LyonMag a plusieurs fois évoqué les opérations à géométrie variable de la mairie communiste qui, dans un souci officiel de ne pas laisser ses commerces de proximité systématiquement devenir des kebabs, préempte régulièrement avec l'appui de la Métropole de Lyon.
Notre rédaction avait relayé les préemptions qui visaient les opposants de la maire Michèle Picard. Ce mercredi, le Progrès évoque celle qui bénéficie à un adjoint influent, Bayrem Braïki.
Chargé de la Culture de la Ville de Vénissieux, le frère du célèbre Bassem Braïki a vu sa femme être préemptée pour son improbable boutique sushis/fleuriste de la rue Paul-Bert.
Nadia Braïki avait signalé avoir trouvé un accord de vente pour 310 000 euros pour que son enseigne devienne un snack. Ni une, ni deux, la mairie de Vénissieux l'a préemptée contre 223 000 euros.
Pour Anticor, qui a procédé à un signalement au procureur de la République, il y a des soupçons de détournement de fonds publics qui planent au-dessus de cette opération. Car pour évaluer le sushis/fleuriste à 223 000 euros, les chiffres d'affaires ont été réclamés.
Et les 579 707 euros annuels annoncés en 2021, en sortie de Covid, ou les 468 426 euros de 2022 interpellent, d'autant que la boutique de Nadia Braïki recevait rarement des clients...
Il est donc demandé au parquet par l'association anticorruption de vérifier la véracité des chiffres d'affaires, mais aussi de s'assurer que l'adjoint et mari de la commerçante n'a pas pris part une seconde dans l'opération.
Ca marche bien dit donc la fleur/sushi. Je vais peut-être le faire ce commerce Guitare/Couture.
Signaler RépondrePoutine un jour
Signaler RépondrePoutine toujours
C'est quand que tout le monde comprendra que l'on ne peut pas faire confiance à ces gens là .
Signaler RépondreQu'ils soient gérant d'un " bouigbouig " , artisan ,
élu , commerçant ou tout simplement piéton , ils ont le sens de l'escroquerie très développé !
Faire confiance à ces personnes est interdit !
Pardon elle reçoit un cheque du contribuable, dire la mairie, la collectivité l’état ça noie la réalité de nos privations pour engraisser des corrompus, des idéologues, des apparatchik syndicalistes et politiques, la même face d’une pièce «tragique »
Signaler RépondreC'est pas mal cettz idée de 2 enseignes en une.
Signaler RépondreDu coup j'hésite à ouvrir mon activité, entre :
- pompiste pâtissier
- pizzaiolo sculpteur sur glace
- pompes funèbres boîte de nuit
Communiste,je présume ?
Signaler RépondreSi ce n'est pas de la corruption,c'est quoi ? C'est vrai que les communistes sont dirigés par la Russie,la Chine ...
Signaler RépondreLa Rose et la Morue... on croirait un titre de la Série Noire.
Signaler Répondreje me réponds à moi-même pour préciser:
Signaler Répondre1) si le projet urbain de la mairie est légitime et que le prix d'achat est bon, il n'y a pas de problème, quand bien même le maire serait propriétaire du local,
2) si les chiffres d'affaires déclarés et l'offre de proposition d'achat sont faux et/ou gonflés, mais que le prix d'achat est bon et que le projet urbain est légitime, alors il n'y a pas de problème non plus (même s'il y a une fausse déclaration, aussi condamnable soit-elle).
Car si la commune n'est pas lésée il n'y a pas de sujet.
ça sent pas bon pour la fleuriste.
Signaler Répondreil serait toutefois bon que l'article précise le projet public à l'origine de cet achat par la collectivité, sinon ça a peu de sens.
plus de 500K€ de CA pour un fleuriste, c'est en effet bien au dessus de la moyenne (de l'ordre de 200K€), surtout pour une petite boutique. mais si elle est très bien achalandée ça n'est pas impossible.
Le socialisme, c'est dépenser l'argent des autres sans oublier de se servir au passage.
Signaler Répondreavec un chifffe d affaires pareil il y avait peut être chose que du saumon dans les sushis ?
Signaler RépondreLa France d'aujourd'hui un joli bordel !
Signaler RépondreElle faisait peut-être aussi "pressing" (à billets), ça fait bien gonfler le chiffre d'affaire, ces trucs-là ! :-D
Signaler RépondreOui et alors ?
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