Cédric Denoyel : "On voulait un système de proximité avec nos entrepreneurs à H7"

Cédric Denoyel, président de H7, est l’invité ce mardi matin de Gérard Angel, dans les Coulisses du Grand Lyon.

Cédric Denoyel : "On voulait un système de proximité avec nos entrepreneurs à H7"
Cédric Denoyel et Gérard Angel - LyonMag

Ce mardi soir, H7 sera officiellement inauguré dans le quartier de la Confluence. C’est l’aboutissement de longues années de gestation pour le lieu totem de la Lyon French Tech. L’ancienne Halle Girard est donc prête pour accueillir les start-ups : "On a voulu un système de proximité avec nos entrepreneurs. On les rencontre systématiquement pour savoir ce dont ils ont besoin en termes d’accompagnement", explique Cédric Denoyel.

H7 est encore loin d’être plein. "On essuie les plâtres, on vient d’avoir les clés. On préfère avoir moins d’entreprises au départ si jamais Internet ou les imprimantes ne marchaient pas", poursuit le président du lieu dont la capacité est de 70 entreprises qui peuvent obtenir un poste de travail contre 250 à 350 euros.

Comme nous le révélions récemment, H7 va également agrémenter ses fins de mois en faisant de l’évènementiel. "On est à des tarifs totalement dans le marché. La location de la salle se fait entre 6000 et 7000 euros. Pour privatiser H7 pour un cocktail de 200 personnes, ça coûtera entre 25 et 30 000 euros", indique Cédric Denoyel.

Les Coulisses du Grand Lyon à retrouver tous les matins à 8h10 sur Jazz Radio 97.3 et en vidéo sur LyonMag.com.

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3 commentaires
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Oups le 14/05/2019 à 23:36

Une question qui mérite une censure sans appel de lyonmag !! :
le lieu est ouvert H24 ... les prostitués peuvent-ils -elles loué.e.s un bureau fermé ?

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encore un scandal le 14/05/2019 à 11:43

ces gens confondent jeune entrepeneur et clubber
ils n ont rien compris!

a mon avis, ils auraient réver etre dans l evenemntiel et avoir le rayonnement d ArtyFarty....
sauf que H7 est censé servir les interets de la french Tech, pas du clubbing

ce machin pretentieux, deconnecté des besoins clients, ne fera qu une seule chose : nous couter super cher

personnellement, j ai pas envie de passer par des locaux qui puent l alcool le matin et qui deviennent bruyant quand les musiciens s installeront
le travail ca se fait dans un bureaux, aps dans une discotheque

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Navrant le 14/05/2019 à 08:33

Le groupe SOS, des musiques électroniques nuits sonores, il suffit de regarder la composition des investisseurs pour mesurer le degré délirant de prévarication de cet ensemble.
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Aucune identité, de l’événementiel, au mieux.

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