Municipales à Lyon : l'UDI se range à son tour derrière Jean-Michel Aulas

Front sanitaire 2026 a écrit le 19/09/2025 à 19h44

Le RN ne représente pas grand chose à Lyon, pourquoi en parler ? Car votre commentaire ne vaut pas grand chose ?

c'est qui a écrit le 19/09/2025 à 09h26

UDI ?

‎ Libriste‎ ‎ a écrit le 19/09/2025 à 09h39

Ce que nous vivons à Lyon, c’est plus qu’une gestion municipale : c’est une bifurcation. Une bifurcation vers une ville respirable, juste, solidaire. Et cette bifurcation, elle est incarnée par Grégory Doucet et son équipe écologiste. Il ne s’agit pas d’un verdissement superficiel. Il s’agit d’un choix radical : remettre la vie au cœur des politiques publiques. Choisir le vivant plutôt que le béton. Le soin plutôt que la rentabilité. Le long terme plutôt que l’immédiateté productiviste.
Face aux dérèglements climatiques, aux inégalités sociales qui explosent et à l’épuisement du vivant, il n’y a plus de temps pour les demi-mesures. L’écologie ne peut plus être une option. Elle est la condition de notre survie collective. Et à Lyon, cette écologie-là, elle est mise en œuvre, concrètement, chaque jour, par cette municipalité.
Alors oui, reconduire la liste de Grégory Doucet, c’est faire le choix d’une ville qui protège les plus vulnérables, qui lutte contre les violences sexistes et sexuelles, qui met l’égalité et la justice sociale au cœur de ses décisions. C’est reconnaître que l’écologie est féministe, antiraciste, décoloniale, et profondément démocratique.
Ne laissons pas revenir celles et ceux qui veulent faire de Lyon une vitrine du capitalisme urbain, où l’espace public est accaparé par la voiture, où les loyers explosent, où l’on bétonne les dernières parcelles de nature au nom de la croissance. Ce modèle est mort. Ce modèle détruit.
Ce que défend Doucet, c’est une écologie de rupture. Et c’est cette rupture qu’il nous faut prolonger. Parce qu’il ne s’agit plus d’accompagner le monde tel qu’il est. Il s’agit de le transformer. Radicalement. Et cela commence ici, à Lyon.

Monpays a écrit le 19/09/2025 à 18h04

Et s'il il arrive a une alliance avec le RN, la droite fera un carton , et oust les écolo-fachos de Lyon et Métropole ce qui va apaiser les lyonnais , la droitre ou centre droit Oui la macronie Non !

Question ? a écrit le 19/09/2025 à 14h29

Vous aviez parié de l'étaler (telle une confiture bon marché) dans votre prochaine participation ?

papyrebel a écrit le 19/09/2025 à 14h45

On va arroser ça ! L'UDI ( union des imbibés) rejoint Aulas ! Mais avant que les élections soient là ainsi que la victoire beaucoup d'eau coulera sous les ponts et de verres seront bus !

AntiLFI a écrit le 19/09/2025 à 17h45

En lisant les commentaires des ecolos, on voit bien que ça stresse grave. C'est très bien. Lyon, va basculer et Doucet ne sera plus qu'un très mauvais souvenir.

Bianca a écrit le 19/09/2025 à 11h30

On reconnaît les communicants verts qui s'agitent dans tous les sens avec les mots valises habituels qui veulent a la fois tout dire et rien dire. Bref de la diarrhée verbale, creuse, insignifiante, malhonnête.
Bon courage pour vos derniers mois.....

Meilleure image ... mais auprès de qui ? a écrit le 19/09/2025 à 14h37

Des investisseurs, des qataris ? Doucet reste fidèle à son programme de transformation de notre ville et qui une fois les travaux terminés bénéficiera d'une excellente image.

La Ville de Lyon aura une bien meilleure image avec Jean-Michel Aulas a écrit le 19/09/2025 à 13h32

Plutôt que celle rébarbative et clivante de Grégory Doucet.

FrClaude2 a écrit le 19/09/2025 à 12h38

Bien d'accord mais il faut prendre garde de ne pas accorder un blanc-seing à n'importe qui, et tomber de Charybde en Scylla.

