Quelques jours après la réunion de crise face aux attaques médiatiques, l’Université Lyon 2 n’en finit pas de faire parler d’elle. L’établissement, notamment accusé de dérives islamo-gauchistes, peut compter sur le soutien du syndicat FSU.
"L’université Lyon-II tente de rétablir les faits et de défendre sa réputation ainsi que celle des 2 000 membres du personnel qui y travaillent, mais elle peine à se faire entendre face à cette offensive médiatique et politique. Ne nous y trompons pas : cette situation dépasse largement le cadre de Lyon-II", est-il écrit dans le communiqué.
« Les universités sont confrontées à de fortes pressions politiques et médiatiques »
Pour rappel, le 1er avril, le maître de conférences en géographie, Fabrice Balanche, avait dû interrompre son cours suite à l’intrusion de militants pro-palestiniens. Dans la foulée, le vice-président du campus de Bron, Willy Beauvallet-Haddad avait été contraint de quitter son poste pour son hommage à l’ancien chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah.
Mais pour le syndicat FSU, la polémique n’est que le fruit de la "trumpisation" des médias et de la politique française. "(Cela) rappelle ce qu’il se passe outre-Atlantique, où les universités sont confrontées à de fortes pressions politiques et médiatiques. Des menaces qu’il ne faut pas prendre à la légère", conclut le FSU dans sa missive.
À noter que nous n’avons pas fini d’entendre parler de cette université, puisque France 2 prépare en ce moment-même un Complément d’Enquête sur la crise qui la concerne, avec l'interview enregistrée de la présidente de Lyon 2.
C'est vraiment une tannée cette université...
Signaler RépondreChaque fois que je donne une place,
Signaler Répondreje fais cent mécontents,
et un ingrat.
(Louis XIV)
3 facs à Lyon
Signaler RépondreLyon II c'est une "cause perdue"
Lyon III anciennement la "fac de droite" est actuellement en passe de tomber dans les même dérives que Lyon II
et la scientifique Lyon I. Je vais vous enlever vos espoirs, les dérives sont toutes aussi importantes dans les "sciences dures" . Lyon I est depuis longtemps une fac de gauche.
J'écoutais la problématique des JO sur la boxeuse donc le caryotype est XY et inscrite en compétition féminine. Je m'excuse on a des "scientifiques" qui renient la génétique (plus que centenaire) car voyiez vous le sujet du "Genre" est bien rentré dans le monde scientifique. Sur Toulouse un MCU de mathématiques en amphi a bien fait une tirade sur la situation à Gaza .... etc etc etc
Les Universités sont devenues des "Etables d'Augias"
Et si je ne me suis pas fait comprendre il n'y a pas de "Liberté Académique" cela n'existe pas !!!
La Meute s'indigne. Encore une preuve de la débilité de ces gens.
Signaler RépondreEtant de ce monde là je peux vous répondre en toute sûreté. Je ne compte plus le nombre de "concours" bidonnés où soit un candidat local est mis en avant par ceux-là même qui font partie du comité de sélection, soit un candidat est recruté à un poste de maître de conf en raison de ses vues politiques. Cela est surtout vrai pour les sciences "molles", où le nombre de membres de la discipline est si restreint que ce sont presque toujours les mêmes qui participent à ces comités de sélection. On a donc une préemption par des gens (dont on connaît bien l'idéologie mondialiste et l'horreur de leur pensée) du système de sélection de ceux qui viennent contribuer à "l'avancée" de la discipline. Je mets des guillemets car en choisissant les candidats par copinage et/ou vues politiques communes, on en arrive à recruter des imbéciles comme je peux les voir beaucoup trop souvent à mon goût. Incapables de faire un travail sérieux par eux-même, ils pillent le travail de ceux qui ne sont pas titulaires en jouant sur leur main-mise sur la sélection à l'embauche.
Signaler RépondreCe sont ensuite, ces gens-là que l'on retrouve a pondre des articles faisant fi de la réalité, soit en socio, soit en éduc, soit en psy, etc... mettez à peu près toute "science" humaine là dedans. Les mêmes aussi que l'on retrouve ensuite invités sur les plateaux TV à expliquer que les étrangers qui foutent le bordel dans le pays, ce n'est pas leur faute mais celle des "fachos" qui n'acceptent pas que l'on donne les clés du pays à des sauvages.
