L’établissement retrouve progressivement son âme originelle, comme l’avait imaginé son architecte, Baltard au XIXe siècle. La lumière et les couleurs sont de nouveaux au rendez-vous. Les boiseries ont été rénovées. D’ici quelques jours, les échauffaudages vont donc déménager du côté de la rue de la Bombarde où la deuxième partie des travaux va débuter. Mais il faudra encore deux ans aux ouvriers pour que les bruits de chantier laissent définitivement place aux plaidoiries des magistrats.