Université Lyon 2 : le syndicat des enseignants FSU s’indigne du traitement médiatique contre l’établissement

Université Lyon 2 : le syndicat des enseignants FSU s’indigne du traitement médiatique contre l’établissement

Ce lundi 9 juin, le syndicat des enseignants FSU a publié un communiqué à propos de l’affaire qui secoue l’Université Lyon 2 depuis le 1er avril dernier.

Quelques jours après la réunion de crise face aux attaques médiatiques, l’Université Lyon 2 n’en finit pas de faire parler d’elle. L’établissement, notamment accusé de dérives islamo-gauchistes, peut compter sur le soutien du syndicat FSU.

"L’université Lyon-II tente de rétablir les faits et de défendre sa réputation ainsi que celle des 2 000 membres du personnel qui y travaillent, mais elle peine à se faire entendre face à cette offensive médiatique et politique. Ne nous y trompons pas : cette situation dépasse largement le cadre de Lyon-II", est-il écrit dans le communiqué.

« Les universités sont confrontées à de fortes pressions politiques et médiatiques »

Pour rappel, le 1er avril, le maître de conférences en géographie, Fabrice Balanche, avait dû interrompre son cours suite à l’intrusion de militants pro-palestiniens. Dans la foulée, le vice-président du campus de Bron, Willy Beauvallet-Haddad avait été contraint de quitter son poste pour son hommage à l’ancien chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah.

Mais pour le syndicat FSU, la polémique n’est que le fruit de la "trumpisation" des médias et de la politique française. "(Cela) rappelle ce qu’il se passe outre-Atlantique, où les universités sont confrontées à de fortes pressions politiques et médiatiques. Des menaces qu’il ne faut pas prendre à la légère", conclut le FSU dans sa missive.

À noter que nous n’avons pas fini d’entendre parler de cette université, puisque France 2 prépare en ce moment-même un Complément d’Enquête sur la crise qui la concerne, avec l'interview enregistrée de la présidente de Lyon 2.

41 commentaires
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OMERTARBE le 12/06/2025 à 14:01

C'est vraiment une tannée cette université...

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Alcofribas le 12/06/2025 à 12:19
Kassos a écrit le 12/06/2025 à 07h31

Etant de ce monde là je peux vous répondre en toute sûreté. Je ne compte plus le nombre de "concours" bidonnés où soit un candidat local est mis en avant par ceux-là même qui font partie du comité de sélection, soit un candidat est recruté à un poste de maître de conf en raison de ses vues politiques. Cela est surtout vrai pour les sciences "molles", où le nombre de membres de la discipline est si restreint que ce sont presque toujours les mêmes qui participent à ces comités de sélection. On a donc une préemption par des gens (dont on connaît bien l'idéologie mondialiste et l'horreur de leur pensée) du système de sélection de ceux qui viennent contribuer à "l'avancée" de la discipline. Je mets des guillemets car en choisissant les candidats par copinage et/ou vues politiques communes, on en arrive à recruter des imbéciles comme je peux les voir beaucoup trop souvent à mon goût. Incapables de faire un travail sérieux par eux-même, ils pillent le travail de ceux qui ne sont pas titulaires en jouant sur leur main-mise sur la sélection à l'embauche.
Ce sont ensuite, ces gens-là que l'on retrouve a pondre des articles faisant fi de la réalité, soit en socio, soit en éduc, soit en psy, etc... mettez à peu près toute "science" humaine là dedans. Les mêmes aussi que l'on retrouve ensuite invités sur les plateaux TV à expliquer que les étrangers qui foutent le bordel dans le pays, ce n'est pas leur faute mais celle des "fachos" qui n'acceptent pas que l'on donne les clés du pays à des sauvages.
Je pourrais aussi parler du côté sciences "dures" où cette idéologie et manière de faire commence doucement à prendre place.
On a donc là un joyeux petit monde pourri d'entre-soi qui se maintient par "liberté académique" et cooptation.
Ajoutez à cela maintenant une horde d'étudiants, en perte de repères et à l'altérité maladive qui, pilotés par le mondialisme teinté de frérisme dans ce pays, viennent terroriser tout ceux qui ne pensent pas, à la ligne près, comme eux.
Voilà, vous avez Lyon 2 et quasiment toute autre fac de sciences humaines. Il serait temps de nettoyer tout cela.

Chaque fois que je donne une place,
je fais cent mécontents,
et un ingrat.
(Louis XIV)

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Socrate69 le 12/06/2025 à 08:32
Kassos a écrit le 12/06/2025 à 07h31