Je pourrais aussi parler du côté sciences "dures" où cette idéologie et manière de faire commence doucement à prendre place.
On a donc là un joyeux petit monde pourri d'entre-soi qui se maintient par "liberté académique" et cooptation.
Ajoutez à cela maintenant une horde d'étudiants, en perte de repères et à l'altérité maladive qui, pilotés par le mondialisme teinté de frérisme dans ce pays, viennent terroriser tout ceux qui ne pensent pas, à la ligne près, comme eux.
Voilà, vous avez Lyon 2 et quasiment toute autre fac de sciences humaines. Il serait temps de nettoyer tout cela.
J'oubliais un point qui personnellement m'a bien fait rire
Signaler RépondreQuand j'ai lu l'interview de cette présidente elle a attaqué donc cet enseignant sur des supposées prises de position sur le conflit palestinien (ce qui est faux apparemment mais vu que l'enseignant est un "expert" de cette zone géographique il a le droit d'y réfléchir).
Ma question: un universitaire n'a t'il pas le droit de réfléchir au conflit ?
Donc cette présidence s'est attaquée à la "Liberté Académique" .... comme tout les pétitionnaires en l'occurence.
Il y a des "sujets tabous" totalement interdit dans la recherche. Par exemple l'Université gangrénée par le décolonialisme et l'indigénisme ne financera jamais les recherches les mécaniques de l'esclavagisme car les gens seraient assez surpris. Idem il y a un "esclavagisme moderne" toujours à l'oeuvre dans certains pays mais on n'en parle pas .
La "Liberté Académique" n'existe pas !! (cela fait un peu "Gott ist tot" de Friedrich Nietzsche).
Lisez un article du "Point" aussi sur l'utilisation des frais d'inscription payés par les étudiants (il y a une petite code part sur des aides sociales). Ses fonds utilisés à la discrétion des présidences et qui ne vont pas dans l'aide des étudiants précaires mais pour préparer les élections car les syndicats étudiants ont un poids dans l'élection de la présidence.
Moi je ne suis pas d'un camp ou d'un autre mais j'ai horreur des "biais" cela m'énerve. Il faut avoir une pensée structurée, éviter de se contredire et altérer l'Histoire. Mais de nos jours on a surtout de la logorrhée intellectuelle
Yves Lequin a implicitement admis la chose : « J’estime dans cette affaire avoir été trompé, mais être trompé est aussi se tromper soi-même, sur un champ où la vigilance aurait sans doute dû être plus forte, d’autant plus que je suis moi-même engagé, comme citoyen, dans la défense de la vérité sur le Génocide. Conscient d’avoir permis, il y a huit ans, à un négationniste d’obtenir un diplôme universitaire, j’ai décidé de démissionner de la direction du DEA d’histoire moderne et contemporaine, en donnant à ce départ le sens symbolique d’un appel à la vigilance accrue ». Cf. Henri Rousso, commission sur le racisme et négationnisme (2004).
Signaler RépondreLes membres du jury désignés par Y. Lequin, Gilbert Garrier, et Geoffrey Crossick qui avaient validé le DEA, tentèrent des justifications déshonorantes, soutenus par le président Bruno Gelas qui décréta la validité du mémoire affirmant qu'il n'était pas révisionniste...
je me souviens de ma frangine qui ramenait des potes en 68 avec le petit livre rouge de mao....j avais 14 ans à l epoque et je les trouvais dejà bien "felés"...
Signaler RépondrePour être un élu "universitaire". Je reprendrais les mots de ma vieille prof en début de 3ème cycle (mais aussi de tous les intervenants lors des réunions étudiantes). Vos travaux ne sont que secondaires, ce qui compte est de distribuer vos "cartes de visite".
Signaler RépondreL'Université a toujours été (cela ne date pas que de maintenant) un système de "cooptation" .
Etudiant thésard: déjà essayer de tomber dans un labo avec un directeur "influent" (influent ne veut pas dire compétent). Certes faites un peu vos recherches mais allez un maximum dans les congrès et séminaires avec pour but unique de tisser les liens avec les "pontes".