Alcofribas a écrit le 19/09/2025 à 10h40

C'est le langage de la raison. Pour sauver Lyon et restaurer ce qui peut encore l'être, il faut se débarrasser des pseudo-écologistes. A ces fins, je voterais même pour un dromadaire…

‎ Libriste‎ ‎ a écrit le 19/09/2025 à 09h39

Ce que nous vivons à Lyon, c’est plus qu’une gestion municipale : c’est une bifurcation. Une bifurcation vers une ville respirable, juste, solidaire. Et cette bifurcation, elle est incarnée par Grégory Doucet et son équipe écologiste. Il ne s’agit pas d’un verdissement superficiel. Il s’agit d’un choix radical : remettre la vie au cœur des politiques publiques. Choisir le vivant plutôt que le béton. Le soin plutôt que la rentabilité. Le long terme plutôt que l’immédiateté productiviste.
Face aux dérèglements climatiques, aux inégalités sociales qui explosent et à l’épuisement du vivant, il n’y a plus de temps pour les demi-mesures. L’écologie ne peut plus être une option. Elle est la condition de notre survie collective. Et à Lyon, cette écologie-là, elle est mise en œuvre, concrètement, chaque jour, par cette municipalité.
Alors oui, reconduire la liste de Grégory Doucet, c’est faire le choix d’une ville qui protège les plus vulnérables, qui lutte contre les violences sexistes et sexuelles, qui met l’égalité et la justice sociale au cœur de ses décisions. C’est reconnaître que l’écologie est féministe, antiraciste, décoloniale, et profondément démocratique.
Ne laissons pas revenir celles et ceux qui veulent faire de Lyon une vitrine du capitalisme urbain, où l’espace public est accaparé par la voiture, où les loyers explosent, où l’on bétonne les dernières parcelles de nature au nom de la croissance. Ce modèle est mort. Ce modèle détruit.
Ce que défend Doucet, c’est une écologie de rupture. Et c’est cette rupture qu’il nous faut prolonger. Parce qu’il ne s’agit plus d’accompagner le monde tel qu’il est. Il s’agit de le transformer. Radicalement. Et cela commence ici, à Lyon.

Alcofribas a écrit le 19/09/2025 à 10h40

C'est le langage de la raison. Pour sauver Lyon et restaurer ce qui peut encore l'être, il faut se débarrasser des pseudo-écologistes. A ces fins, je voterais même pour un dromadaire…

‎ Libriste‎ ‎ a écrit le 19/09/2025 à 09h39

Ce que nous vivons à Lyon, c’est plus qu’une gestion municipale : c’est une bifurcation. Une bifurcation vers une ville respirable, juste, solidaire. Et cette bifurcation, elle est incarnée par Grégory Doucet et son équipe écologiste. Il ne s’agit pas d’un verdissement superficiel. Il s’agit d’un choix radical : remettre la vie au cœur des politiques publiques. Choisir le vivant plutôt que le béton. Le soin plutôt que la rentabilité. Le long terme plutôt que l’immédiateté productiviste.
Face aux dérèglements climatiques, aux inégalités sociales qui explosent et à l’épuisement du vivant, il n’y a plus de temps pour les demi-mesures. L’écologie ne peut plus être une option. Elle est la condition de notre survie collective. Et à Lyon, cette écologie-là, elle est mise en œuvre, concrètement, chaque jour, par cette municipalité.
Alors oui, reconduire la liste de Grégory Doucet, c’est faire le choix d’une ville qui protège les plus vulnérables, qui lutte contre les violences sexistes et sexuelles, qui met l’égalité et la justice sociale au cœur de ses décisions. C’est reconnaître que l’écologie est féministe, antiraciste, décoloniale, et profondément démocratique.
Ne laissons pas revenir celles et ceux qui veulent faire de Lyon une vitrine du capitalisme urbain, où l’espace public est accaparé par la voiture, où les loyers explosent, où l’on bétonne les dernières parcelles de nature au nom de la croissance. Ce modèle est mort. Ce modèle détruit.
Ce que défend Doucet, c’est une écologie de rupture. Et c’est cette rupture qu’il nous faut prolonger. Parce qu’il ne s’agit plus d’accompagner le monde tel qu’il est. Il s’agit de le transformer. Radicalement. Et cela commence ici, à Lyon.