Etant de ce monde là je peux vous répondre en toute sûreté. Je ne compte plus le nombre de "concours" bidonnés où soit un candidat local est mis en avant par ceux-là même qui font partie du comité de sélection, soit un candidat est recruté à un poste de maître de conf en raison de ses vues politiques. Cela est surtout vrai pour les sciences "molles", où le nombre de membres de la discipline est si restreint que ce sont presque toujours les mêmes qui participent à ces comités de sélection. On a donc une préemption par des gens (dont on connaît bien l'idéologie mondialiste et l'horreur de leur pensée) du système de sélection de ceux qui viennent contribuer à "l'avancée" de la discipline. Je mets des guillemets car en choisissant les candidats par copinage et/ou vues politiques communes, on en arrive à recruter des imbéciles comme je peux les voir beaucoup trop souvent à mon goût. Incapables de faire un travail sérieux par eux-même, ils pillent le travail de ceux qui ne sont pas titulaires en jouant sur leur main-mise sur la sélection à l'embauche.
Ce sont ensuite, ces gens-là que l'on retrouve a pondre des articles faisant fi de la réalité, soit en socio, soit en éduc, soit en psy, etc... mettez à peu près toute "science" humaine là dedans. Les mêmes aussi que l'on retrouve ensuite invités sur les plateaux TV à expliquer que les étrangers qui foutent le bordel dans le pays, ce n'est pas leur faute mais celle des "fachos" qui n'acceptent pas que l'on donne les clés du pays à des sauvages.
Je pourrais aussi parler du côté sciences "dures" où cette idéologie et manière de faire commence doucement à prendre place.
On a donc là un joyeux petit monde pourri d'entre-soi qui se maintient par "liberté académique" et cooptation.
Ajoutez à cela maintenant une horde d'étudiants, en perte de repères et à l'altérité maladive qui, pilotés par le mondialisme teinté de frérisme dans ce pays, viennent terroriser tout ceux qui ne pensent pas, à la ligne près, comme eux.
Voilà, vous avez Lyon 2 et quasiment toute autre fac de sciences humaines. Il serait temps de nettoyer tout cela.

3 facs à Lyon
Lyon II c'est une "cause perdue"
Lyon III anciennement la "fac de droite" est actuellement en passe de tomber dans les même dérives que Lyon II

et la scientifique Lyon I. Je vais vous enlever vos espoirs, les dérives sont toutes aussi importantes dans les "sciences dures" . Lyon I est depuis longtemps une fac de gauche.

J'écoutais la problématique des JO sur la boxeuse donc le caryotype est XY et inscrite en compétition féminine. Je m'excuse on a des "scientifiques" qui renient la génétique (plus que centenaire) car voyiez vous le sujet du "Genre" est bien rentré dans le monde scientifique. Sur Toulouse un MCU de mathématiques en amphi a bien fait une tirade sur la situation à Gaza .... etc etc etc

Les Universités sont devenues des "Etables d'Augias"

Et si je ne me suis pas fait comprendre il n'y a pas de "Liberté Académique" cela n'existe pas !!!

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La Meute le 12/06/2025 à 08:08

La Meute s'indigne. Encore une preuve de la débilité de ces gens.

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Kassos le 12/06/2025 à 07:31
Alcofribas a écrit le 11/06/2025 à 10h21

Puisque vous connaissez le système universitaire de l'intérieur, vous ne pouvez en aucun cas ignorer que, pour être revêtu de la qualité de professeur des universités, il faut d'abord posséder le diplôme national d'habilitation à diriger les recherches, qui nécessite un énorme travail, puis être qualifié par le conseil national des universités, formé d'une quarantaine de membres élus, de toutes les universités françaises et de toutes les tendances. Sans cet aval, il est impossible de postuler. Ensuite, il faut qu'un poste correspondant au profil scientifique du candidat soit ouvert. Il faut alors passer devant un comité de sélection composé en grande partie de scientifiques extérieurs à l'université, au besoin étrangers. L'heureux gagnant est ensuite nommé par le président de la République.
Si cela ne constitue pas une légitimité suffisante, que préconisez-vous ?

Etant de ce monde là je peux vous répondre en toute sûreté. Je ne compte plus le nombre de "concours" bidonnés où soit un candidat local est mis en avant par ceux-là même qui font partie du comité de sélection, soit un candidat est recruté à un poste de maître de conf en raison de ses vues politiques. Cela est surtout vrai pour les sciences "molles", où le nombre de membres de la discipline est si restreint que ce sont presque toujours les mêmes qui participent à ces comités de sélection. On a donc une préemption par des gens (dont on connaît bien l'idéologie mondialiste et l'horreur de leur pensée) du système de sélection de ceux qui viennent contribuer à "l'avancée" de la discipline. Je mets des guillemets car en choisissant les candidats par copinage et/ou vues politiques communes, on en arrive à recruter des imbéciles comme je peux les voir beaucoup trop souvent à mon goût. Incapables de faire un travail sérieux par eux-même, ils pillent le travail de ceux qui ne sont pas titulaires en jouant sur leur main-mise sur la sélection à l'embauche.
Ce sont ensuite, ces gens-là que l'on retrouve a pondre des articles faisant fi de la réalité, soit en socio, soit en éduc, soit en psy, etc... mettez à peu près toute "science" humaine là dedans. Les mêmes aussi que l'on retrouve ensuite invités sur les plateaux TV à expliquer que les étrangers qui foutent le bordel dans le pays, ce n'est pas leur faute mais celle des "fachos" qui n'acceptent pas que l'on donne les clés du pays à des sauvages.
Je pourrais aussi parler du côté sciences "dures" où cette idéologie et manière de faire commence doucement à prendre place.
On a donc là un joyeux petit monde pourri d'entre-soi qui se maintient par "liberté académique" et cooptation.
Ajoutez à cela maintenant une horde d'étudiants, en perte de repères et à l'altérité maladive qui, pilotés par le mondialisme teinté de frérisme dans ce pays, viennent terroriser tout ceux qui ne pensent pas, à la ligne près, comme eux.
Voilà, vous avez Lyon 2 et quasiment toute autre fac de sciences humaines. Il serait temps de nettoyer tout cela.