A une vieille époque on parlait des "Mandarins" mais ils existent toujours sauf que maintenant en plus d'être des petits autocrates ils sont en plus incompétents (faudrait parler de la perte de niveau car cela ne touche pas que le primaire, collègue, lycée)
Après un peu d'HONNETETE et arrêter de raconter des histoires aux étudiants:
- distribution des bourses de thèse au sortir d'un master approfondi (ancien DEA): bidouillé
- nomination des MCU: bidouillé
- avancement des enseignants: bidouillé
- certains concours de la fonction publics dans certains instituts: bidouillé (j'en parlais dernièrement car un jeune voulait passer un certain concours ... et de mémoire ce concours très sélectif a toujours eu ses postes "fléchés" donc cela ne sert à rien dans les faits de le passer ....)
Mais comme je disais dans mon intervention c'est surtout le terme "Liberté Académique" qui énerve tout le monde !!! IL N Y A PAS de "LIBERTE ACADEMIQUE" cela n'existe pas juste pas le fait de la distribution des fonds de recherche !!!
Une idéologie malsaine et assez totalitaire se cache depuis plusieurs années (voir décennies) derrière ses termes "Liberté Académique" "Etat de Droit" "Transition Ecologique" "Inclusivité" etc etc etc mais dans les faits cela fait longtemps que cette "idéologie" a totalement piétiné ce qui faisait les fondamentaux de ses concepts honorables ... de concepts assez humanistes et démocratiques ils sont devenus les armes d'une idéologie totalitaire.
Je vous rassure aussi cette logique totalitaire existait aussi avant. On a eu des Universitaires pro-Staline, pour les Khmers rouges aux Cambodge, groupies de Mao etc etc je crois même que la France a été durant ses périodes exportatrice d'intellectuels vers ses pays car certains ont participé activement à ses régimes (faudrait relire du Sartre, du Beauvoir etc etc).
Il faut être un gauchiasse et un dhimmi woke. Un candidat avec des idées nationalistes et de droite ne passe jamais l'hdr. L'université française est une vaste blague et un danger islamogachiasse à combattre.
Signaler RépondreNe pas faire confiance aux outils modernes : les bancs de la fac
Signaler RépondreOn a juste fréquenté les bandes de la fac
Signaler RépondreIl semble que les choses n'ont pas changées
Le profs gauchos voudraient que l'on ne dénonce pas l'islamisation de l'université, la propagande gauchiste, l'infiltration par des intégristes et des voilées, leurs mensonges et la désinformations qui durent depuis 30 ans ?
Signaler RépondreEt bien non !
C'est fini !
On ne se taira plus.
Ces enseignants sont tellement aveuglés par leur idéologie islamogauchiste qu’ils ne voient pas le désastre des universités françaises!
Signaler RépondrePuisque vous connaissez le système universitaire de l'intérieur, vous ne pouvez en aucun cas ignorer que, pour être revêtu de la qualité de professeur des universités, il faut d'abord posséder le diplôme national d'habilitation à diriger les recherches, qui nécessite un énorme travail, puis être qualifié par le conseil national des universités, formé d'une quarantaine de membres élus, de toutes les universités françaises et de toutes les tendances. Sans cet aval, il est impossible de postuler. Ensuite, il faut qu'un poste correspondant au profil scientifique du candidat soit ouvert. Il faut alors passer devant un comité de sélection composé en grande partie de scientifiques extérieurs à l'université, au besoin étrangers. L'heureux gagnant est ensuite nommé par le président de la République.
Signaler RépondreSi cela ne constitue pas une légitimité suffisante, que préconisez-vous ?
La mémoire d'Yves Lequin ne saurait être souillée de la sorte. Ce grand enseignant avait une totale aversion pour les régimes autoritaires du passé comme du présent et, surtout, envers l'antisémitisme.. Les imputations qui lui ont été faites étaient absurdes et révoltantes. Elles n'ont pu avoir d'écho que parce qu'elles servaient, en toute hypocrisie et en toute impunité, les menées de personnages en quête de cause et, naturellement, les frustrés qui avaient quelque compte à régler. Que cette histoire eût été une grossière manipulation, nul n'en était dupe, pas plus qu'on ne peut l'invoquer aujourd'hui en toute innocence.
Signaler Répondre"Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose" (Francis Bacon).
