Comme tous les trois ans, elle interroge ses étudiants pour "mieux connaître leurs conditions d'études et leur niveau de bien-être".
Conduit lors de l'hiver dernier jusqu'à mi-février, ce sondage a été mené auprès de 19 437 personnes, mais seulement 5083 ont répondu au questionnaire, partiellement ou dans son intégralité. Un taux de réponses de 26%, en baisse par rapport à la précédente enquête.
Concernant la formation, les étudiants de Lyon 2 sont globalement satisfaits de sa cohérence globale (86% de satisfaction) mais râlent davantage sur l'organisation et la répartition des cours dans la journée (31% d'insatisfaction).
Ils estiment aussi à 90% que les cours dispensés leur permettent d'acquérir de nouvelles compétences et/ou connaissances.
Concernant la vie sur le campus de Bron, là encore les avis sont plutôt positifs, avec 64% de désaccord avec l'affirmation "Je ne me sens pas bien à l'université". Reste tout de même 58% d'étudiants affirmant avoir un état de santé mentale allant de "très mauvais" à "moyen".
De la vie à l'Université (80% d'avis positifs) aux conditions de travail (73%), Lyon 2 peut compter sur le soutien de ses étudiants.
"Nous sommes heureux et fiers de constater que nos étudiants prennent du plaisir à venir à l’université Lumière Lyon 2, et qu’ils y trouvent aussi de l’intérêt en termes d’acquisition de connaissances et de compétences. Les services proposés sont de mieux en mieux connus, mais surtout, lorsqu’ils sont utilisés, sont grandement appréciés et apportent un vrai accompagnement à la réussite de l’étudiant", se félicite l'université, qui rappelle que le campus Porte des Alpes doit subir de "profonds changements" ces prochains mois avec l'arrivée de nouvelles résidences étudiantes et la relocalisation de plusieurs services au sein de la future Ruche.
On a l'impression d'être écouté hehehehehehe
Signaler Répondrelivre de Stephan Zweig
Signaler Répondreun SENTIMENT?....encore!?....on est cernes par les sentimentaux...
Signaler RépondreCommentaire imagé mais assez proche de la réalité !
Signaler RépondreNasrallah, recherché par l’ONU, tue des CNRS! Un vice-président le soutient entre deux cours d’éthique, en corrigeant des copies…
Signaler RépondreIls fument des pétards et après dans la béatitude ils sont contents de leur sort ;-)
Signaler RépondreJe pense qu'il faut lire entre les lignes les propos prêtés à l'université : ""Nous sommes inquiets et préoccupés de constater que de plus ne plus de nos étudiants n'ont aucune envie de venir à l’université Lumière Lyon 2, et qu’ils n'y trouvent guère d’acquisition de connaissances et de compétences utiles à leur future vie professionnelle. Les services proposés sont trop rares, mais surtout, lorsqu’ils sont utilisés, sont grandement dépréciés car ils n'apportent aucun vrai accompagnement à la réussite de l’étudiant".
Signaler RépondreLe problème ce sont les fachos d'extrême gauche et leurs alliés sous influence des intégristes islamofascistes : compliqué la liberté de pensée à Lyon 2 avec tous ces fachos et leur entrisme.
Signaler RépondreLes sondages de l'Insee ne valent déjà pas grand chose, alors ceux de Lyon 2...
Signaler RépondreQui se ressemble s'assemble !
Signaler RépondrePourquoi les étudiants seraient-ils malheureux alors que bon nombre d'entre eux ont choisi en connaissance de cause . Ceux qui veulent un cursus sérieux évitent Lyon II tant qu'ils le peuvent .
Dès que l'on prend des faits réels, tous les arguments de l'extrême droite se révèlent des fantasmes de névrosés.
Signaler RépondreQuand les islamo-gauchiste ne seront plus au pouvoir, quels métiers vont bien pouvoir exercer les pseudo-etudiants en sortant de cette "université" ?
Signaler RépondreFaudra pas compter sur papa maman pour trouver un job pistonné.
Ça tombe bien, l'économie est en manque de vendeurs de supermarché et de serveurs de restaurants. 🤣🤣🤣
C'est vraiment une université de cassos, pour ceux qui n'ont pas réussi à entrer dans une formation supérieure sélective !
Depuis Socrate, chaque génération est convaincue que celle qui lui succède n'a jamais été aussi stupide.
Signaler RépondreSi on suit ce résonnement, depuis le temps on serait collectivement tous réduits au niveau intellectuel d'un singe.
Or ce n'est pas le cas, ils ne sont donc peut-être pas aussi bêtes que vous l'imaginez.
Mais il y a différents facteurs qui expliquent cette haine injustifié des anciennes générations envers les nouvelles, la jalousie de leur jeunesse en premier lieu, quand on commence soi-même à prendre conscience que la vigueur est derrière nous et que les années filent plus vite qu'on ne l'aurait espéré.