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Socrate69 le 12/06/2025 à 07:29
Socrate69 a écrit le 12/06/2025 à 06h28

Pour être un élu "universitaire". Je reprendrais les mots de ma vieille prof en début de 3ème cycle (mais aussi de tous les intervenants lors des réunions étudiantes). Vos travaux ne sont que secondaires, ce qui compte est de distribuer vos "cartes de visite".

L'Université a toujours été (cela ne date pas que de maintenant) un système de "cooptation" .

Etudiant thésard: déjà essayer de tomber dans un labo avec un directeur "influent" (influent ne veut pas dire compétent). Certes faites un peu vos recherches mais allez un maximum dans les congrès et séminaires avec pour but unique de tisser les liens avec les "pontes".
A une vieille époque on parlait des "Mandarins" mais ils existent toujours sauf que maintenant en plus d'être des petits autocrates ils sont en plus incompétents (faudrait parler de la perte de niveau car cela ne touche pas que le primaire, collègue, lycée)

Après un peu d'HONNETETE et arrêter de raconter des histoires aux étudiants:
- distribution des bourses de thèse au sortir d'un master approfondi (ancien DEA): bidouillé
- nomination des MCU: bidouillé
- avancement des enseignants: bidouillé
- certains concours de la fonction publics dans certains instituts: bidouillé (j'en parlais dernièrement car un jeune voulait passer un certain concours ... et de mémoire ce concours très sélectif a toujours eu ses postes "fléchés" donc cela ne sert à rien dans les faits de le passer ....)

Mais comme je disais dans mon intervention c'est surtout le terme "Liberté Académique" qui énerve tout le monde !!! IL N Y A PAS de "LIBERTE ACADEMIQUE" cela n'existe pas juste pas le fait de la distribution des fonds de recherche !!!

Une idéologie malsaine et assez totalitaire se cache depuis plusieurs années (voir décennies) derrière ses termes "Liberté Académique" "Etat de Droit" "Transition Ecologique" "Inclusivité" etc etc etc mais dans les faits cela fait longtemps que cette "idéologie" a totalement piétiné ce qui faisait les fondamentaux de ses concepts honorables ... de concepts assez humanistes et démocratiques ils sont devenus les armes d'une idéologie totalitaire.

Je vous rassure aussi cette logique totalitaire existait aussi avant. On a eu des Universitaires pro-Staline, pour les Khmers rouges aux Cambodge, groupies de Mao etc etc je crois même que la France a été durant ses périodes exportatrice d'intellectuels vers ses pays car certains ont participé activement à ses régimes (faudrait relire du Sartre, du Beauvoir etc etc).

J'oubliais un point qui personnellement m'a bien fait rire

Quand j'ai lu l'interview de cette présidente elle a attaqué donc cet enseignant sur des supposées prises de position sur le conflit palestinien (ce qui est faux apparemment mais vu que l'enseignant est un "expert" de cette zone géographique il a le droit d'y réfléchir).

Ma question: un universitaire n'a t'il pas le droit de réfléchir au conflit ?

Donc cette présidence s'est attaquée à la "Liberté Académique" .... comme tout les pétitionnaires en l'occurence.

Il y a des "sujets tabous" totalement interdit dans la recherche. Par exemple l'Université gangrénée par le décolonialisme et l'indigénisme ne financera jamais les recherches les mécaniques de l'esclavagisme car les gens seraient assez surpris. Idem il y a un "esclavagisme moderne" toujours à l'oeuvre dans certains pays mais on n'en parle pas .

La "Liberté Académique" n'existe pas !! (cela fait un peu "Gott ist tot" de Friedrich Nietzsche).

Lisez un article du "Point" aussi sur l'utilisation des frais d'inscription payés par les étudiants (il y a une petite code part sur des aides sociales). Ses fonds utilisés à la discrétion des présidences et qui ne vont pas dans l'aide des étudiants précaires mais pour préparer les élections car les syndicats étudiants ont un poids dans l'élection de la présidence.

Moi je ne suis pas d'un camp ou d'un autre mais j'ai horreur des "biais" cela m'énerve. Il faut avoir une pensée structurée, éviter de se contredire et altérer l'Histoire. Mais de nos jours on a surtout de la logorrhée intellectuelle

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AAA le 12/06/2025 à 06:51
Alcofribas a écrit le 11/06/2025 à 09h55

La mémoire d'Yves Lequin ne saurait être souillée de la sorte. Ce grand enseignant avait une totale aversion pour les régimes autoritaires du passé comme du présent et, surtout, envers l'antisémitisme.. Les imputations qui lui ont été faites étaient absurdes et révoltantes. Elles n'ont pu avoir d'écho que parce qu'elles servaient, en toute hypocrisie et en toute impunité, les menées de personnages en quête de cause et, naturellement, les frustrés qui avaient quelque compte à régler. Que cette histoire eût été une grossière manipulation, nul n'en était dupe, pas plus qu'on ne peut l'invoquer aujourd'hui en toute innocence.
"Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose" (Francis Bacon).