Borne est un pur produit du système administratif, aucune pensée personnelle, ramassis de phrases creuses qui ne sont qu agglomération d éléments de langage destinés à faire taire la contradiction, œil complètement atone et intérêt du personnage a peu prêt inexistant mais qui fera justement une grande carrière dans tous les rouages de l état
Signaler RépondreAh oui le PSE... le Plan de Sauvegarde de l'Emploi.. quand on veut virer des gens on dit qu'on sauvegarde des emplois.. quel talent.
Signaler RépondreEffectivement, le syndicalisme est devenu une vaste arnaque.
Le nombre de syndiqués est ridiculement faible, les syndicats ne sont pas représentatifs.
Les places sont bonnes, il y a des privilèges. De l'entre-soi, ça magouille sec, l'argent vient de Bruxelles... zéro victoire syndicale depuis euh... oula...
Dans ma boite, cent personnes, quatre syndiqués. Et une déléguée qui bosse un jour de moins que les autres et qui a son mot à dire.
L'astuce est là : se syndiquer est un droit, on en fait un sacro-saint droit. De sorte que toute entreprise d'une certaine taille doit légalement y faire place... même si ses employés ne sont pas syndiqués.. 10% des travailleurs en France le sont, à peu près, plus en fonction publique (genre 15%, guère mieux) que dans le privé, et selon certains secteurs.. mais en gros 10%.
Un vote a lieu, il est garanti par le droit du travail.. et donne droit à une représentation.. même si les employés n'en demandent pas, ou ne votent pas. Et voilà comment des gens vous représentent, parfois sans même que vous ne le sachiez. Et ils sont considérés représentatifs, du moins par les chefs, et puisqu'un vote démocratique à eu lieu l'abstention à tort, même si elle n'est pas syndiquée.
Et en fait, votre délégué syndical vous craint plus qu'il ne craint votre patron.
Borne jamais capable de répondre à une question. Toujours ni pour ,ni contre, bien au contraire. Hier le summum de la non réponse, " nous allons prendre le temps de réfléchir et de nous poser les bonnes questions " ça fait 40 ans que ça dure ,mais il faut encore réfléchir alors que tout le monde voit que ça pète de partout
Signaler Répondrela vérité est difficile à supporter.
Signaler RépondreLeur seul logiciel c est le danger c est l extrême droite
Signaler RépondreTout est dit.
Signaler RépondreVoila la réponse des politiques!
Signaler RépondreSurveillante tuée : Élisabeth Borne demande une minute de silence dans tous les établissements scolaires jeudi midi
Le pire est a venir avec votre politique de merde
L YON 2 bashing.
Signaler Répondreles universités sont confrontées au frères islamistes plutôt !
Signaler Répondreles pseudo mouvements pro palestin montrent le laxisme des universités on la vu récemment à Toulouse aussi ..
Que font nos politiques ? Sont ils corrompus eux aussi ?
Pas étonnant que Fabrice Balanche n'ait pas eu de soutien de la plupart de ses collègues, des collègues qui ne s'indignent pas de l'entrisme islamo-politique mais qui s'indignent de ceux qui le pointe ou le dénoncent, comme dit la présidente de Lyon 2 le " ministère obnubilé par l'affaire Samuel Paty" : indigne en effet.
Signaler RépondreOn aime pas trop la critique chez les gauchistes, même si eux ne s’appliquent aucune limite. Pour eux la liberté d’expression est un droit qui s’applique surtout quand c’est dans leur sens, et ils veulent interdire tous ceux qui sont pas d’accord avec leurs idées comme cnews. Ils se placent en victimes comme les islamistes qu’ils défendent.
Signaler RépondreC'est cohérent, une preuve de plus que lyon 2 est bien un bastion de islamogauchisme.....
Signaler Répondrequ il est doux de ne rien vouloir voir et de rester aveugle. qu il est doux de rejeter les fautes sur les autres. certaines fac sont devenues des repères de gauchistes agressifs, haineux et racistes. un gauchiste ne peux pas le voir puisqu'il fait parti du clan du bien celui qui tient la vérité, cette vérité qui rend aveugle
Signaler RépondreTiens un article dans un papier qui titre que 500 universitaires mettent en avant la protection de la "Liberté Académique"
Signaler RépondreMais il n'y a pas de "Liberté Académique" c'est le "cache sexe" de l'idéologie dominante dans le monde universitaire.