‎ Libriste‎ ‎ a écrit le 19/09/2025 à 09h39

Ce que nous vivons à Lyon, c’est plus qu’une gestion municipale : c’est une bifurcation. Une bifurcation vers une ville respirable, juste, solidaire. Et cette bifurcation, elle est incarnée par Grégory Doucet et son équipe écologiste. Il ne s’agit pas d’un verdissement superficiel. Il s’agit d’un choix radical : remettre la vie au cœur des politiques publiques. Choisir le vivant plutôt que le béton. Le soin plutôt que la rentabilité. Le long terme plutôt que l’immédiateté productiviste.
Face aux dérèglements climatiques, aux inégalités sociales qui explosent et à l’épuisement du vivant, il n’y a plus de temps pour les demi-mesures. L’écologie ne peut plus être une option. Elle est la condition de notre survie collective. Et à Lyon, cette écologie-là, elle est mise en œuvre, concrètement, chaque jour, par cette municipalité.
Alors oui, reconduire la liste de Grégory Doucet, c’est faire le choix d’une ville qui protège les plus vulnérables, qui lutte contre les violences sexistes et sexuelles, qui met l’égalité et la justice sociale au cœur de ses décisions. C’est reconnaître que l’écologie est féministe, antiraciste, décoloniale, et profondément démocratique.
Ne laissons pas revenir celles et ceux qui veulent faire de Lyon une vitrine du capitalisme urbain, où l’espace public est accaparé par la voiture, où les loyers explosent, où l’on bétonne les dernières parcelles de nature au nom de la croissance. Ce modèle est mort. Ce modèle détruit.
Ce que défend Doucet, c’est une écologie de rupture. Et c’est cette rupture qu’il nous faut prolonger. Parce qu’il ne s’agit plus d’accompagner le monde tel qu’il est. Il s’agit de le transformer. Radicalement. Et cela commence ici, à Lyon.

Tous avec notre president de region a écrit le 19/09/2025 à 09h41

Notre président , soi-disant l’ami de sœur Emmanuelle , qui nous a présenté son chien dans Paris Match a le profil de quelqu’un qui vit dans un monde bien parallèle que lui seul peut comprendre !!!
Saifcsue les Lyonnais ne s’y tromperont pas!
Pour ma part , Aulas c’est oui mais Aulas- Wauquiez, c’est insupportable !!

‎ Libriste‎ ‎ a écrit le 19/09/2025 à 09h39

Ce que nous vivons à Lyon, c’est plus qu’une gestion municipale : c’est une bifurcation. Une bifurcation vers une ville respirable, juste, solidaire. Et cette bifurcation, elle est incarnée par Grégory Doucet et son équipe écologiste. Il ne s’agit pas d’un verdissement superficiel. Il s’agit d’un choix radical : remettre la vie au cœur des politiques publiques. Choisir le vivant plutôt que le béton. Le soin plutôt que la rentabilité. Le long terme plutôt que l’immédiateté productiviste.
Face aux dérèglements climatiques, aux inégalités sociales qui explosent et à l’épuisement du vivant, il n’y a plus de temps pour les demi-mesures. L’écologie ne peut plus être une option. Elle est la condition de notre survie collective. Et à Lyon, cette écologie-là, elle est mise en œuvre, concrètement, chaque jour, par cette municipalité.
Alors oui, reconduire la liste de Grégory Doucet, c’est faire le choix d’une ville qui protège les plus vulnérables, qui lutte contre les violences sexistes et sexuelles, qui met l’égalité et la justice sociale au cœur de ses décisions. C’est reconnaître que l’écologie est féministe, antiraciste, décoloniale, et profondément démocratique.
Ne laissons pas revenir celles et ceux qui veulent faire de Lyon une vitrine du capitalisme urbain, où l’espace public est accaparé par la voiture, où les loyers explosent, où l’on bétonne les dernières parcelles de nature au nom de la croissance. Ce modèle est mort. Ce modèle détruit.
Ce que défend Doucet, c’est une écologie de rupture. Et c’est cette rupture qu’il nous faut prolonger. Parce qu’il ne s’agit plus d’accompagner le monde tel qu’il est. Il s’agit de le transformer. Radicalement. Et cela commence ici, à Lyon.

Retour sur Terre a écrit le 19/09/2025 à 11h21

Nom de nom, on va passer d'une équipe d'écolos-wokes déconnectés des réalités économiques à une équipe de boomers qui veut remettre en ville les voitures à gazogène.
Non mais sérieux, il n'y a pas des gens juste un peu raisonnables entre ces 2 extrêmes ?
En outre, Aulas est bien trop vieux pour la fonction, quel que soit son parcours.