Yves Lequin a implicitement admis la chose : « J’estime dans cette affaire avoir été trompé, mais être trompé est aussi se tromper soi-même, sur un champ où la vigilance aurait sans doute dû être plus forte, d’autant plus que je suis moi-même engagé, comme citoyen, dans la défense de la vérité sur le Génocide. Conscient d’avoir permis, il y a huit ans, à un négationniste d’obtenir un diplôme universitaire, j’ai décidé de démissionner de la direction du DEA d’histoire moderne et contemporaine, en donnant à ce départ le sens symbolique d’un appel à la vigilance accrue ». Cf. Henri Rousso, commission sur le racisme et négationnisme (2004).
Les membres du jury désignés par Y. Lequin, Gilbert Garrier, et Geoffrey Crossick qui avaient validé le DEA, tentèrent des justifications déshonorantes, soutenus par le président Bruno Gelas qui décréta la validité du mémoire affirmant qu'il n'était pas révisionniste...

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bon diagnostique le 12/06/2025 à 06:50
Socrate69 a écrit le 12/06/2025 à 06h28

Pour être un élu "universitaire". Je reprendrais les mots de ma vieille prof en début de 3ème cycle (mais aussi de tous les intervenants lors des réunions étudiantes). Vos travaux ne sont que secondaires, ce qui compte est de distribuer vos "cartes de visite".

L'Université a toujours été (cela ne date pas que de maintenant) un système de "cooptation" .

Etudiant thésard: déjà essayer de tomber dans un labo avec un directeur "influent" (influent ne veut pas dire compétent). Certes faites un peu vos recherches mais allez un maximum dans les congrès et séminaires avec pour but unique de tisser les liens avec les "pontes".
A une vieille époque on parlait des "Mandarins" mais ils existent toujours sauf que maintenant en plus d'être des petits autocrates ils sont en plus incompétents (faudrait parler de la perte de niveau car cela ne touche pas que le primaire, collègue, lycée)

Après un peu d'HONNETETE et arrêter de raconter des histoires aux étudiants:
- distribution des bourses de thèse au sortir d'un master approfondi (ancien DEA): bidouillé
- nomination des MCU: bidouillé
- avancement des enseignants: bidouillé
- certains concours de la fonction publics dans certains instituts: bidouillé (j'en parlais dernièrement car un jeune voulait passer un certain concours ... et de mémoire ce concours très sélectif a toujours eu ses postes "fléchés" donc cela ne sert à rien dans les faits de le passer ....)

Mais comme je disais dans mon intervention c'est surtout le terme "Liberté Académique" qui énerve tout le monde !!! IL N Y A PAS de "LIBERTE ACADEMIQUE" cela n'existe pas juste pas le fait de la distribution des fonds de recherche !!!

Une idéologie malsaine et assez totalitaire se cache depuis plusieurs années (voir décennies) derrière ses termes "Liberté Académique" "Etat de Droit" "Transition Ecologique" "Inclusivité" etc etc etc mais dans les faits cela fait longtemps que cette "idéologie" a totalement piétiné ce qui faisait les fondamentaux de ses concepts honorables ... de concepts assez humanistes et démocratiques ils sont devenus les armes d'une idéologie totalitaire.

Je vous rassure aussi cette logique totalitaire existait aussi avant. On a eu des Universitaires pro-Staline, pour les Khmers rouges aux Cambodge, groupies de Mao etc etc je crois même que la France a été durant ses périodes exportatrice d'intellectuels vers ses pays car certains ont participé activement à ses régimes (faudrait relire du Sartre, du Beauvoir etc etc).

je me souviens de ma frangine qui ramenait des potes en 68 avec le petit livre rouge de mao....j avais 14 ans à l epoque et je les trouvais dejà bien "felés"...

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Socrate69 le 12/06/2025 à 06:28
Alcofribas a écrit le 11/06/2025 à 10h21

Puisque vous connaissez le système universitaire de l'intérieur, vous ne pouvez en aucun cas ignorer que, pour être revêtu de la qualité de professeur des universités, il faut d'abord posséder le diplôme national d'habilitation à diriger les recherches, qui nécessite un énorme travail, puis être qualifié par le conseil national des universités, formé d'une quarantaine de membres élus, de toutes les universités françaises et de toutes les tendances. Sans cet aval, il est impossible de postuler. Ensuite, il faut qu'un poste correspondant au profil scientifique du candidat soit ouvert. Il faut alors passer devant un comité de sélection composé en grande partie de scientifiques extérieurs à l'université, au besoin étrangers. L'heureux gagnant est ensuite nommé par le président de la République.
Si cela ne constitue pas une légitimité suffisante, que préconisez-vous ?

Pour être un élu "universitaire". Je reprendrais les mots de ma vieille prof en début de 3ème cycle (mais aussi de tous les intervenants lors des réunions étudiantes). Vos travaux ne sont que secondaires, ce qui compte est de distribuer vos "cartes de visite".