Arrêtez donc votre mépris, sortez un peu de chez vous et parlez aux gens, ça vous aérera le cerveau.
Quant au fond du propos, ça fait des décennies que Lyon 2 est orienté gauche, et tout aussi longtemps que Lyon 3 est à droite, il y en a pour tous les goûts et il serait peut-être un peu temps de changer de disque.
Pourquoi faire ? Ce n'est pas utile...
Signaler RépondreUn étudiant, pour rappel, sort tout juste du lycée avec son bac en carton qu'on lui a donné, n'est bon à rien sans son téléphone, trouve normal d'avoir le niveau de vie d'un cinquantenaire avec le niveau scolaire d'un collégien.
Pas besoin de les sélectionner.. il suffit de tourner correctement la question pour avoir la réponse qu'on veut.
Un étudiant de première année aujourd'hui est l'équivalent d'un 3eme d'il y a 25 ans, en âge mental y compris.. tant qu'il y a des frites au restoU la vie est belle.
En même temps, ils sont au diapason.. voyez qu'une université fait des enquêtes "satisfaction-client", se soucie du "bien-être".. au lieu de rendre des notes.. vous êtes contents au centre-aéré ?
Comme quoi, quand on arrête de se focaliser sur les micros polémiques mais sur la vie des gens, tout va mieux.
Signaler RépondrePersonne ne croit à ce sondage…comme à beaucoup d’autres d’ailleurs !
Signaler RépondreOn veut essayer de nous empêcher de penser !!! Cela suffit de prendre les gens pour des imbeciles !
ils dont sélectionnés comment les étudiants de Lyon2,selon leur bord politique?
Signaler RépondreDe longue date, les horaires ont été une source de difficultés. Cela tient aux manque de locaux et à la complexité de ce que l'on nommait "contrat pédagogique". Les étudiants devaient souvent se composer un emploi du temps haché pour pouvoir suivre les enseignements requis. Dans certains cas, ils pouvaient se voir obligés de sacrifier la dernière heure d'un enseignement pour pouvoir assister à un autre, dans un autre lieu. J'ai entendu dire que la dispersion des lieux d'enseignement est bien pire dans les universités parisiennes. A peu près la moitié des étudiants de Lyon II devant avoir un emploi pour financer leurs études, cela créait des conditions très défavorables. Je suis sûr que rien ne s'est amélioré à cet égard. Il n'est donc pas surprenant d'entendre évoquer un malaise étudiant. D'abord, le temps des études est une période d'incertitude, et les formes d'éducation prodiguées aujourd'hui aux enfants ne les préparent guère à devenir des adultes forts. Ensuite, la dévalorisation complète du baccalauréat place d'emblée une partie des étudiants en situation d'échec, dès le premier semestre. L'heure de vérité est dure à vivre. S'ajoute à cela l'anxiété, parfois paroxystique, face à l'approche des partiels et des examens. Quant au cadre de vie, nous sommes à mille lieues d'un campus tel qu'on le conçoit outre-Atlantique. Le "campus" de Bron est formé de locaux minables, vétustes, d'une architecture absurde, et n'est que mal desservi, la ligne de métro pourtant toute proche ayant eu soin de l'éviter. Cette relégation des universités loin des centres villes à la suite de mai 1968 s'est avérée un désastre. Au lieu de monter en épingle des événements mineurs à des fins purement politiciennes, mieux vaudrait considérer la réalité du fonctionnement quotidien, et proposer des remèdes.
Signaler RépondreSurtout lorsqu'un quart seulement des personnes a répondu. Comme d'habitude, les répondants doivent être les plus militants, ceux qui y trouvent leur compte dans la gestion de la scolarité (possibilité de grèves, de bloquages, mise à disposition de locaux.. ) et le contenu orienté des enseignements. Les autres tentent d'en échapper au plus vite
Signaler RépondreC'est bien, qu'ils continuent avec les sujets d'examen en écriture inclusive, les blocages du campus de Bron intempestifs et l'abandon de la neutralité du service public alors !
Signaler RépondreA part travailler dans les collectivités, je ne vois pas comment un étudiant avec un CV d'ancien de Lyon 2 pourrait travailler dans le privé !!
Allez jeter un coup d'œil sur le sondage. il ne concerne que le fonctionnement interne. Aucun question par rapport au évènement récent . Tout vas bien dans cette enceinte de fachos islamo gaucho.
Signaler RépondreQuand on veut étouffer un scandale une affaire on crée soit une commission soit une enquête, on jette le tout aux citoyens et basta rien ne bouge tout continue, jusqu’à la prochaine enquête ou commission surtout si l’affaire ou le scandale concerne le domaine de pensée du sérail, par contre si vous êtes à contre courant, si vous osez penser autrement toutes les machines du système se mettent en branle pour vous broyer et régler votre compte.
Signaler RépondreUn sondage probablement aussi fiable qu’une étude d’opinion en URSS à la grande époque
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