Alcofribas a écrit le 19/09/2025 à 10h40

C'est le langage de la raison. Pour sauver Lyon et restaurer ce qui peut encore l'être, il faut se débarrasser des pseudo-écologistes. A ces fins, je voterais même pour un dromadaire…

‎ Libriste‎ ‎ a écrit le 19/09/2025 à 09h39

Ce que nous vivons à Lyon, c’est plus qu’une gestion municipale : c’est une bifurcation. Une bifurcation vers une ville respirable, juste, solidaire. Et cette bifurcation, elle est incarnée par Grégory Doucet et son équipe écologiste. Il ne s’agit pas d’un verdissement superficiel. Il s’agit d’un choix radical : remettre la vie au cœur des politiques publiques. Choisir le vivant plutôt que le béton. Le soin plutôt que la rentabilité. Le long terme plutôt que l’immédiateté productiviste.
Face aux dérèglements climatiques, aux inégalités sociales qui explosent et à l’épuisement du vivant, il n’y a plus de temps pour les demi-mesures. L’écologie ne peut plus être une option. Elle est la condition de notre survie collective. Et à Lyon, cette écologie-là, elle est mise en œuvre, concrètement, chaque jour, par cette municipalité.
Alors oui, reconduire la liste de Grégory Doucet, c’est faire le choix d’une ville qui protège les plus vulnérables, qui lutte contre les violences sexistes et sexuelles, qui met l’égalité et la justice sociale au cœur de ses décisions. C’est reconnaître que l’écologie est féministe, antiraciste, décoloniale, et profondément démocratique.
Ne laissons pas revenir celles et ceux qui veulent faire de Lyon une vitrine du capitalisme urbain, où l’espace public est accaparé par la voiture, où les loyers explosent, où l’on bétonne les dernières parcelles de nature au nom de la croissance. Ce modèle est mort. Ce modèle détruit.
Ce que défend Doucet, c’est une écologie de rupture. Et c’est cette rupture qu’il nous faut prolonger. Parce qu’il ne s’agit plus d’accompagner le monde tel qu’il est. Il s’agit de le transformer. Radicalement. Et cela commence ici, à Lyon.

‎ Libriste‎ ‎ a écrit le 19/09/2025 à 09h39

Ce que nous vivons à Lyon, c’est plus qu’une gestion municipale : c’est une bifurcation. Une bifurcation vers une ville respirable, juste, solidaire. Et cette bifurcation, elle est incarnée par Grégory Doucet et son équipe écologiste. Il ne s’agit pas d’un verdissement superficiel. Il s’agit d’un choix radical : remettre la vie au cœur des politiques publiques. Choisir le vivant plutôt que le béton. Le soin plutôt que la rentabilité. Le long terme plutôt que l’immédiateté productiviste.
Face aux dérèglements climatiques, aux inégalités sociales qui explosent et à l’épuisement du vivant, il n’y a plus de temps pour les demi-mesures. L’écologie ne peut plus être une option. Elle est la condition de notre survie collective. Et à Lyon, cette écologie-là, elle est mise en œuvre, concrètement, chaque jour, par cette municipalité.
Alors oui, reconduire la liste de Grégory Doucet, c’est faire le choix d’une ville qui protège les plus vulnérables, qui lutte contre les violences sexistes et sexuelles, qui met l’égalité et la justice sociale au cœur de ses décisions. C’est reconnaître que l’écologie est féministe, antiraciste, décoloniale, et profondément démocratique.
Ne laissons pas revenir celles et ceux qui veulent faire de Lyon une vitrine du capitalisme urbain, où l’espace public est accaparé par la voiture, où les loyers explosent, où l’on bétonne les dernières parcelles de nature au nom de la croissance. Ce modèle est mort. Ce modèle détruit.
Ce que défend Doucet, c’est une écologie de rupture. Et c’est cette rupture qu’il nous faut prolonger. Parce qu’il ne s’agit plus d’accompagner le monde tel qu’il est. Il s’agit de le transformer. Radicalement. Et cela commence ici, à Lyon.

