Avec sa collègue du MoDem Blandine Brocard, mais aussi les deux députés RN Tiffany Joncour et Jonathan Gery, et le député LR Alexandre Portier, le député centriste a participé à la division au sein de son groupe parlementaire. Puisque 20 élus Les Démocrates ont voté "pour", 9 ont voté "contre" et 7 se sont abstenus.
Cyrille Isaac-Sibille s'en est expliqué dans un communiqué : "Depuis l’année dernière, je souhaitais soutenir un texte de compassion pour quelques cas exceptionnels, ceci en veillant à protéger les plus vulnérables et les plus faibles d’entre nous. Ce n’est pas l’esprit du texte adopté aujourd’hui. Il n’a pu trouver l’équilibre entre compassion envers les patients et protection envers les plus faibles. J’ai donc voté contre".
Très critique, le député de la 12e circonscription du Rhône a trouvé plein de défauts au texte : "Cette loi se présente comme 'sociétale' alors que la société s’efface, que le législateur se décharge de sa responsabilité sur les médecins qui, seuls, devront assumer la décision d’administrer la substance létale. Cette loi se dit 'fraternelle'. En réalité, elle nous conduit vers une société toujours plus individualiste, libérale, hédoniste et utilitariste, où le sentiment de n’être plus utile ou d’être une charge ferait fi de la vie et pourrait justifier une demande de mort".
Et Cyrille Isaac-Sibille conclut en pointant du doigt les "incertitudes" et les "dérives possibles", regrettant que ses deux questions posées au rapporteur et au gouvernement n'aient pas obtenu de "réponse explicite".
Le député rhodanien souhaitait ainsi savoir "quelle réponse un médecin doit-il donner à un patient remplissant les cinq conditions, demandant, de manière libre, éclairée et réitérée, une aide à mourir car il estime être une charge pour son conjoint, sa famille, son équipe soignante ?" et "Vous souhaitez donner un droit à l’aide à mourir. Mais pour ceci, vous devez commencer par donner un droit à mourir, un droit à disposer de son corps. Est-ce votre volonté à travers ce texte ? Ce droit serait-il dérogatoire au droit de vivre, premier droit reconnu dans la déclaration universelle des droits de l’homme ?"
L'appel à la modernité ou a l'usage n'est pas la vérité.
Signaler RépondreChacun peut juger ce sujet personnellement. mis a part ce qui se rapporte à dieu qui ne doit pas entrer en compte, le reste devrait être discuter.
sait il de quoi il parle,? ce n est qu après avoir fait une journée en soin de fin de vie qu il aurai eu le droit de voter ,, quand on ne sait pas on ferme sa gueule!!!!!! ceci est valable pour tout les détracteurs de cette loi ..
Signaler RépondreTrès connu ,la France est en retard sur beaucoup trop de problème,comme la fin de vie,voici l'exemple concret ..Sortez vos neurones,et vivez dans l'air du temps.SOYEZ MODERNE ,SORTEZ DE VOS GROTTES
Signaler RépondreUn pur catho qui squatte St Jean
Signaler RépondreUn vrai élu,
Signaler RépondreLe journal L'Humanité révèle que Cyrille Isaac-Sibille, qui détient des actions Sanofi, « a fait voter un amendement visant à assouplir les conditions des essais cliniques pour les nouveaux médicaments
wouha l'exemple,
Signaler RépondreLe Canard Enchaîné révèle que le 26 septembre 2018, en compagnie d'un autre député Jimmy Pahun de la deuxième circonscription du Morbihan, il s'est introduit à la Ryder Cup, une compétition de golf à Saint-Quentin-en-Yvelines, en trompant la vigilance des vigiles. Le journal satirique ajoute que les deux députés auraient dû à ce moment-là se trouver en séance parlementaire
Déjà montrer l'exemple,
Signaler RépondreIl est contrôlé en moto à 86 km/h à Sainte-Foy-lès-Lyon sur une zone limitée à 50 km/h le 11 juin 2020 sans pouvoir présenter les originaux de son permis de conduire, du certificat d'immatriculation et du certificat d'assurance. Il se montre très peu coopératif en tentant d'utiliser son statut de parlementaire pour se sortir de ce faux-pas et, furieux, repart en menaçant les policiers d'un rapport. Il lui est reproché d'avoir mis en avant son statut de parlementaire pour se soustraire au contrôle, ce qu'il dément.
Il est contrôlé en moto à 86 km/h à Sainte-Foy-lès-Lyon sur une zone limitée à 50 km/h le 11 juin 2020 sans pouvoir présenter les originaux de son permis de conduire, du certificat d'immatriculation et du certificat d'assurance. Il se montre très peu coopératif en tentant d'utiliser son statut de parlementaire pour se sortir de ce faux-pas et, furieux, repart en menaçant les policiers d'un rapport[18],[19]. Il lui est reproché d'avoir mis en avant son statut de parlementaire pour se soustraire au contrôle, ce qu'il dément[20].
Signaler RépondreLe Canard Enchaîné révèle que le 26 septembre 2018, en compagnie d'un autre député Jimmy Pahun de la deuxième circonscription du Morbihan, il s'est introduit à la Ryder Cup, une compétition de golf à Saint-Quentin-en-Yvelines, en trompant la vigilance des vigiles. Le journal satirique ajoute que les deux députés auraient dû à ce moment-là se trouver en séance parlementaire[21],[22].
Le journal L'Humanité révèle que Cyrille Isaac-Sibille, qui détient des actions Sanofi, « a fait voter un amendement visant à assouplir les conditions des essais cliniques pour les nouveaux médicaments »[23].
Voila le gars et encore élus pour les français il n'y a pas un soucis quelque part ??.
Cela fait maintenant des années que l'on parle de légiférer sur la fin de vie. A chaque fois ce sont des petits pas qui ne vont pas au fond du questionnant et appartent des réponsent partielles. Et les plus riches, continuent à aller en Belgique ou en Suisse car cela coûte de l'argent. Environ 10 000 euros pour la Suisse.
Signaler RépondreIl y a une hypocritie générale en France. Les hopitaux sont saturés et laissent les malades finir leur vie à domicile, pris en charge souvent par la famille et c'est le medecin qui lorsque le patient souffre trop ou qu'il n'y a plus rien à espèrer prend la décision avec la famille de le laisser partir. Au lieu d'administrer un produit létal, on laisse le malade partir à l'aide de sédatif et cela peut durer des jours. Quelle différence ?
Pour les malades qui souffrent d'une pathologie incurables et dégénératives, faut-il attendre qu'ils soient à l'agonie pour une sédation après de grandes souffrances physiques et psychologiques alors qu'ils réclament de partir dignement.
C'est plus simple lorsque c'est un animal, la on ne tolère pas la souffrance.
qui est il pour choisir ma fin de vie !!!! merde on demande aux gens en bonne santé de choisir ma fin vie! !que connait il ?? quand il sera confronté il changera d avis
Signaler RépondreUn texte hasardeux. Des réponses absentes. On ne joue pas avec la vie des gens (surtout dans l'espoir de faire des économies pour masquer le manque d'adaptation de notre système social). Bravo !
Signaler Répondrenos deux députés se sont abstenu,pour ménager à la fois les frérots et le calife LFI.Petite taqiya
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