Un peu lassé d'entendre à longueur de journée les phrases bateaux vide de sens: "Liberté Académique" "Etat de Droit" "Inclusivité" "Transition Ecologique" etc etc autant de mots qu'on sort pour tenter de faire taire les personnes qui ouvrent les yeux sur le pourrissement du système actuel.
Ses universitaires sont tous des "cooptés" ils n'ont aucune légitimité surtout quand on connait le système universitaire de l'intérieur. Parfois ils ont même été des étudiants assez médiocres.
"Liberté Académique" quelle vaste blague. Par exemple si vous êtes un "historien universitaire" vous aurez les fonds si vous êtes un "historien décolonial" par contre si vous êtes un "historien médiéviste" ou un "historien de la chrétienté" vous n'aurez rien. Il n'y a donc pas de "Liberté Académique" c'est un fait. Ceux qui se cachent derrière ce terme sont souvent ceux qui ont accéléré le pourrissement du monde universitaire.
Quelle réputation à défendre?
Signaler RépondreCe n'est pas comme si Robert Faurisson avait enseigné à Lyon 2, et ce n'est pas comme si l'université LUMIÈRE avait discrètement gommé les prénoms des deux frères admirateurs de Benito Mussolini ? Ce n'est pas comme si Yves LEQUIN, professeur à Lyon 2 avait délivré un DEA d'histoire contemporaine à J. Plantin, pour son travail révisionniste sur « les épidémies de typhus exhanthématique dans les camps de concentration ? Ce n'est pas comme si Bruno GELAS ex-président de Lyon 2 avait refusé de reconnaître les thèses révisionnistes du DEA de J. Plantin, et de nier les dysfonctionnements de l'université (cf. Libération du 02/10/2000..) ? Ce n'est pas comme si l'actuelle présidente était incapable de contrer l'islamo gauchisme gentiment entretenu pas le FSU, qui reprenant des thèses staliniennes de communication, rejette ses propres fautes sur la diffusion médiatique ?
Signaler Répondreà l image de leur conviction !!
Signaler Répondrela victimisation !!!
Qui sème le vent récolte la tempête !
Signaler RépondreIl n'y a que les boeufs qui ne comprennent pas.
Quand on va trop loin il faut arrêter de se plaindre que l'on ramasse derrière...
Signaler Répondre"trumpisation" des médias et de la politique française ? On en est loin heureusement, par contre l'islamo-gauchisme on en est très proche dans cette école.
C'est vrai qu'il ne faut pas mettre tout le personnel dans le même bateau (comme Rima et Greta...), mais c'est l'image qui transpire de cette université.
Je vous conseille de regarder de près le positionnement des syndicats actuellement .........
Signaler RépondreSi vous pensiez ne plus rien attendre des "partis politiques" les dérives clientélistes et idéologiques sont beaucoup plus rapides dans le monde syndical. On voit dans certaines boites des pseudo syndicats mais basés sur du communautarisme.
Il faut être clair pour être syndiquer il suffit de s'inscrire sur un site internet il n'y a pas d'enquête de "probité" et donc on se retrouve avec des syndiqués élus qui négocient leur vote au CSE avec les directions pour quelques avantages.
Les directions ont très bien compris le système ce qui leur permet par exemple dans certains cas de faire des allègements de personnel sans passé par des PSE plus coûteux.
Totale dérive de ce monde syndical qui ne veut plus rien dire .... Et c'est un syndiqué qui le dit car je le vois de l'intérieur.
vous l avez entendu sur cnews ? Bardella l a dit ? vous avez des éléments pour affirmer cela ? sinon...
Signaler RépondreCes gens vivent vraiment dans une bulle idéologique. ils sont hors sol !
Signaler RépondreLa FSU, qui gère l'Education Nationale depuis des décennies, est responsable de l'état catastrophique de l'école. Elle est totalement disqualifiée!
Signaler RépondreComment ça, il ne comprend pas. Bah mince alors.
Signaler RépondreRien de surprenant , cette fac et tellement pourri par sa présidente et la plus part des enseignants , qui affiche ouvertement leurs idées ( tournés plutôt vers l extrême gauche ) que cela attire la curiosité des médias .
Signaler Répondrel école et faite pour acquérir des connaissances et s instruire, et non faire passer des messages politique , comme le pratique cette fac .