, et une haine éternel de la France.
Les facs sont des pompes à frics pour militants de gauche et d'extrême gauche.
Signaler RépondreEn plus si vous rajoutez la fameuse "cooptation" vous savez quelle est l'idéologie dominante des enseignants.
Les financements de recherche sont orientés.
Les classements pour bourses de thèse sont passablement "arrangés "
Notre président fait venir des USA les chercheurs virés car ideologues
Notre ministre des affaires étrangères fait un discours à Havard anti-Trump alors que les facs françaises sont relativement médiocres
Etc
Etc
Faut tout supprimer pour tout refaire sur des bases saines.
Je parlerais pas de nos politiques lyonnais de gauche tous anciens de Lyon II voir pire de sciences Po Grenoble
Les facs de "sciences dures" sont tout aussi infiltrée que celles de sciences humaines
Signaler Répondreje me pose exactement la meme question:pour sponsoriser un machin-truc pareil,faut vraiment etre motivé ou avoir des oeilleres
Signaler Répondrepas plus ou pas moins efficace que Lyon 1........
Signaler RépondreTout le fric mis dedans et c'est pas assez encore?
Signaler RépondreIl faudrait supprimer le ministre de l'éducation nationale, un coup de tronçonneuse dans ces administrations comme Argentine serait le bienvenu!
"L'établissement mise sur la diversification de ses ressources, via la formation continue, la recherche partenariale et le mécénat."
Signaler RépondrePartenariat?
Mécénat?
Mais quel privé va vouloir jeter son argent dans de tonneaux de Danaïdes qui va lui cracher dessus ?
vous avez raison:sept ans de droit et tout le reste de javers...heu..de travers
Signaler RépondreQuel champ de ruines, les islamogauchistes jubilent sur cette université déconstruite.
Signaler RépondreQuand je pense que des jeunes des petites villes sont fiers d'être pris après le bac...
S'ils savaient...
Et pour les débouchés, la filière sature...toutes les places sont déjà prise chez LFI...
Normal quand on ne produit que des formations inutiles à la communauté avec des étudiants recalés partout ailleurs
Signaler RépondreCela pourrait se régler si en 2027 si la bonne personne est élue.
Signaler RépondreIl faut une "rupture" car il faut réformer totalement l'Enseignement Supérieur
Remettre continuellement de l'argent dans un système qui est un seau percé ne sert à rien.
C'est "pourri" tout le monde le sait, des milliers de personne "vivent grassement sur la bête" .
On ne parlera pas que de la "gestion financière" et des "crédits de recherche orientés". Je ne vois pas spécialement de différence avec un système de "famille mafieuse".
y confessent qu y sont fauchés...et que nicolas va ENCORE renflouer ce terrier à militants gauchistes tapageurs...
Signaler RépondreLes fonctionnaires comme les politiques...tous totalement irresponsables.
Signaler RépondreApprends a louper ta vie
Signaler RépondreÉtudie a Lyon 2
Sauf que les universités de SHS (Sciences Humaines et Sociales) comme Lyon 2 produisent surtout .... des chomeurs.
Signaler RépondreLe salaire moyen des diplômés de cette "université" est ridiculement bas...
Signaler Répondre18 mois après avoir obtenu leurs diplômes, les 80 pourcents qui ont trouvé un travail gagnent 1900 euros net par mois (salaire médian). Essentiellement des emplois précaires, à 40 pourcent dans le secteur public.
C'est à peine au dessus du SMIC...
la majorité est au rsa, au chômage ou… encore étudiante…
Signaler RépondreIls sont tout juste bons à devenir syndicalistes CGT.
Signaler RépondreLes fast food, les supermarchés et les entrepôts Amazon sont pleins de diplômées de cette université. Hahahaha !
Aussi étonné que vous qu'elle soit encore à la tête de cette université en pleine déroute. Elle se défend d'être responsable de la situation, mais ses arguments sonnent faux. Elle est bien la cause principale de cette situation et ne pourra que regretter demain le désamour des recruteurs pour ses anciens étudiants.
Signaler RépondreY a qu’à faire un crowfunding auprès de tous les étudiants passés par cette université, vu le nombre, présents ou pas ,ce sera très vite remboursé.
Signaler RépondreIl faut faire appel aux anciens élèves, au sponsoring diffus, obtenir un financement de la ville de Lyon ou de Villeurbanne, vendre des départements au Qatar, réduire la voilure...
Signaler RépondreComme si la gestion et le financement n’étaient pas liés????
Signaler RépondreEffectivement ce ne sont pas des as de l’Èconnomie avec un grand É!
On comprend mieux que les étudiants qui sortent de cette fac soient des éternels assistés…..
Moi aussi mes dettes ce n’est un problème de dépense, c’est un manque de rentrée d’argent.
Signaler RépondreCes gens racontent n’importent quoi.
Elle est pourtant incapable de défendre ses enseignants sauvagement agressés dans d'exercice de leurs missions, ni de gérer correctement son établissement.
Signaler Répondreet en plus mauvais gestionnaires… c’est de la faute de…, de…,de…
Signaler RépondreFac de me... avec une idéologie de me... qui produit que de la me...
Signaler RépondreA part l'Iran, je vois pas quel mécène pourrait mettre des sous là dedans !
Signaler RépondreIl faudrait déjà qu'ils se mettent à bosser au lieu d'organiser des sittings dans les amphis et des manifs toutes les semaines...
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