‎ Libriste‎ ‎ a écrit le 19/09/2025 à 09h39

Ce que nous vivons à Lyon, c’est plus qu’une gestion municipale : c’est une bifurcation. Une bifurcation vers une ville respirable, juste, solidaire. Et cette bifurcation, elle est incarnée par Grégory Doucet et son équipe écologiste. Il ne s’agit pas d’un verdissement superficiel. Il s’agit d’un choix radical : remettre la vie au cœur des politiques publiques. Choisir le vivant plutôt que le béton. Le soin plutôt que la rentabilité. Le long terme plutôt que l’immédiateté productiviste.
Face aux dérèglements climatiques, aux inégalités sociales qui explosent et à l’épuisement du vivant, il n’y a plus de temps pour les demi-mesures. L’écologie ne peut plus être une option. Elle est la condition de notre survie collective. Et à Lyon, cette écologie-là, elle est mise en œuvre, concrètement, chaque jour, par cette municipalité.
Alors oui, reconduire la liste de Grégory Doucet, c’est faire le choix d’une ville qui protège les plus vulnérables, qui lutte contre les violences sexistes et sexuelles, qui met l’égalité et la justice sociale au cœur de ses décisions. C’est reconnaître que l’écologie est féministe, antiraciste, décoloniale, et profondément démocratique.
Ne laissons pas revenir celles et ceux qui veulent faire de Lyon une vitrine du capitalisme urbain, où l’espace public est accaparé par la voiture, où les loyers explosent, où l’on bétonne les dernières parcelles de nature au nom de la croissance. Ce modèle est mort. Ce modèle détruit.
Ce que défend Doucet, c’est une écologie de rupture. Et c’est cette rupture qu’il nous faut prolonger. Parce qu’il ne s’agit plus d’accompagner le monde tel qu’il est. Il s’agit de le transformer. Radicalement. Et cela commence ici, à Lyon.

Catalan a écrit le 19/09/2025 à 10h07

Si Aulas veut passer,il n a pas le choix de rallier tous ceux qui sont opposé a LFI et aux ecolos OK il y a des incompetents et des insupportables mais c est la seule chance pour ne pas se faire savonner la planche .une candidature unique est préférable a de multiples .les ecolos ont fait pareil et la gauche aux législatives a fait pire avec cette union de façade qui explosé en vol .Aulas n est pas ma tasse de thé mais c est le seul rien qu avec son nom a pouvoir rassembler pour virer le sectaire et dogmatique Doucet .Entre deux maux il faut choisir le moindre .

‎ Libriste‎ ‎ a écrit le 19/09/2025 à 09h39

Ce que nous vivons à Lyon, c’est plus qu’une gestion municipale : c’est une bifurcation. Une bifurcation vers une ville respirable, juste, solidaire. Et cette bifurcation, elle est incarnée par Grégory Doucet et son équipe écologiste. Il ne s’agit pas d’un verdissement superficiel. Il s’agit d’un choix radical : remettre la vie au cœur des politiques publiques. Choisir le vivant plutôt que le béton. Le soin plutôt que la rentabilité. Le long terme plutôt que l’immédiateté productiviste.
Face aux dérèglements climatiques, aux inégalités sociales qui explosent et à l’épuisement du vivant, il n’y a plus de temps pour les demi-mesures. L’écologie ne peut plus être une option. Elle est la condition de notre survie collective. Et à Lyon, cette écologie-là, elle est mise en œuvre, concrètement, chaque jour, par cette municipalité.
Alors oui, reconduire la liste de Grégory Doucet, c’est faire le choix d’une ville qui protège les plus vulnérables, qui lutte contre les violences sexistes et sexuelles, qui met l’égalité et la justice sociale au cœur de ses décisions. C’est reconnaître que l’écologie est féministe, antiraciste, décoloniale, et profondément démocratique.
Ne laissons pas revenir celles et ceux qui veulent faire de Lyon une vitrine du capitalisme urbain, où l’espace public est accaparé par la voiture, où les loyers explosent, où l’on bétonne les dernières parcelles de nature au nom de la croissance. Ce modèle est mort. Ce modèle détruit.
Ce que défend Doucet, c’est une écologie de rupture. Et c’est cette rupture qu’il nous faut prolonger. Parce qu’il ne s’agit plus d’accompagner le monde tel qu’il est. Il s’agit de le transformer. Radicalement. Et cela commence ici, à Lyon.

