Le « comité de lutte » dénonce les conditions de stockage des manifestants jeudi place Bellecour
C’est par un mail envoyé vendredi matin à toutes les rédactions lyonnaises que le « comité de lutte », issu de l’assemblée générale du 20 Octobre, souhaite dénoncer les méthodes des forces de l’ordre lors du blocage de la place Bellecour jeudi après-midi. Et appelle les personnes présentes sur place à témoigner auprès des Lyonnais.
Des manifestants au Carré de Soie vendredi matin
Alors que la presqu’île est plutôt calme, une manifestation spontanée s’est déroulée dans la matinée du côté du complexe commercial du Carré de Soie.
Lyon : Sarkozy dénonce des violences « scandaleuses »
Lors d’une table ronde jeudi sur la ruralité en Eure-et-Loire, le président de la République a jugé « scandaleuses » les violences survenues à Lyon en marge des manifestations contre la réforme des retraites.
Les condamnations continuent de tomber en comparution immédiate pour les fauteurs de trouble
Pour la seule journée de jeudi, ce sont douze jeunes qui ont été jugés devant le tribunal correctionnel de Lyon : onze garçons âgés de 18 à 27 ans et une ado de 18 ans.
Manifestations : quand les forces de l’ordre transforment la place Bellecour en souricière
Malgré quelques débordements durant la matinée, la journée de jeudi a marqué un tournant dans les affrontements entre les casseurs et les forces de l’ordre. Ces dernières, selon la technique de la souricière, ont utilisé cette grande esplanade pour stocker certains des fauteurs de troubles, en bloquant tous ses accès. Le renfort de la vidéosurveillance devrait permettre de faire le distingo entre les manifestants, et les autres. La préfecture, qui a tenu en début de soirée une conférence de presse, assure qu’elle maintiendra la pression jusqu’au tassement du mouvement, et demande aux parents de prendre leurs responsabilités.
Manifestations : Bellecour a cristallisé toutes les tensions (vidéo)
La Presqu'île a, une fois de plus, été le théâtre d'affrontements violents entre forces de l'ordre et manifestants. Entre les débordements de la matinée et les conglomérats disparates de manifestants, lycéens, casseurs et syndiqués stockés dans la zone durant l'après midi, l'hyper-centre de Lyon a une nouvelle fois eu chaud jeudi. Récit.
Ligue des Champions : L’OL s’impose face au Benfica Lisbonne (2-0)
L’Olympique Lyonnais a battu le Benfica Lisbonne mercredi soir à Gerland en Ligue des Champions (2-0). Avec 9 points en 3 matchs, les Lyonnais ont fait un grand pas vers la qualification en huitièmes de finale de la compétition.
Visite d’Hortefeux : Collomb évoque une « opération politicienne »
Ecrémé de la réunion de crise menée par Brice Hortefeux, Michel Mercier, le préfet Gérault, la Police et les pompiers, le maire de Lyon n’a pas tardé à faire savoir sa désapprobation quant à la méthode du ministre de l’Interieur. Il estime que sa visite lyonnaise relève de « l’opération politicienne. »
Brice Hortefeux va veiller à l'indemnisation des commerçants lyonnais
C'est l'annonce effectuée par le ministre de l'intérieur pendant son déplacement à Lyon mercredi. De passage à l'hôtel de Police, pour faire un point avec les forces de l'ordre suite aux violences urbaines de la veille, Hortefeux a visité à toute vitesse la rue Victor Hugo, où une dizaine de commerces lyonnais ont été pillés.
Collomb : « Il faut éviter la gradation de la violence »
Le maire de Lyon, revenu d’urgence mardi du Japon, a fait le point mercredi matin lors d’une conférence de presse, sur les débordements qui agitent Lyon depuis le début de la semaine.
La justice continue d’examiner les violences urbaines commises à Lyon
Ce sont deux jeunes de 18 ans qui comparaissaient mardi devant le tribunal correctionnel pour des actions commises lundi.
1 300 casseurs et 74 interpellations (vidéo)
C’est le bilan de la violente journée que le centre-ville de Lyon a vécu mardi.
Des renforts de police attendus mercredi à Lyon contre les casseurs
C'est l'annonce faite par la préfet du Rhône Jacques Gérault en prévision mercredi de mouvements similaires à ceux de mardi à Lyon.
Violences urbaines : la rue Victor Hugo pillée et dévastée (vidéo)
Ce sont des scènes à peine imaginables qui se sont déroulées pendant près de 5 heures. Au plus fort du mouvement, jusqu'à 1 300 casseurs étaient rassemblés sur la place Bellecour, encerclés par les policiers, les CRS et les gendarmes mobiles. Ils se sont déchaînés rue Victor Hugo.
Violences urbaines : la Police tire la sonnette d’alarme
La journée de mardi a marqué un tournant dans les violences urbaines qu’a connu Lyon durant les manifestations. 74 interpellations, et des forces de police plutôt désemparés, qui n’ont plus les outils pour maîtriser l’espace public. Jean-Paul Borrelly, secrétaire zonal du syndicat Alliance Police National, témoignait déjà lundi de cet état de fait via un communiqué. La journée de violences de mardi lui a malheureusement donné raison. Interview.
Violences urbaines : la Presqu'île a souffert
Malgré le dispositif de sécurité important mis en place par les syndicats pour encadrer la manifestation contre la réforme des retraites, des petits groupes de casseurs ont pu converger vers le centre ville. Bellecour, rue de la Ré', rue Victor Hugo, c'est tout l'hyper-centre de Lyon qui a été dévasté.
Manifestations : Gérard Collomb rentre d'urgence à Lyon
Le maire de Lyon abrège son séjour en Asie et rentre à Lyon en raison des incidents et dégradations en marge des manifestations contre la réforme des retraites.
Entre 18 000 et 45 000 manifestants à Lyon contre la réforme des retraites
Le cortège s’est élancé à 10h30 de la place Ambroise-Courtois dans le 8e arrondissement. Malgré les mouvements lycéens en marge du mouvement syndical, qui ont donné lieu à des heurts avec les gendarmes mobiles, les manifestants ont pu rejoindre la place Bellecour.
Les cantines lyonnaises devraient rouvrir normalement jeudi
La majorité resteront fermées mardi jour de mobilisation pour les retraites mais un protocole d’accord a été signé lundi soir entre la ville de Lyon et la CGT, syndicat majoritaire.
Prison avec sursis pour deux manifestants lyonnais
Ils ont été jugés lundi en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Lyon. Le ministère public avait requis des peines de prison ferme.



