Anciennement président du groupe d’opposition Inventer la Métropole de demain, poste qu’il avait quitté pour siéger en “Non inscrit”, Louis Pelaez vient de communiquer son départ du groupe. À l’origine de cette décision, une perte de ce qui l’animait précédemment.
Son parcours d’élu l’a amené à travailler aux côtés de Gérard Collomb, dont il partageait sa méthode d’alliance autour d’un projet qui rassemble, et de collaborer au-delà des différences politiques pour l'intérêt général et ce dans un axe progressiste.
L’homme politique explique ne plus se retrouver dans ce qui l’animait avec l’ancien maire de Lyon, “aujourd’hui les circonstances sont bien différentes : il n’y a pour l’instant pas de personnalité capable de rassembler avec cette même vision.”
Autre élément ayant amené Louis Pelaez à prendre cette décision, “une droite traditionnelle qui a fait le choix d’un conservatisme national assumé et sans nuances et un parti présidentiel qui s’est totalement droitisé”. Une situation politique nationale qui ne peut plus être mise de côté selon lui.
Si l'ancien président du groupe d'opposition à la métropole souhaite prendre du recul, il note avoir pris beaucoup de plaisir au sein de ce groupe “à travailler avec des élus qui ont su mettre de côté nos différends, d’unir nos forces et nos compétences.”
ton tyran te nique
Signaler Répondrekif-kif-bourrique!
Signaler RépondreIl est déçu parce qu'il ne retrouve pas l'autoritarisme et les manoeuvres d'un Collomb ?
Signaler RépondreNous sommes heureux qu'il soit déçu...
c est beau le lavage de cerveau qui rend aveugle.... ma foi...
Signaler Répondreentouré d incapable. je viens de lire les délires sa ministre de la "transition ecolo" c est à mourir de rire ... mais jaune ... ou à pleurer de bêtise
Ce n'est pas parce qu'on ne parle pas de lui tous les jours dans les médias qu'il n'a rien fait, il a probablement beaucoup fait pour éviter le merdier que nous avons aujourd'hui avec les verts, verts qui d'ailleurs sont bien connu de tout le monde maintenant ( bien présents sur les médias et réseaux sociaux ) mais pas pour les meilleures causes pour autant.
Signaler RépondreIl était à l tête de LPA 😉
Signaler RépondreApparemment il a redressé les comptes de LPA: Il est à leur tête depuis 2014
Signaler RépondreAprès en tant qu'élu à Lyon, dans une grosse collectivité comme Lyon les élus ont des idées mais les applications ne leur reviennent que rarement quand ils n'ont pas de délégations et il n'a pas été adjoint donc...
Et qu'a t-il fait d'utile pour la communauté ce monsieur ?
Signaler Répondrequand vous parlez de
Signaler Répondre-Réduction de la dépense publique
-Fermeté sur la sécurité et l’immigration
c'est du 2eme degré ou de l'humour ... noir ?
Tant mieux, jamais entendu parlé de son groupe et peu de lui.
Signaler RépondreCe ne sera donc pas une grosse perte.
Louis Pelaez, élu depuis 2001, soit près d'un quart de siècle, est un apparatchik qui vit de la politique. Personnellement, habitant le huitième arrondissement (où il n'habite pas), je ne l'ai jamais entendu faire une proposition intelligente pour les habitants. Ses manoeuvres commencent à lasser même dans son propre camp qui a commencé à l'évincer. Bon débarras !
Signaler RépondreEmmanuel Macron est souvent perçu comme un homme politique centriste, mais sa position réelle est plus nuancée et a évolué avec le temps.
Signaler Répondre1. Origine et positionnement initial
Lorsqu'il fonde La République En Marche ! en 2016, Macron se présente comme un candidat "ni de droite, ni de gauche", cherchant à dépasser le clivage traditionnel. Il attire à la fois des soutiens issus du Parti socialiste (gauche) et de la droite modérée (Les Républicains).
2. Actions et politique économique
Sur le plan économique, ses politiques sont généralement considérées comme libérales, voire pro-business, ce qui le rapproche de la droite :
Réforme du Code du travail (plus de flexibilité pour les entreprises)
Suppression de l’ISF (impôt de solidarité sur la fortune) sur les placements financiers
Réduction des dépenses publiques
Encouragement à l’investissement privé
3. Sur les questions sociales et sociétales
Il a parfois pris des positions plus proches de la gauche modérée :
Défense de l’Europe
Discours favorable à la transition écologique (même si critiqué pour des retards)
Ouverture sur certaines questions sociétales (égalité des droits, inclusion)
4. Durant ses mandats
Avec le temps, surtout pendant son premier quinquennat, beaucoup ont perçu un glissement vers la droite, notamment en raison de :
Sa gestion des mouvements sociaux (Gilets jaunes)
Sa fermeté sur la sécurité et l’immigration
Le profil plus droitier de ses Premiers ministres (Édouard Philippe, Jean Castex, puis Gabriel Attal)
Conclusion
Emmanuel Macron est un centriste à tendance libérale, mais perçu de plus en plus comme de droite, surtout sur les questions économiques et d’ordre public. Cependant, il reste difficile de le classer strictement dans une case "droite" ou "gauche" au sens classique français.
un parti présidentiel qui s est droitisé !!, il fait fausse route ce monsieur. Macron est bien à gauche ça se voit comme le nez au milieu de la figuré
Signaler RépondreCe monsieur je pense ne reprend pas la pensée de Mr Collomb lorsque celui ci a quitté le gouvernement.
Signaler RépondreJe pense que Mr Collomb lors de son expérience comme ministre de l'Intérieur a compris la situation actuelle du Pays (mieux que peut le faire un maire) d'ou son évolution. Malheureusement Mr Pelaez reste camper dans ses dogmes et son idéologie première.
D'un autre côté pouvoir changer et se remettre en question demande un effort que beaucoup n'ont pas. Si leur vie et leurs actions sont uniquement axées sur une idéologie se dire qu'on s'est trompé depuis le début ouvre un gouffre assez profond à surmonter