‎ Libriste‎ ‎ a écrit le 19/09/2025 à 09h39

Ce que nous vivons à Lyon, c’est plus qu’une gestion municipale : c’est une bifurcation. Une bifurcation vers une ville respirable, juste, solidaire. Et cette bifurcation, elle est incarnée par Grégory Doucet et son équipe écologiste. Il ne s’agit pas d’un verdissement superficiel. Il s’agit d’un choix radical : remettre la vie au cœur des politiques publiques. Choisir le vivant plutôt que le béton. Le soin plutôt que la rentabilité. Le long terme plutôt que l’immédiateté productiviste.
Face aux dérèglements climatiques, aux inégalités sociales qui explosent et à l’épuisement du vivant, il n’y a plus de temps pour les demi-mesures. L’écologie ne peut plus être une option. Elle est la condition de notre survie collective. Et à Lyon, cette écologie-là, elle est mise en œuvre, concrètement, chaque jour, par cette municipalité.
Alors oui, reconduire la liste de Grégory Doucet, c’est faire le choix d’une ville qui protège les plus vulnérables, qui lutte contre les violences sexistes et sexuelles, qui met l’égalité et la justice sociale au cœur de ses décisions. C’est reconnaître que l’écologie est féministe, antiraciste, décoloniale, et profondément démocratique.
Ne laissons pas revenir celles et ceux qui veulent faire de Lyon une vitrine du capitalisme urbain, où l’espace public est accaparé par la voiture, où les loyers explosent, où l’on bétonne les dernières parcelles de nature au nom de la croissance. Ce modèle est mort. Ce modèle détruit.
Ce que défend Doucet, c’est une écologie de rupture. Et c’est cette rupture qu’il nous faut prolonger. Parce qu’il ne s’agit plus d’accompagner le monde tel qu’il est. Il s’agit de le transformer. Radicalement. Et cela commence ici, à Lyon.

Catalan a écrit le 19/09/2025 à 10h07

Si Aulas veut passer,il n a pas le choix de rallier tous ceux qui sont opposé a LFI et aux ecolos OK il y a des incompetents et des insupportables mais c est la seule chance pour ne pas se faire savonner la planche .une candidature unique est préférable a de multiples .les ecolos ont fait pareil et la gauche aux législatives a fait pire avec cette union de façade qui explosé en vol .Aulas n est pas ma tasse de thé mais c est le seul rien qu avec son nom a pouvoir rassembler pour virer le sectaire et dogmatique Doucet .Entre deux maux il faut choisir le moindre .

Jérémy a écrit le 19/09/2025 à 09h40

Tous les les loosers de Lyon rejoignent Aulas.
Je serai Aulas je serai inquiet.

‎ Libriste‎ ‎ a écrit le 19/09/2025 à 09h39

Ce que nous vivons à Lyon, c’est plus qu’une gestion municipale : c’est une bifurcation. Une bifurcation vers une ville respirable, juste, solidaire. Et cette bifurcation, elle est incarnée par Grégory Doucet et son équipe écologiste. Il ne s’agit pas d’un verdissement superficiel. Il s’agit d’un choix radical : remettre la vie au cœur des politiques publiques. Choisir le vivant plutôt que le béton. Le soin plutôt que la rentabilité. Le long terme plutôt que l’immédiateté productiviste.
Face aux dérèglements climatiques, aux inégalités sociales qui explosent et à l’épuisement du vivant, il n’y a plus de temps pour les demi-mesures. L’écologie ne peut plus être une option. Elle est la condition de notre survie collective. Et à Lyon, cette écologie-là, elle est mise en œuvre, concrètement, chaque jour, par cette municipalité.
Alors oui, reconduire la liste de Grégory Doucet, c’est faire le choix d’une ville qui protège les plus vulnérables, qui lutte contre les violences sexistes et sexuelles, qui met l’égalité et la justice sociale au cœur de ses décisions. C’est reconnaître que l’écologie est féministe, antiraciste, décoloniale, et profondément démocratique.
Ne laissons pas revenir celles et ceux qui veulent faire de Lyon une vitrine du capitalisme urbain, où l’espace public est accaparé par la voiture, où les loyers explosent, où l’on bétonne les dernières parcelles de nature au nom de la croissance. Ce modèle est mort. Ce modèle détruit.
Ce que défend Doucet, c’est une écologie de rupture. Et c’est cette rupture qu’il nous faut prolonger. Parce qu’il ne s’agit plus d’accompagner le monde tel qu’il est. Il s’agit de le transformer. Radicalement. Et cela commence ici, à Lyon.