L'Université a toujours été (cela ne date pas que de maintenant) un système de "cooptation" .

Etudiant thésard: déjà essayer de tomber dans un labo avec un directeur "influent" (influent ne veut pas dire compétent). Certes faites un peu vos recherches mais allez un maximum dans les congrès et séminaires avec pour but unique de tisser les liens avec les "pontes".
A une vieille époque on parlait des "Mandarins" mais ils existent toujours sauf que maintenant en plus d'être des petits autocrates ils sont en plus incompétents (faudrait parler de la perte de niveau car cela ne touche pas que le primaire, collègue, lycée)

Après un peu d'HONNETETE et arrêter de raconter des histoires aux étudiants:
- distribution des bourses de thèse au sortir d'un master approfondi (ancien DEA): bidouillé
- nomination des MCU: bidouillé
- avancement des enseignants: bidouillé
- certains concours de la fonction publics dans certains instituts: bidouillé (j'en parlais dernièrement car un jeune voulait passer un certain concours ... et de mémoire ce concours très sélectif a toujours eu ses postes "fléchés" donc cela ne sert à rien dans les faits de le passer ....)

Mais comme je disais dans mon intervention c'est surtout le terme "Liberté Académique" qui énerve tout le monde !!! IL N Y A PAS de "LIBERTE ACADEMIQUE" cela n'existe pas juste pas le fait de la distribution des fonds de recherche !!!

Une idéologie malsaine et assez totalitaire se cache depuis plusieurs années (voir décennies) derrière ses termes "Liberté Académique" "Etat de Droit" "Transition Ecologique" "Inclusivité" etc etc etc mais dans les faits cela fait longtemps que cette "idéologie" a totalement piétiné ce qui faisait les fondamentaux de ses concepts honorables ... de concepts assez humanistes et démocratiques ils sont devenus les armes d'une idéologie totalitaire.

Je vous rassure aussi cette logique totalitaire existait aussi avant. On a eu des Universitaires pro-Staline, pour les Khmers rouges aux Cambodge, groupies de Mao etc etc je crois même que la France a été durant ses périodes exportatrice d'intellectuels vers ses pays car certains ont participé activement à ses régimes (faudrait relire du Sartre, du Beauvoir etc etc).

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:( le 12/06/2025 à 02:50
Alcofribas a écrit le 11/06/2025 à 10h21

Puisque vous connaissez le système universitaire de l'intérieur, vous ne pouvez en aucun cas ignorer que, pour être revêtu de la qualité de professeur des universités, il faut d'abord posséder le diplôme national d'habilitation à diriger les recherches, qui nécessite un énorme travail, puis être qualifié par le conseil national des universités, formé d'une quarantaine de membres élus, de toutes les universités françaises et de toutes les tendances. Sans cet aval, il est impossible de postuler. Ensuite, il faut qu'un poste correspondant au profil scientifique du candidat soit ouvert. Il faut alors passer devant un comité de sélection composé en grande partie de scientifiques extérieurs à l'université, au besoin étrangers. L'heureux gagnant est ensuite nommé par le président de la République.
Si cela ne constitue pas une légitimité suffisante, que préconisez-vous ?

Il faut être un gauchiasse et un dhimmi woke. Un candidat avec des idées nationalistes et de droite ne passe jamais l'hdr. L'université française est une vaste blague et un danger islamogachiasse à combattre.

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Mdr le 11/06/2025 à 20:41
Non a écrit le 11/06/2025 à 20h24

On a juste fréquenté les bandes de la fac
Il semble que les choses n'ont pas changées

Ne pas faire confiance aux outils modernes : les bancs de la fac

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Non le 11/06/2025 à 20:24
ah bon a écrit le 11/06/2025 à 07h02

vous l avez entendu sur cnews ? Bardella l a dit ? vous avez des éléments pour affirmer cela ? sinon...

On a juste fréquenté les bandes de la fac
Il semble que les choses n'ont pas changées

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FINI ! le 11/06/2025 à 12:05

Le profs gauchos voudraient que l'on ne dénonce pas l'islamisation de l'université, la propagande gauchiste, l'infiltration par des intégristes et des voilées, leurs mensonges et la désinformations qui durent depuis 30 ans ?

Et bien non !
C'est fini !
On ne se taira plus.

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Jordy le 11/06/2025 à 10:49

Ces enseignants sont tellement aveuglés par leur idéologie islamogauchiste qu’ils ne voient pas le désastre des universités françaises!

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Alcofribas le 11/06/2025 à 10:21
Socrate69 a écrit le 11/06/2025 à 07h53

Tiens un article dans un papier qui titre que 500 universitaires mettent en avant la protection de la "Liberté Académique"

Mais il n'y a pas de "Liberté Académique" c'est le "cache sexe" de l'idéologie dominante dans le monde universitaire.

Un peu lassé d'entendre à longueur de journée les phrases bateaux vide de sens: "Liberté Académique" "Etat de Droit" "Inclusivité" "Transition Ecologique" etc etc autant de mots qu'on sort pour tenter de faire taire les personnes qui ouvrent les yeux sur le pourrissement du système actuel.

