Ce mardi 15 juillet, le personnel de l’université Lumière Lyon 2 a reçu un mail de la part de la direction de l’établissement, alertant d’un budget trop élevé attribué aux salaires : "Notre masse salariale dépasse le seuil autorisé, fixé à 85 % de notre budget total. Il nous est demandé de repasser, dans les trois ans, en dessous de ce seuil critique."
En cas de non-respect du seuil fixé par le rectorat, l’université n’aura d’autres choix que d’être placée sous tutelle budgétaire.
De quoi semer la panique chez les salariés de l’université, même si la présidente Isabelle von Bueltzingsloewen assure qu’il n’y aura pas "de rupture de contrat en cours ni de non-renouvellement systématique des CDD".
Pourtant, malgré ces promesses faites par la direction, l’établissement va devoir baisser drastiquement ses dépenses sur la masse salariale, à hauteur de 3,8 millions d’euros en l’espace de trois ans selon le Progrès.
Pour cela, Lyon 2 viserait une réduction de la campagne des attachés temporaires d’enseignement et de recherche, le recours à l’externalisation de certains projets, la diminution des postes d’enseignants-chercheurs et des personnels non enseignants ou encore la réduction de l’offre de formations à partir de la rentrée 2027.
Une chose est sûre, elle ne pourra pas compter sur une aide financière de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, puisque cette dernière avait annoncé suspendre toutes ses aides en mai dernier, réclamant une enquête indépendante sur les accusations d'islamogauchisme formulées par Fabrice Balanche.
Est-ce le début de la fin pour l'Université Lyon 2 ? Du moins, cette alerte représente un nouveau coup dur dans une année 2025 qui ne semble pas réussir à l’établissement. Rappelons que ces derniers mois, elle avait été sous le coup d’une polémique nationale suite à l’intrusion subie au sein d’un cours du maître de conférences Fabrice Balanche par des militants pro-palestiniens. Depuis, Lyon 2 est accusée de dérives islamo-gauchistes.
De toute façon, pour donner des diplômes aussi inutiles qu'un pansement sur une jambe de bois, autant la fermer.
Signaler RépondreSurtout, une présidente qui n'a pas soutenu un de ses enseignants qui avait dû cesser son cours sous la menace de manifestants ?
Signaler RépondreVous demandez à des gauchiste militants de savoir compter et de respecter le contribuable ?
Signaler RépondreVoilà ce que ça donne qd on leur laisse les clefs
Bande d’abrutis
Elle fait quoi ?
Signaler RépondreA part enfoncer ses propres enseignants et soutenir par contre les empêcheurs d'enseigner, et ne pas tenir le budget à hauteur de 4 millions d'Euros ?
Bel exemple de gestion financière par les gauchistes. On connaît. La solution? Taxer toujours plus ceux qui bossent pour payer la gabegie. Et on parle même pas des prises de positions politiques et idéologiques de cette université
Signaler RépondreDécidément, cette présidente d'université accumule les erreurs d'appréciation, après la gestion désastreuse de l'affaire Balanche...
Signaler RépondreCe pays est le futur tiers monde!
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