Ses universitaires sont tous des "cooptés" ils n'ont aucune légitimité surtout quand on connait le système universitaire de l'intérieur. Parfois ils ont même été des étudiants assez médiocres.

"Liberté Académique" quelle vaste blague. Par exemple si vous êtes un "historien universitaire" vous aurez les fonds si vous êtes un "historien décolonial" par contre si vous êtes un "historien médiéviste" ou un "historien de la chrétienté" vous n'aurez rien. Il n'y a donc pas de "Liberté Académique" c'est un fait. Ceux qui se cachent derrière ce terme sont souvent ceux qui ont accéléré le pourrissement du monde universitaire.

Puisque vous connaissez le système universitaire de l'intérieur, vous ne pouvez en aucun cas ignorer que, pour être revêtu de la qualité de professeur des universités, il faut d'abord posséder le diplôme national d'habilitation à diriger les recherches, qui nécessite un énorme travail, puis être qualifié par le conseil national des universités, formé d'une quarantaine de membres élus, de toutes les universités françaises et de toutes les tendances. Sans cet aval, il est impossible de postuler. Ensuite, il faut qu'un poste correspondant au profil scientifique du candidat soit ouvert. Il faut alors passer devant un comité de sélection composé en grande partie de scientifiques extérieurs à l'université, au besoin étrangers. L'heureux gagnant est ensuite nommé par le président de la République.
Si cela ne constitue pas une légitimité suffisante, que préconisez-vous ?

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Alcofribas le 11/06/2025 à 09:55
AAA a écrit le 11/06/2025 à 07h44

Ce n'est pas comme si Robert Faurisson avait enseigné à Lyon 2, et ce n'est pas comme si l'université LUMIÈRE avait discrètement gommé les prénoms des deux frères admirateurs de Benito Mussolini ? Ce n'est pas comme si Yves LEQUIN, professeur à Lyon 2 avait délivré un DEA d'histoire contemporaine à J. Plantin, pour son travail révisionniste sur « les épidémies de typhus exhanthématique dans les camps de concentration ? Ce n'est pas comme si Bruno GELAS ex-président de Lyon 2 avait refusé de reconnaître les thèses révisionnistes du DEA de J. Plantin, et de nier les dysfonctionnements de l'université (cf. Libération du 02/10/2000..) ? Ce n'est pas comme si l'actuelle présidente était incapable de contrer l'islamo gauchisme gentiment entretenu pas le FSU, qui reprenant des thèses staliniennes de communication, rejette ses propres fautes sur la diffusion médiatique ?

La mémoire d'Yves Lequin ne saurait être souillée de la sorte. Ce grand enseignant avait une totale aversion pour les régimes autoritaires du passé comme du présent et, surtout, envers l'antisémitisme.. Les imputations qui lui ont été faites étaient absurdes et révoltantes. Elles n'ont pu avoir d'écho que parce qu'elles servaient, en toute hypocrisie et en toute impunité, les menées de personnages en quête de cause et, naturellement, les frustrés qui avaient quelque compte à régler. Que cette histoire eût été une grossière manipulation, nul n'en était dupe, pas plus qu'on ne peut l'invoquer aujourd'hui en toute innocence.
"Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose" (Francis Bacon).

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C est un robot le 11/06/2025 à 09:43
Catalan a écrit le 11/06/2025 à 09h20

Borne jamais capable de répondre à une question. Toujours ni pour ,ni contre, bien au contraire. Hier le summum de la non réponse, " nous allons prendre le temps de réfléchir et de nous poser les bonnes questions " ça fait 40 ans que ça dure ,mais il faut encore réfléchir alors que tout le monde voit que ça pète de partout

Borne est un pur produit du système administratif, aucune pensée personnelle, ramassis de phrases creuses qui ne sont qu agglomération d éléments de langage destinés à faire taire la contradiction, œil complètement atone et intérêt du personnage a peu prêt inexistant mais qui fera justement une grande carrière dans tous les rouages de l état

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Mdr ! le 11/06/2025 à 09:25
Socrate69 a écrit le 11/06/2025 à 07h18

Je vous conseille de regarder de près le positionnement des syndicats actuellement .........

Si vous pensiez ne plus rien attendre des "partis politiques" les dérives clientélistes et idéologiques sont beaucoup plus rapides dans le monde syndical. On voit dans certaines boites des pseudo syndicats mais basés sur du communautarisme.

Il faut être clair pour être syndiquer il suffit de s'inscrire sur un site internet il n'y a pas d'enquête de "probité" et donc on se retrouve avec des syndiqués élus qui négocient leur vote au CSE avec les directions pour quelques avantages.
Les directions ont très bien compris le système ce qui leur permet par exemple dans certains cas de faire des allègements de personnel sans passé par des PSE plus coûteux.

Totale dérive de ce monde syndical qui ne veut plus rien dire .... Et c'est un syndiqué qui le dit car je le vois de l'intérieur.

Ah oui le PSE... le Plan de Sauvegarde de l'Emploi.. quand on veut virer des gens on dit qu'on sauvegarde des emplois.. quel talent.

Effectivement, le syndicalisme est devenu une vaste arnaque.
Le nombre de syndiqués est ridiculement faible, les syndicats ne sont pas représentatifs.
Les places sont bonnes, il y a des privilèges. De l'entre-soi, ça magouille sec, l'argent vient de Bruxelles... zéro victoire syndicale depuis euh... oula...
Dans ma boite, cent personnes, quatre syndiqués. Et une déléguée qui bosse un jour de moins que les autres et qui a son mot à dire.

L'astuce est là : se syndiquer est un droit, on en fait un sacro-saint droit. De sorte que toute entreprise d'une certaine taille doit légalement y faire place... même si ses employés ne sont pas syndiqués.. 10% des travailleurs en France le sont, à peu près, plus en fonction publique (genre 15%, guère mieux) que dans le privé, et selon certains secteurs.. mais en gros 10%.
Un vote a lieu, il est garanti par le droit du travail.. et donne droit à une représentation.. même si les employés n'en demandent pas, ou ne votent pas. Et voilà comment des gens vous représentent, parfois sans même que vous ne le sachiez. Et ils sont considérés représentatifs, du moins par les chefs, et puisqu'un vote démocratique à eu lieu l'abstention à tort, même si elle n'est pas syndiquée.
Et en fait, votre délégué syndical vous craint plus qu'il ne craint votre patron.

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Catalan le 11/06/2025 à 09:20
la borgne a écrit le 11/06/2025 à 08h36

Voila la réponse des politiques!
Surveillante tuée : Élisabeth Borne demande une minute de silence dans tous les établissements scolaires jeudi midi
Le pire est a venir avec votre politique de merde

Borne jamais capable de répondre à une question. Toujours ni pour ,ni contre, bien au contraire. Hier le summum de la non réponse, " nous allons prendre le temps de réfléchir et de nous poser les bonnes questions " ça fait 40 ans que ça dure ,mais il faut encore réfléchir alors que tout le monde voit que ça pète de partout

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Catalan le 11/06/2025 à 09:06

la vérité est difficile à supporter.

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Et oui le 11/06/2025 à 08:54
Inversion des valeurs a écrit le 11/06/2025 à 08h19

Pas étonnant que Fabrice Balanche n'ait pas eu de soutien de la plupart de ses collègues, des collègues qui ne s'indignent pas de l'entrisme islamo-politique mais qui s'indignent de ceux qui le pointe ou le dénoncent, comme dit la présidente de Lyon 2 le " ministère obnubilé par l'affaire Samuel Paty" : indigne en effet.

Leur seul logiciel c est le danger c est l extrême droite

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Des "enseignants" qui préfèrent dénoncer ceux qui dénoncent l'islamo-gauchisme infiltrant l'Université... le 11/06/2025 à 08:49

Tout est dit.

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la borgne le 11/06/2025 à 08:36

Voila la réponse des politiques!
Surveillante tuée : Élisabeth Borne demande une minute de silence dans tous les établissements scolaires jeudi midi
Le pire est a venir avec votre politique de merde

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Mont Monnet le 11/06/2025 à 08:31

L YON 2 bashing.

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Colysee le 11/06/2025 à 08:20

les universités sont confrontées au frères islamistes plutôt !
les pseudo mouvements pro palestin montrent le laxisme des universités on la vu récemment à Toulouse aussi ..
Que font nos politiques ? Sont ils corrompus eux aussi ?

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Inversion des valeurs le 11/06/2025 à 08:19

Pas étonnant que Fabrice Balanche n'ait pas eu de soutien de la plupart de ses collègues, des collègues qui ne s'indignent pas de l'entrisme islamo-politique mais qui s'indignent de ceux qui le pointe ou le dénoncent, comme dit la présidente de Lyon 2 le " ministère obnubilé par l'affaire Samuel Paty" : indigne en effet.

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Rouges le 11/06/2025 à 08:12

On aime pas trop la critique chez les gauchistes, même si eux ne s’appliquent aucune limite. Pour eux la liberté d’expression est un droit qui s’applique surtout quand c’est dans leur sens, et ils veulent interdire tous ceux qui sont pas d’accord avec leurs idées comme cnews. Ils se placent en victimes comme les islamistes qu’ils défendent.

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verdoxxxx le 11/06/2025 à 08:10

C'est cohérent, une preuve de plus que lyon 2 est bien un bastion de islamogauchisme.....

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ah bon 3 le 11/06/2025 à 07:57
ah bon a écrit le 11/06/2025 à 07h02

vous l avez entendu sur cnews ? Bardella l a dit ? vous avez des éléments pour affirmer cela ? sinon...

qu il est doux de ne rien vouloir voir et de rester aveugle. qu il est doux de rejeter les fautes sur les autres. certaines fac sont devenues des repères de gauchistes agressifs, haineux et racistes. un gauchiste ne peux pas le voir puisqu'il fait parti du clan du bien celui qui tient la vérité, cette vérité qui rend aveugle

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Socrate69 le 11/06/2025 à 07:53

Tiens un article dans un papier qui titre que 500 universitaires mettent en avant la protection de la "Liberté Académique"

Mais il n'y a pas de "Liberté Académique" c'est le "cache sexe" de l'idéologie dominante dans le monde universitaire.

Un peu lassé d'entendre à longueur de journée les phrases bateaux vide de sens: "Liberté Académique" "Etat de Droit" "Inclusivité" "Transition Ecologique" etc etc autant de mots qu'on sort pour tenter de faire taire les personnes qui ouvrent les yeux sur le pourrissement du système actuel.

Ses universitaires sont tous des "cooptés" ils n'ont aucune légitimité surtout quand on connait le système universitaire de l'intérieur. Parfois ils ont même été des étudiants assez médiocres.

"Liberté Académique" quelle vaste blague. Par exemple si vous êtes un "historien universitaire" vous aurez les fonds si vous êtes un "historien décolonial" par contre si vous êtes un "historien médiéviste" ou un "historien de la chrétienté" vous n'aurez rien. Il n'y a donc pas de "Liberté Académique" c'est un fait. Ceux qui se cachent derrière ce terme sont souvent ceux qui ont accéléré le pourrissement du monde universitaire.

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Sans blagues? le 11/06/2025 à 07:45

Quelle réputation à défendre?

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AAA le 11/06/2025 à 07:44

Ce n'est pas comme si Robert Faurisson avait enseigné à Lyon 2, et ce n'est pas comme si l'université LUMIÈRE avait discrètement gommé les prénoms des deux frères admirateurs de Benito Mussolini ? Ce n'est pas comme si Yves LEQUIN, professeur à Lyon 2 avait délivré un DEA d'histoire contemporaine à J. Plantin, pour son travail révisionniste sur « les épidémies de typhus exhanthématique dans les camps de concentration ? Ce n'est pas comme si Bruno GELAS ex-président de Lyon 2 avait refusé de reconnaître les thèses révisionnistes du DEA de J. Plantin, et de nier les dysfonctionnements de l'université (cf. Libération du 02/10/2000..) ? Ce n'est pas comme si l'actuelle présidente était incapable de contrer l'islamo gauchisme gentiment entretenu pas le FSU, qui reprenant des thèses staliniennes de communication, rejette ses propres fautes sur la diffusion médiatique ?

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mdr le 11/06/2025 à 07:42

à l image de leur conviction !!
la victimisation !!!

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Comme on dit le 11/06/2025 à 07:40

Qui sème le vent récolte la tempête !
Il n'y a que les boeufs qui ne comprennent pas.

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Ex Précisions le 11/06/2025 à 07:23

Quand on va trop loin il faut arrêter de se plaindre que l'on ramasse derrière...
"trumpisation" des médias et de la politique française ? On en est loin heureusement, par contre l'islamo-gauchisme on en est très proche dans cette école.
C'est vrai qu'il ne faut pas mettre tout le personnel dans le même bateau (comme Rima et Greta...), mais c'est l'image qui transpire de cette université.

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Socrate69 le 11/06/2025 à 07:18

Je vous conseille de regarder de près le positionnement des syndicats actuellement .........

Si vous pensiez ne plus rien attendre des "partis politiques" les dérives clientélistes et idéologiques sont beaucoup plus rapides dans le monde syndical. On voit dans certaines boites des pseudo syndicats mais basés sur du communautarisme.

Il faut être clair pour être syndiquer il suffit de s'inscrire sur un site internet il n'y a pas d'enquête de "probité" et donc on se retrouve avec des syndiqués élus qui négocient leur vote au CSE avec les directions pour quelques avantages.
Les directions ont très bien compris le système ce qui leur permet par exemple dans certains cas de faire des allègements de personnel sans passé par des PSE plus coûteux.

Totale dérive de ce monde syndical qui ne veut plus rien dire .... Et c'est un syndiqué qui le dit car je le vois de l'intérieur.

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ah bon le 11/06/2025 à 07:02
bac73 a écrit le 11/06/2025 à 06h40

Rien de surprenant , cette fac et tellement pourri par sa présidente et la plus part des enseignants , qui affiche ouvertement leurs idées ( tournés plutôt vers l extrême gauche ) que cela attire la curiosité des médias .

l école et faite pour acquérir des connaissances et s instruire, et non faire passer des messages politique , comme le pratique cette fac .

vous l avez entendu sur cnews ? Bardella l a dit ? vous avez des éléments pour affirmer cela ? sinon...

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FREDD le 11/06/2025 à 06:57

Ces gens vivent vraiment dans une bulle idéologique. ils sont hors sol !

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FSU coupable! le 11/06/2025 à 06:52

La FSU, qui gère l'Education Nationale depuis des décennies, est responsable de l'état catastrophique de l'école. Elle est totalement disqualifiée!

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boris69 le 11/06/2025 à 06:45

Comment ça, il ne comprend pas. Bah mince alors.

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bac73 le 11/06/2025 à 06:40

Rien de surprenant , cette fac et tellement pourri par sa présidente et la plus part des enseignants , qui affiche ouvertement leurs idées ( tournés plutôt vers l extrême gauche ) que cela attire la curiosité des médias .

l école et faite pour acquérir des connaissances et s instruire, et non faire passer des messages politique , comme le pratique cette fac .

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